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dimanche 30 juin 2013

APPELES A LA FOI : MYSTERE DE LA MISSION



7 juillet 2013
14ème  dimanche du Temps ordinaire Année C   


APPELES A LA FOI : MYSTERE DE LA MISSION
Textes :
  • Is 66, 10-14     
  • Ps 65        
  • Ga 6, 14-18
  • Lc 10, 1...20




Qu’est-ce qu’évangéliser ?
Comment évangéliser le monde de demain ? Plusieurs « évangéliques », modernes prédicateurs, ont l’art de haranguer et d’attirer des foules. Si seulement ils étaient catholiques, regrette une certaine hiérarchie…Toutefois le contenu de cette prédication est souvent déroutant, voire inacceptable.
Si nous tenons à l’Evangile, c’est à la Parole de Jésus que nous tenons. Il l’a confiée à certains, qui l’ont léguée à d’autres « jusqu'aux extrémités de la terre », jusqu’à nous aujourd’hui. On aimerait être à la hauteur de ce relais ! On aimerait trouver les moyens de « faire passer » avec, sinon une obligation, au moins avec un certain degré de succès cet Évangile qui nous est si cher et qui est notre think tank ! La transmission s’arrêterait-elle par notre faute, dernier maillon faible d’un chaîne millénaire ?

Mais les temps que nous traversons nous le rappellent et ne sont pas près de se clore : les malentendus sur les objectifs de notre responsabilité pullulent. Ils naissent d'autant plus vite qu'ils sont préparés par les malentendus sur ce qu'est l'Évangile en fait et sur ce qu'il propose pratiquement. L'ordonnance du docteur Luc vaut plus que jamais d'être considérée : « Prenez donc garde à la manière dont vous écoutez » (8, 18). Il s'agit là de rien moins que de se mettre en synergie avec la Parole à annoncer. Il s'agit de l'accueillir d’abord pour soi, de se laisser transformer par elle, de l'assimiler avant de la restituer. Cette Parole apporte à qui la reçoit « comme il faut » une force et une certitude profondes, parce qu'elle établit la foi et dans la foi, c’est-à-dire dans la confiance en soi et en elle.

Il y a loin de ces dispositions où l'esprit, le cœur et la foi au Dieu de la vie sont premiers, à l'utopique ambition, de sécuriser le monde entier au sein du carcan d’un sacro-saint système de vérités absolues.
Il y a loin de la croix d’un Jésus, qui va jusqu'à la pointe suprême de sa fidélité sur un gibet, au propos humain de christianiser le monde à tout prix, fût-ce manu militari : au mépris du nouveau commandement que Jésus venait de donner !
Il n'est de force qu'en Dieu. Il n'est de certitude qu'en Dieu. Il n'est de vérité que Dieu. On a vraiment envie de crier : Allah Akbar الله أَكْبَر !

La foi ouvre des hori­zons lumineux à l'intelligence qui cherche à comprendre, c'est la foi qui est première chez le chrétien.
Foi-confiance, foi-amour. Foi-désir de mieux connaî­tre Dieu pour l'aimer mieux. De mieux connaître le bien pour l'accomplir mieux. C’est cela Aimer en vérité.

L’être humain – l’animal humain -­, ne peut vivre et survivre sans un minimum de sécurité et de certitude, pour avoir toujours fait l'expérience des périls où s’éprouve sa fragilité.

Qu’est-ce que la Bible des Juifs sinon cet immense récit des espérances et des avanies du peuple de Dieu ? Tout peuple élu qu'il était, il n'a fait l'économie de rien. Il a été envahi par tout ce qui fait le cœur de l'homme : désir, foi, doute, reniement, amour, passion, hautes aspirations, idolâtrie...Traversée du désert puis expérience de l'oppres­sion, loin de chez soi, l'Exil. Autant d'épreuves et de moments qui, petit à petit, font entrer les gens en eux-mêmes, les poussent dans leurs retranchements, les conduisent à puiser toujours plus profond dans leurs ressources d’espérance et de  foi. En un mot comme en cent, à s'en remettre, en définitive, à Dieu seul !
Les prophètes ont rythmé l’allure de ce chemin de foi. (Le Trito) Isaïe répète l’évidence existentielle : l'espérance doit toujours voir plus loin. Elle se tourne certes vers la consolation à venir, vers la consolation totale, vers l’abolition de toute peine. Mais toujours en revanche, cette espérance ne peut que se cogner au réel, de se colleter avec ce qui se vit chaque jour

A Babylone, en – 587, les Juifs avaient rêvé d'une restauration glorieuse. Le retour au pays trente ans après, s'est révélé déce­vant. L'enthousiasme, né de la libération, retombe vite : confrontation du rêve et de la réalité. Le rôle du prophète tente de redonner confiance et espoir. Il anticipe à ses risques et périls : un jour, Jérusalem rayonnera de nouveau de la gloire divine. Un jour, Dieu consolera son peuple, comme une mère console son enfant. Ce sera la joie totale. La foi, c’est plus souvent l’espérance, même si elle est folle.

Un soir, Radio Londres diffusa après le premier vers de Verlaine : Les sanglots longs des violons de l’automne, le second Bercent mon cœur d’une longueur monotone : çà y était ! Le débarquement allait avoir lieu et l’occupation cesser ! Toute l’espérance française devenait résurrection !

Les mêmes ressorts sont à l’œuvre tout au long de la vie de Paul. Malgré tout ce qu’il a appris dans sa formation rabbinique où il est passé maître, c’est la croix qui lui est révélée et qui l'a définitivement marqué. Ses propos aux Corinthiens (1 Co 2, 2) : « Je n'ai voulu connaître parmi vous que Jésus-Christ, et Jésus-Christ crucifié » déclarent un état de fait, une décision.
Mais en même temps, c’est dans la lumière de la Résurrection, qu’il affirme combien il a été transformé : dans sa vie, dans son cœur, dans sa foi et sa pratique reli­gieuse, tout est devenu christique et inaugure une toute nouvelle dynamique religieuse. Paul a définitivement changé son rapport à toutes les pratiques, circoncision et soumission aux ordonnances de la Loi, par lesquelles il espérait autrefois garantir son salut. À présent, son unique souci est, selon ses mots, « d'avoir part à la mort du Christ » pour « avoir part aussi à sa Résurrection ». « Ce qui compte, ce n'est pas d'avoir ou de ne pas avoir la circoncision, c'est la création nouvelle. » (15) Les amarres sont larguées, les entraves coupées,  l’ancre a coulé. On ne peut pas croire qu’à moitié, avoir une bribe de foi, un lambeau d’espérance, une miette d’amour. Pour Paul, c’est tout ou rien. Les tièdes ? Très peu pour lui. Dans ces conditions, si Christ n’est pas ressuscité, nous sommes les plus malheureux de tous hommes (1Co 15,19). Paul a une confiance totale.

Il peut désormais accéder à une existence nouvelle, incon­nue jusqu'alors : il fait l'expérience d'être «fort dans la faiblesse » et peut sup­porter les persécutions sans en être troublé. Et nul ne peut le séparer du Christ, nul ne peut le priver de sa liberté.

Qu’en est-il de ce Jésus pour lequel Paul, et nous à notre tour, avons été désignés pour annoncer ? Homme et Dieu : quelqu'un qui appelle à la foi et à la confiance, et qui, lui-même, vit en régime de communion confiante avec celui qu'il nomme « son Père ». La seule mission qu'il confie à ses disciples est, à l'image de ce qu'il fait lui-même, d'aller à la rencontre de leurs semblables en faisant le bien, en pro­posant la confiance, en appelant à la foi.

Cette mission apostolique est celle qui s’est poursuivie cahin caha à travers les siècles.
Elle consiste à appeler les hommes à la paix et à la fraternité quoi qu’il en coûte : hum !
Elle devrait se dérouler sans l'appui de moyens humains : dur, dur !
Elle exige une vraie liberté intérieure de ceux qui la conduisent : encore plus dur !
Elle doit pro­voquer les hommes tant par la pauvreté de ses moyens que par l'ambition de son propos : là, c’est franchement impossible aux hommes, mais rien n’étant impossible à Dieu…
Elle doit mettre les gens devant leurs responsabilités au regard du bien, à commencer par les missionnaires eux-mêmes !
Si l’envoyé ne s'impose jamais, s'il peut être entravé, il peut aussi être accueilli et promu. Cela relève de la décision de chaque récipiendaire... Qu'ils sont beaux sur les montagnes les pieds du messager; qui publie la bonne nouvelle de la paix; de celui qui annonce le bonheur, qui publie le salut (Isaïe 52, 7 et Ro 10,15)

On peut revenir d'une campagne, couronné de succès. Les disciples ne doivent pas s’étourdir de l’ivresse du pouvoir mais se réjouir de la certitude de vivre de Dieu. Avoir rempli leur mission d’annonce, avoir passé le relais pour que d’autres témoignent à leur tour. Leur exemple a donné le courage de la foi car chaque époque a été rude. S’il y a eu un âge d’or chrétien, le véritable sera éternel.

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english


What evangelize?
How to evangelize the world of tomorrow? Many "evangelicals", modern preachers, have the art of haranguing and attracting crowds. If only they were Catholics, a certain hierarchy is sorry ... However, the content of this preaching is often confusing or unacceptable.
If we take the Gospel, it is the Word of Jesus that we want. He confided it to some who have donated to others "to the ends of the earth" until today. It would be the height of the relay! We would like to find ways to "get" with, if not an obligation, at least with some degree of success that Gospel which is so cherished and is our think tank! Would transmission would stop by our fault, the last weak link in a millennium chain?

But the times we are experiencing remind us and are not about to close: misunderstandings on the objectives of our responsibility abound. They arise especially more quickly as they are prepared by misunderstandings about what the gospel is and what it offers virtually. The order of Dr. Luke is more than ever to be considered: "Take heed therefore how ye hear" (8, 18). This is nothing less than to create a synergy with the Word to be announced. It is first to accommodate oneself to be transformed by it, to assimilate before restoring it. This word brings to who receives it "right", strength and deep certainty, because it establishes the faith and in faith, that is to say, in self-confidence and in itself.

There is far from these frames where mind, heart and faith in the God of life are first, to the utopian ambition, secure the globe in the straightjacket of a sacrosanct system of absolute truths.
There is far from the cross of a Jesus who goes to the supreme loyalty points on a gibbet, to the human purpose, Christianize the world at any cost, even forcibly: in defiance of the new commandment that Jesus had just given!
There is strength only in God. There is certainty only in God. There is truth only in God. We really want to shout Allah Akbar
الله أكبر!

Faith opens bright horizons to the intelligence that seeks to understand : faith is first to the Christian.
Faith-trust, faith-love, faith-desire to know better God in ode to love him better. To better understand the good in order to accomplish it better. This is love in truth.

The human being - the human animal - ¬ can not live and survive without a minimum of security and certainty to have always experienced the perils which make him feel his fragility.

What is the Bible of the Jews if not this huge story of hopes and insults of the people of God? All people he was elected, he has been saving nothing. It was invaded by everything that the heart of man is made of : desire, faith, doubt, denial, love, passion, high aspirations, idolatry ... Crossing the desert and experience the oppression, away from home, exile. Many events and moments that, little by little, are bringing people back to themselves, push them into a corner, lead them to draw ever deeper into their resources of hope and faith. In a nutshell, to rely, ultimately, to God alone!
The prophets have marked the look of this journey of faith. (The Trito) Isaiah repeats the obvious existential evidence : hope must always look ahead. It turns to the consolation to come,  indeed,  to the total consolation, towards the abolition of all punishment. But still, however, this hope can only hit the real, grapple with what is happening every day

In Babylon, - 587, the Jews dreamed of a glorious restoration. Return to the country after thirty years, has proved disappointing. The enthusiasm, born of liberation, falls quickly: comparison of dream and reality. The role of the prophet is trying to restore confidence and hope. He anticipates his risk and peril: one day, Jerusalem will shine again of the divine glory. One day, God will comfort his people, as a mother comforts her child. This will be the utter joy. Faith is more often hope, even if it is crazy.

One evening, Radio London broadcast after the first verse of Verlaine: The long sobs of the violins of autumn, the second one : cradle my heart a long monotonous here was there! The landing was to take place and end the occupation! All French hope became resurrection hope!

The same factors are at work throughout the life of Paul. Despite everything he learned in his rabbinical training where he is a master, it is the cross that is revealed to him and has definitely marked. His words to the Corinthians (1 Cor 2, 2): "I have wanted to know among you only Jesus Christ, and Him crucified" declare a statement, a decision.
At the same time, it is in the light of the Resurrection, that he says how Hz has been transformed : in his life, his heart, his faith and religious practice; everything became Christian and opens a any new religious dynamics. Paul has definitely changed his relation to all practices, circumcision and submission to the ordinances of the Law, by which he hoped to secure his salvation once. Now his only concern is, in his words, "to share in Christ's death" for "having also share in his resurrection." "What counts is not having or not having circumcision, it is the new creation. "(15) The lines released, the barriers cut, the anchor sank. We can not believe that half, have a rag of faith, a shred of hope, a crumb of love. For Paul, it's all or nothing. The warm? Very little for him. Under these conditions, if Christ is not risen, we are of all men most miserable (1 Cor 15.19). Paul has complete confidence.

He can now access to new existence, previously unknown: it is the experience of being "strong in weakness" and can bear persecution without being disturbed. And no one can separate him from Christ, no one can deprive him of his liberty.

What is this Jesus to whom Paul, and we in our turn, have been appointed to announce? God and man: someone who calls for faith and trust, and who himself lives in confident communion regime with whom he called "the Father." The only mission he entrusted to his disciples is the image of what he does himself, to go to meet their fellowmen in doing good, in proposing confidence, in calling to faith.

This apostolic mission is one that has continued willy nilly through the centuries.
It is to call men to peace and brotherhood at any cost: hum!
It should take place without the support of human resources: hard, hard!
It requires a true interior freedom of those who lead: even harder!
It must be a challenge to men as well as for both the poverty of its ways as the ambition of his aims: that is frankly impossible with men, but nothing is impossible with God ...
It should make people aware of their responsibilities to the good, starting with the missionaries themselves!
If  god sent imposes
himself, if he can be prevented, it can also be upheld and promoted. This is the decision of each recipient ... How beautiful upon the mountains are the feet of the messenger who publishes the good news of peace, who proclaims happiness, who publishes salvation (Isaiah 52, 7 and Ro 10:15)

You can go back a campaign successful. The disciples should not stun the intoxication of power, but rejoice in the assurance to live of God. Have fulfilled their mission to proclaim, passing over to others evidence in turn. Their example gave the courage of faith because each time was tough. If there was a Christian golden age of, the real one is eternal.

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deutsch

Was evangelisieren?
Wie zu evangelisieren die Welt von morgen? Mehrere "evangelische" moderne Prediger haben die Kunst des einredens und lockens Menschenmassen. Wenn sie nur Katholiken waren, eine gewisse Hierarchie bedauert ... Allerdings ist der Inhalt dieser Predigt oft verwirrend oder inakzeptabel.
Wenn wir am Evangelium halten, das ist das Wort Jesu, das wir wollen. Er vertraute es einige, die anderen "bis an die Enden der Erde" bis heute gespendet haben. Wie würden wir an  der Höhe des Relais sein! Wir möchten, Wege finden,  zu "gehen" mit, wenn nicht einer Verpflichtung, zumindest mit einem gewissen Grad an Erfolg, um dieses Evangeliumsliebe, das so teuer ist und die ist unser Think Tank! Transmission aufhören würde es unsere Schuld, das letzte schwache Glied in einer Jahrtausends Kette?

Doch die Zeiten, die wir erleben, uns daran erinnern, und nicht darum sind, zu schließen: Missverständnisse über die Ziele unserer Verantwortung im Überfluss. Sie entstehen schneller as durch Missverständnisse darüber, was das Evangelium ist und was es bietet; praktisch vorbereitet. Das Rezept des Dr. Lukas ist mehr denn je in Betracht gezogen werden: "Seht also, wie ihr hören" (8, 18). Das ist nichts weniger als um eine Synergie mit uns und dem Wort noch bekannt geben, zu erstellen. Er ist erstens es aufzunehmen,  sich durch es transformiert werden, um es vor dem Wiederherstellen assimilieren. Dieses Wort bringt dem, wer es richtig erhält  tiefe Stärke und Sicherheit, weil sie den Glauben gründet und im Glauben, das heißt, im Selbstvertrauen und in ihm.

Es ist weit von diesen Bestimmungen, wo der Geist, das Herz und der Glauben an den Gott des Lebens, die ersten sind,  zum utopischen Ziel, den Globus in der Zwangsjacke eines sakrosankten Systems von absoluten Wahrheiten zu sichern.
Es ist weit von der Kreuz eines Jesus, der zu dem höchsten Treuepunkt am Galgen geht, zum etwa menschlichen  Vorhaben, die Welt um jeden Preis auch zwangsweise zu christianisieren: trotz des neuen Gebotes, dass Jesus gerade gab!
Es ist Kraft in Gott. Es ist Gewissheit in Gott. Es ist die Wahrheit, nur Gott. Wir wollen wirklich Allah Akbar
الله أكبر! schreien

Glaube öffnet hellen Horizonts zu der Intelligenz die zu verstehen sucht, der Glaube ist zuerst beim Christ.
Glaube-Vertrauen, Glaube-Liebe, Glaube- Wunsch, Gott besser zu kennen und besser zu lieben. Zum besseren Verständnis der guten zu erreichen besser. Das ist die Liebe in der Wahrheit.

Der Mensch - das menschliche Tier - ¬ kann nicht leben und überleben ohne ein Mindestmaß an Sicherheit und Gewissheit, deswegen, die Gefahren, wo seine Zerbrechlichkeit auf die Probe gestellt wird, immer erlebt zu haben.

Was ist die Bibel der Juden, wenn nicht diese große Geschichte von Hoffnungen und Beleidigungen des Volkes Gottes? alle Menschen, die er gewählt wurde, wurde nichts erspart. Es wurde von allem vom, was das Herz des Menschen macht, erobert: Begehren, Glauben, Zweifel, Ablehnung, Liebe, Leidenschaft, hohe Erwartungen, Götzendienst ... die Wüste Kreuzung und das Erlebnis de Unterdrückung, weg von zu Hause Exil. Viele Ereignisse und Momente, die Stück für Stück, die Menschen in selbst treiben, sie in die Ecke schieben, sie immer tiefer führen, in ihre Ressourcen der Hoffnung und des Glaubens zu schöpfen. In einer Nussschale, sich letztlich auf Gott allein zu verlassen!
Die Propheten haben das Aussehen dieses Wegs des Glaubens markiert. (Der Trito) Jesaja wiederholt die existentielle Evidenz : Hoffnung muss immer nach vorne schauen. Sie dreht sich in der Tat um den zukommende Trost, um den totalen Trost, zur Abschaffung aller Strafe. Aber immer noch, kann aber diese Hoffnung nur mit der Realität treffen, mit dem auseinandersetzen, was geschieht jeden Tag

In Babylon, - 587, träumten die Juden von einer glorreichen Restaurierung. Rückkehr in das Land nach dreißig Jahren, hat sich enttäuscht. Die Begeisterung, von der Befreiung geboren, fällt schnell: Vergleich von Traum und Wirklichkeit. Die Rolle des Propheten versucht, Zuversicht und Hoffnung wiederherzustellen. Er rechnet auf eigene Gefahr : eines Tages wird Jerusalem wieder der göttlichen Herrlichkeit scheinen. Eines Tages, wird so Gott sein Volk trösten, wie eine Mutter ihr Kind tröstet. Dies wird die völlige Freude sein. Der Glaube wird immer häufiger Hoffnung, auch wenn es verrückt ist.

Eines Abends, ausgestrahlt Radio London nach dem ersten Vers der Verlaine: Die langen Schluchzen der Geigen des Herbstes, den zweiten: Wiege mein Herz mit eine monotonen Mattigkeit :  hier war's! Die Landung stattfinden sollte und das Ende der Besatzung! Allen Franzosen wurde Auferstehungshoffnung!

Die gleichen Faktoren sind bei der Arbeit während der gesamten Lebensdauer des Paulus. Trotz allem, was er in seiner rabbinischen Ausbildung, wo er ein Meister ist, gelernt haben, ist es das Kreuz, das ihm geoffenbart ist und ihn definitiv markiert hat. Seine Worte an die Korinther (1 Kor 2, 2): "Ich wollte mitten von Ihnen nur Jesus Christus, den Gekreuzigten wissen " erklären einen Stand der Entscheidung.
Zur gleichen Zeit ist es im Licht der Auferstehung, dass er sagt, wie er in seinem Leben, seinem Herz, seinen Glauben und Zuverlässigkeit, seiner religiösen Praxis umgewandelt wurde : alles wurde Christus und öffnet ein ganz neue religiöse Dynamik. Paulus hat definitiv seine Beziehung an alle Praktiken - die Beschneidung und die Unterwerfung unter die Verordnungen des Gesetzes geändert, mit denen er hoffte, sein Heil einmal zu sichern. Jetzt ist seine einzige Sorge, in seinen Worten, "am Tode Christi teilnehmen", um " auch seine Auferstehung mitzuteilen." "Was zählt, ist nicht mit oder ohne Beschneidung: es ist die neue Schöpfung. "(15) Die Linien freigesetzt, Schranken geschnitten, die Anker sank. Wir können nicht glauben half, einen Lappen des Glaubens, ein Fetzen der Hoffnung, ein Krümel der Liebe haben. Für Paul ist es alles oder nichts. Die warm? Sehr wenig für ihn. Unter diesen Bedingungen, wenn Christus nicht auferstanden ist, sind wir von allen Menschen erbärmlichsten (1 Kor 15,19). Paul hat volles Vertrauen.

Er kann nun auf eine neue Existenz, zuvor unbekannt: es ist die Erfahrung des Seins "stark in Schwäche" und er Verfolgung tragen ohne gestört zu werden. Und niemand kann ihn von Christus trennen, niemand kann ihn seiner Freiheit zu berauben.

Was ist dieser Jesus, den Paulus, und wir in unserer Reihe, ernannt worden zu verkünden? Gott und Mensch: ". " jemand, der für den Glauben und das Vertrauen ruft, und der sich selbst in Regime der Kommunion zuversichtlich lebt, mit dem, was er als Vater erkennt. Die einzige Mission vertraute er zu seinen Jüngern ist das Bild von dem, was er tut, selbst zu gehen, um ihre Kollegen in Gutes zu tun gerecht zu werden, in ¬ posiert Vertrauen zu schenken, Glauben zu fordern.

Diese apostolische Sendung ist eine, die wohl oder übel über die Jahrhunderte fortgetragen wurde.
Es ist, die Menschen zu Frieden und Brüderlichkeit unter allen Umständen anrufen: hum!
Es sollte ohne die Unterstützung der menschlichen Ressourcen zu nehmen: hart, hart!
Es erfordert eine wahre innere Freiheit derer, die führen: noch härter!
Es soll die Menschen, sowohl mit der Armut seiner Möglichkeiten wie dem Ehrgeiz seiner Leistung provozieren : es ist, ehrlich gesagt, bei den Menschen unmöglich, aber nichts ist unmöglich mit Gott ...
Es sollte das gut bezüglich die Menschen ihrer Verantwortung bewusst machen, beginnend mit den Missionaren selbst!
Wenn sich der Gesandte nicht imponiert oder jemals verhindert werden kann, kann er auch aufrecht erhalten und gefördert werden. Das ist die Entscheidung jedes einzelnen Empfängers ... Wie lieblich sind auf den Bergen die Füße der Boten, die gute Nachricht des Friedens veröffentlicht, um ein, die das Glück verkündet, die das Heil veröffentlicht (Jesaja 52, 7 und Ro 10:15)

Sie können erfolgreich einer Kampagne zurück. Die Jünger sollten den Rausch der Macht nicht stur, sondern in der Gewissheit, von Gott zu leben freuen. Erfüllt ihre Mission zu verkünden, Übergabe an andere Beweise in der Reihe. Ihr Beispiel hat den Mut des Glaubens, denn jedes Mal war hart. Wenn es ein goldenes christliches Zeitalter, ist die eigentliche ewig.

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italiano

Cosa evangelizzare?
Come evangelizzare il mondo di domani? Numeosi "evangelists", predicatori moderni, hanno l'arte di arringare e attirare le folle. Se solo fossero cattolici, una certa gerarchia dispiace ... Tuttavia, il contenuto di tale predicazione è spesso confuso o inaccettabile.
Se prendiamo il Vangelo, è la Parola di Gesù che vogliamo. Gesu la confidò ad alcuni che hanno donato ad altri "fino agli estremi confini della terra" fino ad oggi. Sarebbe l'altezza del relè! Ci piacerebbe trovare il modo di "passare" con, se non di un obbligo, almeno con un certo grado di successo, questo Vangelo che è noi così costoso e che è il nostro think tank! La trasmissione sarebbe fermare la nostra colpa, l'ultimo anello debole di una catena d due millenni?

Ma i tempi che stiamo vivendo ci ricordano e non sono per chiudere: equivoci sugli obiettivi della nostra responsabilità abbondano. Essi sorgono più velocemente che vengono preparate dagli equivoci su ciò che il Vangelo è e cosa che offre virtualmente. L'ordine del Dtt. Luca è più che mai da considerare: "Badate dunque come ascoltate" (8, 18). Questo è niente di meno che di creare una sinergia con la Parola da annunciare. Il primo è adattarsi alla trasformazione da essa, e assimilare prima di ripristinare. Questa parola porta a chi riceve "come conviene" profonde forza e certezza, perché stabilisce la fede e nella fede, vale a dire, in fiducia in se stesso e in essa.

E lontano da queste disposizioni in cui il cuore, la mente e la fede nel Dio della vita sono in primo luogo, all'ambizione utopica, fissare il globo nella camicia di forza di un sistema di sacrosanta verità assolute.
E lontano dalla croce di Gesù che va alla corona della fedeltà suprema su un patibolo, al proposto umano cristianizzare il mondo ad ogni costo, anche con la forza: a dispetto del comandamento nuovo che Gesù dovuto dare!
C'è forza in Dio. C"è certezza in Dio. C'È la verità solo di Dio. Vogliamo davvero gridare Allah Akbar
الله أكبر!

La fede apre orizzonti brillanti all'intelligenza che cerca di comprendere :  la fede è il primo per el cristiano.
La fede-fiducia, la fede-amore, la fede- desiderio di  meglio conoscere Dio, ad amarlo meglio. Per comprendere meglio il bene, ad assolvere meglio. Questo è l'amore nella verità.

L'essere umano - l'animale umano - non può vivere e sopravvivere senza un minimo di sicurezza e di certezza, perche ha sempre vissuto i pericoli dove si sente la sua fragilità.

Qual è la Bibbia degli ebrei, sino questa storia enorme di speranze e di insulti del ​​popolo di Dio? Tutte le persone che era eletto, ha risparmiato nulla. E 'stato invaso da tutto ciò che fa il cuore dell'uomo: il desiderio, la fede, il dubbio, la negazione, l'amore, la passione, alte aspirazioni, idolatria ... Attraversando il deserto e vivere l'oppressione lontano da casa,  l'esilio. Molti eventi e momenti che, a poco a poco, portano le persone in si stessi, a spingerle in un angolo, a forzarle  a disegnare sempre più nel loro risorse di speranza e di fede. In poche parole, di far valere, in ultima analisi, solo a Dio!
I profeti hanno segnato il ritmo di questo cammino di fede. (Il Trito) Isaia ripete l"evidenza ovvia esistenziale : l"esperanza deve sempre guardare avanti. Si gira verso la consolazione davvero, arrivando alla totale consolazione verso l'abolizione della pena. Ma ancora, tuttavia, questa speranza non può che colpire il reale, alle prese con ciò che sta accadendo ogni giorno

In Babilonia, - 587, gli ebrei sognato di un restauro glorioso. Ritorno al paese dopo trent'anni, si è rivelato deludente. L'entusiasmo, nato di liberazione, cade rapidamente: confronto tra sogno e realtà. Il ruolo del profeta sta cercando di ripristinare la fiducia e la speranza. Egli anticipa suo rischio e pericolo : un giorno, Gerusalemme brillerà ancora della gloria divina. Un giorno, Dio consolarà il suo popolo, come una madre consola un figlio. Questa sarà la gioia assoluta. La fede è più spesso la speranza, anche se è pazzesca.

Una sera, Radio Londra in onda dopo il primo verso di Verlaine: I singhiozzi lunghi dei violini d'autunno, il secondo : bancale mio cuore una languore monotona : qui era là! L'atterraggio è stato quello di prendere posto e porre fine all'occupazione! Per tutti i francese la speranza divenne la risurrezione!

Gli stessi fattori sono al lavoro per tutta la vita di Paolo. Nonostante tutto quello che ha imparato nella sua formazione rabbinica, dove è un maestro, è la croce che gli si rivela e si è decisamente importante. Le sue parole ai Corinzi (1 Cor 2, 2): "Ho voluto sapere da voi solo Gesù Cristo, e crocifisso" dichiarare lo stato di una decisione.
Allo stesso tempo, nella luce della risurrezione, dice come è stato trasformato nella sua vita, il suo cuore, la sua fede e la pratica religiosa, tutto è diventato Cristo e apre una nuova dinamica religiosa. Paul ha decisamente cambiato la sua relazione a tutte le pratiche di circoncisione e sottomissione alle ordinanze della Legge, con la quale sperava di ottenere la sua salvezza, una volta. Ora la sua unica preoccupazione è, nelle sue parole, "a condividere la morte di Cristo" per "aver partecipazione" anche alla sua risurrezione. "Ciò che conta non è avere o non avere la circoncisione : è la nuova creazione. "(15) Le linee rilasciate, barriere tagliate, l'ancora affondata. Non possiamo credere mezzo mezzo, un briciolo di fede, un brandello di speranza, un straccio di amore. Per Paolo, è tutto o niente. I caldi? Molto poco per lui. In queste condizioni, se Cristo non è risorto, noi siamo di tutti gli uomini più miserabili (1 Cor 15,19). Paul ha completa fiducia.

Puo ora accedere a una nuova esistenza, sconosciuta finora : è l'esperienza di essere "forte nella debolezza" e può indossare persecuzione senza essere disturbato. E nessuno può separare da Cristo, nessuno può privarlo della sua libertà.

Che cosa è questo Gesù, che Paolo, e noi a nostra volta, sono stati nominati per annunciare? Dio e uomo: ". Il Padre" qualcuno che chiama per la fede e la fiducia, e che si vive in regime di comunione confidenza con quello che egli chiama Il Padre. L'unica missione che ha affidato ai suoi discepoli è, all'immagine di ciò che lui stesso fa, andare a incontrare i loro omologhi nel fare il bene, richiedente confidenza e chiamando fede.

Questa missione apostolica è quella che ha continuato volenti o nolenti nel corso dei secoli.
E 'di chiamare gli uomini alla pace e alla fratellanza a tutti i costi: hum!
Si dovrebbe aver luogo senza il sostegno delle risorse umane: duro, duro!
Si richiede una vera libertà interiore di chi guida: ancora più difficile!
Dovrebbe rimuovere gli uomini sia per la povertà dei suoi modi dall'ambizione del suo intervento: non vi è francamente impossibile agli uomini, ma niente è impossibile a Dio ...
Si dovrebbe rendere le persone consapevoli delle loro responsabilità al bene, a partire dai missionari stessi!
Se l'inviato non imporre mai, se può essere impedito, può anche essere accolto e promosso. Questa è la decisione di ogni destinatario ... Come sono belli sui monti i piedi del messaggero che pubblica la buona novella della pace a colui che proclama la felicità, che pubblica la salvezza (Isaia 52, 7 e Ro 10:15)

È possibile tornare indietro una campagna di successo. I discepoli non devono stordire l'ebbrezza del potere, ma a gioire per la certezza di vivere di Dio. Hanno compiuto la loro missione di proclamare, passando sopra ad altri elementi di prova a sua volta. Il loro esempio ha dato il coraggio della fede, perché ogni volta è stata dura. Se ci fosse un periodo d'oro christiano, il reale è eterno.

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espanol

¿Qué evangelizar?
Cómo evangelizar el mundo del mañana? Varios "evangélists", predicadores modernos, tienen el arte de arengar y atraer multitudes. Si sólo fueran católicos, una cierta jerarquía siento ... Sin embargo, el contenido de esta predicación es a menudo confuso o inaceptable.
Si tomamos el Evangelio, es la Palabra de Jesús que queremos. Él confió a algunos de los que han donado a otros "hasta los confines de la tierra", hasta hoy. Sería la altura del relé! Nos gustaría encontrar la manera de "pasar", con, si no una obligación, por lo menos con cierto grado de éxito, el Evangelio, que es tan caro y que es nuestro think tank! Transmisión detendría nuestra culpa, el eslabón más débil de la cadena pasada en dos milenios?

Pero los tiempos que estamos viviendo nos recuerdan y no están a punto de cerrar: malentendidos sobre los objetivos de nuestra responsabilidad abundan. Surgen más rápidamente son preparados por los malentendidos acerca de lo que es el evangelio y lo que ofrece de forma virtual. El orden de Dr. Luke es más que nunca a considerar: "Mirad, pues, cómo oís" (8, 18). Esto no es nada menos que crear una sinergia con la Palabra que se anunciará. Él es el primero en acomodarse a transformar por él, para asimilar antes de restaurar. Esta palabra lleva a que reciba "correctamente" la fuerza y ​​la certeza profunda, ya que establece la fe y en la fe, es decir, en la confianza en si y en ella.

Hay mucho desde estas disposiciones donde la mente, el corazón y la fe en el Dios de la vida son en primer lugar, hasta la ambición utópica, asegure el mundo en la camisa de fuerza de un sistema sagrado de la verdad absoluta.
Está lejos de la cruz de un Jesús que va a los puntos de fidelidad suprema de la horca, a eso proyecto humano cristianizar el mundo a cualquier precio, incluso por la fuerza: en el desafío del nuevo mandamiento que Jesús tenía que dar!
Hay fuerza en Dios. Hay certeza en Dios. Es verdad que Dios. Tenemos muchas ganas de gritar Allah Akbar
الله أكبر!

La fe abre el horizontes brillantes a la inteligencia que trata de comprender : es que la fe es el primero en el cristiano.
La fe -confianza, la fe-amor, la fe de mejor conocer a Dios para amar más. Comprender mejor el bien para llevar a cabo mejor. Esto es amor de verdad.

El ser humano - el animal humano - no se puede vivir y sobrevivir sin un mínimo de seguridad y la certeza, por haber vivido siempre de los peligros que se siente su fragilidad.

¿Qué es la Biblia de los Judíos sino esta gran historia de esperanzas e insultos al pueblo de Dios? Todas las personas que lo eligieron, él ha estado ahorrando nada. Fue invadida por todo lo que forma el corazón del hombre: el deseo, la fe, la duda, la negación, el amor, la pasión, altas aspiraciones, la idolatría ... Cruzando el desierto y la experiencia de la opresión,  fuera de casa, exilio. Muchos eventos y momentos que, poco a poco, la gente se está llevando, empujarlos en una esquina, los llevan a dibujar cada vez más en sus recursos de la esperanza y la fe. En pocas palabras, confiar, en definitiva, sólo a Dios!
Los profetas han marcado el aspecto de este camino de fe. (El Trito) Isaías repite la evidencia obvia existencial : la esperanza siempre debe mirar hacia adelante. Se vuelve hacia el consuelo de hecho, llegando a un consuelo total hacia la abolición de la pena. Pero aún así, sin embargo, esta esperanza sólo puede alcanzar lo real, para lidiar con lo que está ocurriendo todos los días

En Babilonia, - 587, Judíos soñaban con una gloriosa restauración. El retorno al país después de treinta años, ha resultado decepcionante. El entusiasmo, nacido de la liberación, cae rápidamente: comparación de los sueños y la realidad. El papel del profeta está tratando de restaurar la confianza y la esperanza. Él anticipa por su cuenta y riesgo: un día, Jerusalén brillará otra vez de la gloria divina. Un día, Dios consolara a su pueblo, como una madre consuela a su hijo. Esta será la alegría absoluta. La fe es más a menudo la esperanza, aunque sea una locura.

Una noche, Radio Londres, después de emitir el primer verso de Verlaine: Los largos sollozos de los violines de otoño, la segunda : cuna de mi corazón un languidez monótono : aquí estaba allí! El aterrizaje se llevaría a cabo y poner fin a la ocupación! Para todos los franceses la esperanza se convirtió la resurrección!

Los mismos factores están en el trabajo a lo largo de la vida de Pablo. A pesar de todo lo que aprendió en su formación rabínica donde él es un maestro, es la cruz que se le revela y ha marcado definitivamente. Sus palabras a los Corintios (1 Cor 2, 2): "Tengo ganas de saber de usted que Jesucristo, ya éste crucificado" declarar el estado de una decisión.
Al mismo tiempo, es a la luz de la resurrección, dice cómo se ha transformado en su vida, su corazón, su fe y religiosa práctica, todo se convirtió en Cristo y abre una cualquier dinámica religiosa nueva. Pablo ha cambiado definitivamente su informe a todas las prácticas, la circuncisión y la sumisión a las ordenanzas de la ley, por lo que él esperaba asegurar su salvación una vez. Ahora, su única preocupación es, según sus palabras, "para compartir en la muerte de Cristo" por "haber también compartir en su resurrección." "Lo que cuenta no es tener o no tener la circuncisión es la nueva creación. "(15) Liberar las líneas, cortar las barreras , el ancla se hundió. No podemos creer en la mitad, tienen un trapo de fe, una pizca de esperanza, una migaja de amor. Para Pablo, es todo o nada. La cálida? Muy poco para él. En estas condiciones, si Cristo no resucitó, somos de todos los hombres más miserables (1 Cor 15,19). Pablo tiene confianza.

Ahora se puede acceder a una nueva existencia, hasta ahora desconocida: es la experiencia de ser "fuerte en la debilidad" y el apoyo puede llevar persecución sin ser molestado. Y nadie puede separarle de Cristo, nadie puede privarle de su libertad.

¿Qué es este Jesús que Pablo, y nosotros por nuestra parte, han sido designados para anunciar? Dios y el hombre: " alguien que llama a la fe y la confianza, y que se vive en régimen de comunión confiada con lo que él llamó Padre". La única misión que confió a sus discípulos, es la imagen de lo que él mismo hace, para ir a reunirse con sus homólogos en hacer el bien, posando en la confianza, llamando la fe.

Esta misión apostólica es la que ha seguido  - queramos o no - a través de los siglos.
Es de llamar a los hombres a la paz y la hermandad a toda costa: hum!
Debe llevarse a cabo sin el apoyo de los recursos humanos: duro, duro!
Se requiere una verdadera libertad interior de los leaders: aún más difícil!
Debe provocar a los hombres, tanto la pobreza de sus caminos por la ambición de su proyecto: no es francamente imposible para los hombres, pero nada es imposible para Dios ...
Se debe dar a conocer sus responsabilidades para el bien, a partir de los propios misioneros!
Se el enviado no imponer nunca, se puede prevenir, sino que también puede ser acogido y promovido. Esta es la decisión de cada destinatario ... Cuán hermosos son sobre los montes los pies del mensajero que anuncia la buena nueva de la paz a alguien que proclama la felicidad, que publica salvación (Isaías 52, 7 y Ro 10:15)

Puede volver una campaña exitosa. Los discípulos no deben aturdir a la embriaguez del poder, sino para regocijarse en la seguridad de que viven de Dios. Haber cumplido su misión de proclamar, pasando por encima de cualquier otra prueba en turno. Su ejemplo dio el valor de la fe, porque cada vez que fue duro. Si hubo una edad de oro cristiana, la verdadera es eterna.

mardi 25 juin 2013

L'Appel



dimanche 30 juin 2013
Treizième dimanche du temps ordinaire
13ème DTO  30 JUIN 2013

I R 19, 16b.19-21, Ps 15, Ga 5, 1.13-18Lc 9, 51-62



Chaque homme ressent des aspirations et perçoit des appels. Mais certaines conditions  sont requises pour une réponse de la part des hommes. D'une part, il y a les appels du Prophète, les appels à la liberté, les appels à suivre le Christ. D'autre part, se dégagent trois éléments de réponse  : disponibilité, amour du prochain et marche vers le Royaume.

  • Au livre des Rois, nous sommes au IXe siècle avant Jésus-Christ. Élie est appelé par Dieu et il appelle à son tour Élisée qui sera le continuateur de sa Mission. Cette vocation impose de tout quitter. Élisée se met sans hésiter au service d'Élie... et hérite de son manteau quand Élie est enlevé au ciel...
  • Le Psalmiste (Ps 15), lui,  a choisi de consacrer sa vie à Dieu, son héritage: choix qui lui donne de vivre pleinement, en se dirigeant avec certitude vers un avenir de joie et de bonheur.
  • Paul, enfin, explique à ses amis de Galatie, qu'il y a des formes de vie religieuse qui enchaînent, car elles enferment l'homme dans une angoisse dont aucune pratique ne paraît jamais suffisante pour le libérer : névrose obsessionnelle! Et près avoir dénoncé ces pratiques, Paul invite les Galates à accéder à la véritable liberté qui s'oppose au relâchement moral, permet l'amour des autres et n'a rien à voir avec les contraintes de la Loi, car elle est le fruit du don de l'Esprit Saint.

Les lectures qui précèdent l'évangile sont ainsi comme des  mises en bouche - ou en situation si on préfère! AUJOURD'HUI Jésus prend résolument le chemin de Jérusalem. En toute liberté, il reçoit son héritage, guidé par l'esprit saint!
Ce chemin vers Jérusalem, c'est le départ vers la mort : Jésus le sait, car IL a vu monter l'hostilité, et dans la capitale, tout un groupe d'adversaires et d'ennemis l'attendent. Jérusalem, c'est la ville où l'on tue les Prophètes (Lc 13, 34). IL aurait pu... NON, IL ne se dérobera pas à sa Mission et à ses conséquences, collatérales ou autres!

Ce RÉSOLUMENT doit marquer aussi ceux qui veulent suivre Jésus.
Tout chrétien y est appelé, ce qui est en réalité SUIVRE JÉSUS: En toute liberté, recevoir son héritage, guidé par l'esprit saint!
Nous pouvons d'ailleurs passer un test évangélique en étudiant les réponses de Jésus à trois candidats à LE suivre.
  1. « LE FILS DE L'HOMME N'A PAS D'ENDROIT OÙ REPOSER SA TÊTE ». C'est dire : Tu ne sauras pas où te loger, tu dois te dépouiller de toute attache, tu te priveras, tu t'engageras dans l'insécurité...
  2. « LAISSE LES MORTS ENTERRER LEURS MORTS » C'est d'abord l'ordre de ne pas lambiner. Il y a des choix difficiles qu'il ne faut pas tarder à faire sous peine de tuer une vocation...
  3. « CELUI QUI REGARDE EN ARRIÈRE N'EST PAS FAIT POUR LE ROYAUME ». Il y a des manières de s'accrocher peureusement au passé qui ne sont pas du tout des marches résolues vers Jérusalem. Au lieu de faire indéfiniment des adieux en ressassant ses souvenirs, le disciple du Christ est cet être tendu en AVANT qu'a décrit Saint Paul : « Oubliant le chemin parcouru et tendu en AVANT, je marche vers le but. » (Ph 3, 13-14)
Combien d'apôtres ont été - et sont encore -, engourdis par le bien-être, le confort ! Quand PÂQUES devient la "fête du chocolat" et Noël un "réveillon orgiaque"..., on peut tout craindre!

Si, sur la route,  Jésus se voit refuser l'entrée d'un village samaritain, c'est qu'il se dirige vers Jérusalem. Entre Juifs de Samarie et de Jérusalem, il existe une guerre sourde qui dure depuis l'apostasie des Samaritains après la mort de Salomon (1000 ans avant lui!). Même si les apôtres seraient prêts à se venger de cet affront, Jésus subit le rejet de ces gens à qui IL ne veut que du bien...

Nous sommes les disciples d'un Maître qui a connu la contradiction, ne croyons pas que nous pouvons le rejoindre en traversant un champ de roses sans être déchirés par les épines. Comme notre Maître, nous serons persécutés, même pour nos bonnes actions. Le pire, c'est que souvent, ceux qui s'opposent à nous sont bons et croient même travailler pour la Gloire de Dieu... Cependant, il faut bien nous convaincre que les obstacles que nous rencontrons ne nuisent en rien à notre liberté ni n'entament notre héritage si nous nous laissons toujours guider par l'esprit saint!
De toute façon,
Dieu est bien connu pour nous mener où IL veut par les chemins les plus étranges!

Que notre liberté soit d'abord intérieure. La révolte ne vaut rien devant les contradictions. Nous n'avons qu'à entendre Jacques et Jean (surnommés les fils du tonnerre) que Jésus réprimande. Certes, il faut fuir le mal, lutter au sein des contradictions, mais ne jamais oublier l'Amour, car c'est le NOM propre de notre Maître: Dieu est AMOUR.

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english

Each man feels aspirations and receives calls. But some conditions are required for a response from men. On the one hand, there is the call of the Prophet, calls for freedom, calls to follow Christ. On the other hand, we find three elements of response : availability, love of neighbor and walk towards the Kingdom.

• In the book of Kings, we're in the ninth century BC. Elijah is called by God and he in turn calls Elisha to be the successor of his mission. This vocation requires to leave everything. Elisha goes without hesitation to Elijah Service ... and inherits his mantle when Elijah is taken to heaven ...
• The Psalmist (Ps 15), he, chose to dedicate his life to God, his legacy: choice to live out, going with certainty to a future of joy and happiness.
• Paul finally tells his friends of Galatia, there are forms of religious life that bind because they lock the man in anguish which no practice never seems sufficient to release: obsessive neurosis ! And afer having denounced these practices, he invites the Galatians to access to true freedom which opposes the moral laxity, allows the love of others and has nothing to do with the constraints of the Law, as it is the result the gift of the Holy Spirit.

The foregoing readings of the gospel are as appetizers - or scenario, if you prefer! TODAY Jesus resolutely takes the road to Jerusalem. Freely, he received his legacy, guided by the Holy Spirit!
This way to Jerusalem, is the departure to Death. Jesus knows, because He has seen hostility growing, and in the capital, a whole group of opponents and enemies await him. Jerusalem is the city where the prophets (Lk 13, 34) are killed. He could ... NO, he does not shirk its mission and its consequences, collateral or other!

This should mark RESOLUTELY also those who want to follow Jesus.
Every Christian is called, which is actually FOLLOW JESUS: In freely receiving one's legacy, guided by the Holy Spirit!
We can also pass a test by studying the gospel answers of Jesus to three candidates to follow him.
1. "THE SON OF MAN HAS NO PLACE TO REST HIS HEAD." That is to say: You will not know where you stay, you must divest yourself of any attachment, you bereave thee, you engage insecure ...
2. "LET THE DEAD BURY THEIR DEAD" This is first the order not to dawdle. There are hard choices you must not delay making the risk of killing a vocation ...
3. "HE WHO LOOKS BACK IS NOT DONE FOR THE KINGDOM." There are ways to cling fearfully to the past that are not determined ways toward Jerusalem. Instead of endlessly rehashing farewell in his memories, the disciple of Christ is this being stretched forward, that described Saint Paul: "Forgetting the path and stretched forward, I walk towards the goal. "(Phil 3: 13-14)

How many apostles were - and still are - numbed by the welfare, comfort! When EASTER becomes the "Chocolate Festival" and a Christmas "orgiastic Eve" ... there is a true risk!

If, on the road, Jesus is denied entry to a Samaritan village is that he goes to Jerusalem. Between Jews of Samaria and Jerusalem, there is a silent war that has lasted since the apostasy of the Samaritans after the death of Solomon (1000 years before him). Although the apostles were ready to avenge this insult, Jesus suffered the rejection of those people for whom He wants only good ...

We are disciples of a Master who has experienced the contradiction: do not believe that we can reach across a field of roses without being torn by thorns. As our Master, we are persecuted, even for our good deeds. The worst thing is that often those who oppose us are good and believe even work for the Glory of God ... However, we must convince ourselves that the obstacles we encounter don't detract us from our freedom, nor start our heritage if we let ourselves be guided always by the Holy Spirit!
Anyway, God is well known to lead us where He wants by the strangest ways!

That our freedom be first interior. The revolt is worthless to contradictions. We have only heard James and John (dubbed the sons of thunder) that Jesus rebuke. Certainly, we must avoid evil, fighting in contradictions, but never forget the love, because it is the own NAME of our master: God is LOVE.

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deutsch

Jeder Mensch fühlt Bestrebungen und nimmt Anrufe entgegen. Aber einige Bedingungen werden auf eine Antwort von den Menschen benötigt. Auf der einen Seite gibt es die Aufforderung des Propheten, Anrufe nach  Freiheit und Anrufe, um Christus nachzufolgen. Auf der anderen Seite haben wir drei Elemente der Antwort : Verfügbarkeit, Liebe zum Nächsten und in Richtung des Königreichs.

• In dem Buch der Könige, sind wir in der neunten Jahrhundert vor Christus. Elia wird von Gott berufen, und er ruft wiederum Elisha, den Nachfolger von seiner Mission. Diese Berufung erfordert alles verlassen. Elisha geht ohne zu zögern zu Elia-Service ... und erbt seinen Mantel als Elia in den Himmel aufgenommen wird ...
• Der Psalmist (Ps 15) entschied sich, sein Leben Gott zu widmen, sein Vermächtnis: dies ermöglicht die Wahl full zu leben, und mit Sicherheit auf eine Zukunft der Freude und des Glücks zu gehen.
• Paul schließlich erzählt seinen Freunden von Galatien, dass es Formen des religiösen Lebens gibt, die binden, weil sie die Menschen in Angst fixieren, die keine Praxis nie ausreichend scheint, um die Verriegelung aufheben: obsessive Neurose! Und nachem er diese Praktiken gekündigt hat,  ladet Paulus die Galater ein, auf die wahre Freiheit zu zugreifen, die die moralische Laxheit widersetzt, die Liebe des anderen kann und mit den Einschränkungen des Gesetzes nichts zu tun hat, weil sie das Ergebnis der Gabe des Heiligen Geistes ist.

Die vor dem Evangelium vorstehenden Lesungen sind als Vorspeise - oder Szenario, wenn Sie bevorzugen! HEUTE Jesus entschlossen nimmt die Straße nach Jerusalem. Frei erhielt er sein Vermächtnis, geführt durch den Heiligen Geist!
Dieser Weg nach Jerusalem ist Abfahrt zum Tod : es  weiß Jesus, weil er die Feindschaft sah, und in der Hauptstadt eine Gruppe von Gegnern und Feinden him erwarten. Jerusalem ist die Stadt, wo die Propheten (Lk 13, 34) getötet werden. Er könnte ... Nein, er tut nichts, um sich seiner Mission und seinen Folgen,  oder anderen zu entziehen!

Dies sollte konsequent markieren auch diejenigen, die Jesus folgen wollen.
Jeder Christ wird dazu aufgerufen : was die eigentliche Nachfolge Jesus ist : frei sein Vermächtnis empfangen, und durch den Heiligen Geist geführt werden!
Wir können auch einen Test durch das Studium von Jesu Antworten im Evangelium auf drei Kandidaten auf die Nachfolge.
1. "Der Sohn des Menschen hat keinen Platz, seinen Kopf ausruhen." Das heißt: Sie werden nicht wissen, wo Sie wohnen, Sie müssen sich selbst von einer Pfändung veräußern, nichts haben, und ein Unsicheres Engagement eingehen ...
2. "Lass die Toten ihre Toten begraben" Dies ist erstens der Auftrag nicht zu trödeln. Es gibt harte Entscheidungen, die nicht verzögern dürfen, um das Risiko der Tötung einer Berufung ...
3. "Wer rückblickt IST NICHT FÜR den Königreich geeignet." Es gibt Arten, ängstlich an die Vergangenheit sich zu klammern, die nicht Schritten in Richtung Jerusalem positiv sind. Statt Abschied in seinen Erinnerungen endlos aufgiessen, ist der Jünger Christi dieser vom Paul beschriebene "nach vorne gestreckte" Mensch: "Ich vergesse den Pfad hinter mir, und gestreckt nach vorne, laufe ich zum Ziel. "(Phil 3, 13-14)

Wie viele Apostel waren - und sind noch immer - wie betäubt durch Wohlstand und Komfort! Wenn OSTERN das "Chocolate Festival" und Weihnachten eine "orgiastische Eve" wird ... es ist ein Risiko, das es!

Wenn auf der Straße, wird Jesus Zugang zu einem Dorf der Samariter verweigert,  ist es, dass nach Jerusalem geht. Zwischen Juden von Samaria und Jerusalem, ist es ein stiller Krieg, der seit der Apostasie der Samariter nach dem Tod von Solomon (1000 Jahre vor ihm) gedauert hat. Obwohl die Apostel bereit waren, diese Beleidigung zu rächen, erlitt Jesus die Ablehnung jener Menschen, für die er nur gut will...

Wir sind die Jünger von einem Meister, der den Widerspruch erlebt hat: glaubt nicht, dass wir über ein Feld von Rosen ohne von Dornen zerrissen durch erreichen. Als unser Meister, werden wir verfolgt, auch für unsere guten Taten. Das Schlimmste ist, dass oft diejenigen, die gegen uns sind,  auch gut sind und glauben auch für die Herrlichkeit Gottes zu arbeiten ... Allerdings müssen wir uns davon überzeugen, dass die Hindernisse die wir stoßen, von unserer Freiheit beeinträchtigen noch unsere Erbe beginnen, wenn wir uns immer durch den Heiligen Geist geführt werden lassen!
Wie auch immer, ist Gott gut bekannt, uns zu führen, wo er durch die seltsamsten Wege will!

Usere Freiheit sei ersterns in Innenraum. Die Revolte ist wertlos zu Widersprüchen. Wir haben nur Jakob und Johannes (genannt die Söhne des Donners), die Jesus Tadel hören. Sicherlich müssen wir das Böse meiden, in Widersprüchen kämpfen, aber die Liebe nie vergessen, weil sie unseres Meisters eigener Namen ist: Gott ist Liebe.

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italiano

Ogni uomo sente aspirazioni e riceve chiamate. Ma alcune condizioni sono necessarie per una risposta da uomini. Da un lato, vi è la chiamata del profeta, chiamata alla libertà, chiamata a seguire Cristo. D'altra parte, contiene tre elementi di risposta: disponibilità, l'amore del prossimo e camminare verso il Regno.

• Nel libro dei Re, siamo nel IX secolo aC. Elia è chiamato da Dio e lui a sua volta chiama Eliseo per essere il successore della sua missione. Per questa vocazione è necessario lasciare tutto. Eliseo va senza esitazioni al servizio Elia ... ed eredita il mantello quando Elia viene portato in cielo ...
• Il Salmista (Sal 15), ha scelto di dedicare la sua vita a Dio, la sua eredità: che da la scelta di vivere pienamente, di andare con certezza a un futuro di gioia e felicità.
• Paul finalmente le dice ai sui amici di Galazia, ci sono forme di vita religiosa che si legano in quanto bloccano l'uomo in angoscia che nessuna pratica non sembra mai sufficiente a rilasciare: ossessivo! E quasi dopo aver hanno denunciato queste pratiche, invita Paolo i Galati a un accesso alla vera libertà che si oppone al lassismo morale, consente l'amore per gli altri e non ha nulla a che fare con i vincoli della legge, in quanto è il risultato il dono dello Spirito Santo.

Le letture davanti al vangelo sono come antipasti - o un scenario, se si preferisce! OGGI Gesù prende risolutamente la strada per Gerusalemme. Liberamente, ha ricevuto la sua eredità, guidato dallo Spirito Santo!
Questo cammino verso Gerusalemme, è la partenza per sua morte: Gesù sa, perché Lui ha visto l'ostilità, e nella capitale, mentre un gruppo di avversari e nemici attendono. Gerusalemme è la città in cui vengono uccisi i profeti (Lc 13, 34). Potrebbe ... NO, non si sottrae a la sua missione e le sue conseguenze, garanzie o altro!

Questo dovrebbe segnare risolutamente anche coloro che vogliono seguire Gesù.
Ogni cristiano è chiamato, che in realtà è seguire Gesù: liberamente ricevere la sua eredità, guidato dallo Spirito Santo!
Possiamo anche passare un test per studiare il Vangelo come Gesù risponde a tre candidati del seguito.
1. "Il Figlio dell'uomo non ha dove posare il capo". Vale a dire: non si sa dove si vive, si deve cedere di te stesso ogni attaccamento, è priverò te, insicuro engagement ...
2. "Lascia che i morti seppelliscano i loro morti" Questo è il primo ordine di non indugiare. Ci sono scelte difficili, non deve ritardare, rendendo il rischio di uccidere una vocazione ...
3. "Colui che guarda indietro non è fatto per il Regno." Ci sono modi per aggrapparsi timorosamente al passato che non sono adatti passi verso Gerusalemme. Invece di rivangare all'infinito addio nei suoi ricordi, il discepolo di Cristo è questo essere che si estende davanti, come lo descritto da San Paolo: "Dimenticare il cammino percorso, estendersi davanti verso la meta. "(Fil 3, 13-14)

Quanti apostoli erano - e sono tuttora - intorpidite dal benessere, il comfort! Quando PASQUA diventa il "Festival del cioccolato" e Natale una "Eva orgiastica" ... vi è il rischio che!

Se, sulla strada, Gesù è negato l'ingresso in un villaggio di Samaritani, è che va a Gerusalemme. Tra gli ebrei di Samaria e di Gerusalemme, c'è una guerra silenziosa che dura fino da l'apostasia dei Samaritani dopo la morte di Salomone (1000 anni prima di Lui). Anche se gli apostoli erano pronti a vendicare questo insulto, Gesù ha sofferto il rifiuto di quelle persone per le quali Egli vuole solo il bene ...

Noi siamo discepoli di un Maestro che ha vissuto la contraddizione, non crediamo che si possa raggiungere attraverso un campo di rose, senza essere lacerati da spine. Come il nostro Maestro, siamo perseguitati, anche per le nostre buone azioni. La cosa peggiore è che spesso quelli che ci si oppongono sono buoni e credono anche  lavorare per la Gloria di Dio ... Tuttavia, dobbiamo convincerci che gli ostacoli che incontriamo non togliano la nostra libertà, né cominciano nostro patrimonio se ci lasciamo guidare sempre dallo Spirito Santo!
Ad ogni modo, Dio è ben noto per condurci dove Egli vuole dai modi più strani!

Che primo la nostra libertà sia interiore. La rivolta è senza valore di contraddizioni. Abbiamo solo sentito parlare Giovanni et e Jacobe  (soprannominati i figlii del tuono) che Gesù rimprovero. Certo, dobbiamo evitare il male, la lotta di contraddizioni, ma non dimenticare mai l'amore, perché è proprio il nome del nostro maestro : Dio è amore!

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espanol

Cada hombre siente aspiraciones y recibe llamadas. Sin embargo, se requieren algunas condiciones para una respuesta de los hombres. Por un lado, está la llamada del Profeta, la llamada a la libertad, la llamada a seguir a Cristo. Por otra parte, contiene tres elementos de respuesta : disponibilidad, el amor al prójimo y caminar hacia el Reino.

• En el libro de los Reyes, estamos en el siglo IX antes de Cristo. Elías es llamado por Dios y que a su vez llama a Eliseo para que sea el sucesor de su misión. Esta vocación requiere dejar todo. Eliseo va sin dudarlo al servicio de Elías ... y hereda su manto cuando Elías es llevado al cielo ...
• El salmista (Sal 15), decidió dedicar su vida a Dios, su legado: dar opción de vivir, ir con seguridad a un futuro de alegría y felicidad.
di  Galacia, hay formas de vida religiosa que encadenan, ya que bloquean el hombre de una angustia que no práctica no parece suficiente para liberar: obsesivo! Y despues de denunciar estas prácticas, invita Pablo a los Gálatas a un acceso a la verdadera libertad que se opone a la laxitud moral, permite el amor a los demás y no tiene nada que ver con las limitaciones de la ley, ya que es el resultado del don del Espíritu Santo.

Las lecturas anteriores del Evangelio son los aperitivos - o scenario, si usted prefiere! HOY Jesús toma resueltamente el camino a Jerusalén. Libremente, recibió su herencia, guiado por el Espíritu Santo!
Este camino a Jerusalén es la salida a la muerte : Jesús sabe, porque ha reconocido a la hostilidad, y en la capital, mientras que un grupo de opositores y enemigos esperan a el. Jerusalén es la ciudad donde se mataron a los profetas (Lc 13, 34). Podría ... NO, no elude su misión y sus consecuencias, garantías u otro!

Esto debería marcar DECIDIDAMENTE también aquellos que quieren seguir a Jesús.
Todo cristiano está llamado, que es en realidad SEGUIR A JESÚS: libremente recibir su legado, guiado por el Espíritu Santo!
También podemos aprobar un examen estudiando en el evangelio las respuestas de Jesús a tres candidatos al seguimiento.
1. "El Hijo del hombre no tiene donde reclinar la cabeza." Es decir: no se sabe dónde te quedas, debéis despojarse de cualquier accesorio, privarse, en un compromiso inseguro ...
2. "Deja que los muertos entierren a sus muertos" Este es primero el fin de no perder el tiempo. Hay decisiones difíciles, no debe retrasarlo,  y toma el riesgo de matar a una vocación ...
3. "EL QUE mira hacia atrás
NO SE HACE POR EL REINO". Hay maneras de aferrarse temerosamente al pasado que no se resuelve en todos los pasos hacia Jerusalén. En vez de cesar refrito de despedida en sus memorias, el discípulo de Cristo es el que se extendía adelante, como lo ha descrito San Pablo: "Olvidando el camino percorrido, mi estiró adelante hacia la meta. "(Flp 3, 13-14)

¿Cuántos apóstoles eran - y siguen siendo - entumecidos por el bienestar, la comodidad! Cuando PASCUA convierte en el "Festival del Chocolate" y la Navidad en "Eve orgiástica" ... existe el riesgo de que!

Si, en el camino, Jesús se le negó la entrada a un pueblo samaritano es que el va a Jerusalén. Entre Judios de Samaria y de  Jerusalén, hay una guerra silenciosa que ha durado desde la apostasía de los samaritanos después de la muerte de Salomón (1000 años antes de él). Aunque los apóstoles estaban dispuestos a vengar este insulto, Jesús sufrió el rechazo de las personas por quienes Él quiere sólo es bueno ...

Somos discípulos de un maestro que ha experimentado la contradicción, no creemos que podemos llegar a través de un campo de rosas sin ser desgarrados por las espinas. Como nuestro Maestro, nos persiguen, incluso por nuestras buenas obras. Lo peor es que a menudo los que se oponen a nosotros son buenos y creen incluso trabajar por la gloria de Dios ... Sin embargo, debemos convencernos de que los obstáculos que encontramos no son en detrimento de nuestra libertad ni comienzan nuestro patrimonio si nos dejamos guiar siempre por el Espíritu Santo!
De todos modos, Dios es bien conocido para llevarnos donde Él quiere que las formas más extrañas!

La libertad debe primero ser interior. La rebelión es inútil a contradicciones. Sólo hemos oído Santiago y Juan (conocidos como los hijos del trueno) que Jesús reprende. Ciertamente, debemos evitar el mal, luchando en contradicciones, pero nunca olvidamos el amor, porque es el propio nombre de nuestro maestro: Dios es amor.

lundi 17 juin 2013

Qui suis-je ?



Dimanche 23 juin 2013

12e dimanche du temps ordinaire Année C

Qui suis-je ?
Textes
-        Za 12, 10-11a ; 13, 1
-        Ps 62
-        Ga 3, 26-29
-        Lc 9, 18-24




Qui suis-je? La question se pose souvent, soit qu’on ne sache plus où on en est, après une épreuve importante par exemple (qui peut aller de la perte d’un être proche jusqu’à la décision de s’expatrier pour des motifs professionnels), ou un engagement radical (mariage, divorce, sacerdoce, politique…), soit qu’on ait besoin d’un feed back pour confirmer une conviction d’être ou de ne pas/plus être celui qu’on croyait être... Qu’on le réalise ou non, il y a une différence entre celui que l’on croit être, celui qu’on aimerait que les autres croient que nous soyons, celui que les autres croient qu’on est… et… celui qu’on est réellement. Confusément, nous le sentons, car nous ne parvenons jamais à étouffer notre conscience. Mais on espère faire illusion aux regard des passants, et, pire, à nos propres yeux. Jésus, lui, sait ce qu’il y a dans le cœur de l’homme (Jn 2, 25). Le chrétien essaie d’accorder tous ces "moi"s, de rester vrai et transparent, mais il a besoin qu’on lui dessille les yeux. Jésus nous met face à nous-mêmes, surtout si  le réveil est dur.

Ici, en  posant cette question à ses disciples – « Pour vous, qui suis-je ? » – il s’adresse donc, de façon paradigmatique et sans aucun doute, à tous ceux qui se réclament de lui, à tout chrétien. Et la question est urgente, en ces temps où les Eglises, malgré leurs efforts d’adaptation au temps présent, tantôt dérisoires, tantôt illusoires, traversent, encore, une période difficile. Ont-elles jamais connu le repos ?

L’interrogation ne peut que tarauder toute quête spirituelle. Car, pour devenir chrétien, il ne s’agit pas simplement – mais trop de catholiques le pensent encore ! - d’adhérer à un corps de doctrine ou à un catéchisme SUR Jésus ; il ne s’agit pas non plus de se contenter d’une approche intellectuelle et culturelle du Jésus « historique » : inépuisable internet et ses embuscades dernier cri, ou bien ouvrages d’auteurs classiques ou à la mode faisant –croit-on – autorité : tout est bon. Les expertises semblent parfaites, chacune dans leur genre !
Jésus exige beaucoup plus qu’une molle approbation de la raison, qu’un vague engagement intellectuel, qu’un discours stérile à force de pondération mielleuse. Il veut ce qui fait notre vie.
Il s’agit de savoir ce qu’il en est d’une / de ma  relation personnelle à ce Jésus de Nazareth d'une part, et d'autre part au Christ d’une foi élaborée par l’Eglise.
-        Quelle place actuelle et effective a-t-il dans mon existence ?
-        Qui est-il pour moi ?
-        Comment sa parole me tient-elle éveillé, et m’anime pour vivre ?
-        Comment s’incarne-t-il au cœur de ma vie intime, familiale, conjugale, professionnelle ?…

Après sa rencontre avec celui qui l’a jeté à terre sur la route de Damas, Paul prêche : « Vous tous que le baptême a unis au Christ, vous avez revêtu le Christ ; il n’y a plus ni Juif ni païen, il n’y a plus ni esclave ni homme libre, il n’y a plus l’homme et la femme, car tous, vous ne faites plus qu’un dans le Christ Jésus ».

Deux dimensions semblent se rejoindre chez lui, à la fois anthropo et théo logiques :  la première conditionnant l’autre, en lui étant nécessaire et suffisante :
-        d’une part – métaphore puissante – en « revêtant » le Christ par l’eau du baptême, nous perdons une identité « seulement » spatiotemporelle, pour en « endosser » une autre, au-delà du temps et de l’espace : celle de chrétien = l’homme/la femme DU Christ ;
-        d’autre part, tous ceux et celles à qui cela arrive, se récapitulent dans ce Christ mystique, et ne forment plus qu’UN avec lui, comme un corps (d’)armé(e), articulé, compact et indissociable.

Cela suppose, dit Jésus - non pas en écho, mais en amont de la question -, de « renoncer » à soi-même : «Celui qui veut marcher à ma suite, qu’il renonce à lui-même, qu’il prenne sa croix chaque jour, et qu’il me suive. Car celui qui veut sauver sa vie la perdra ; mais celui qui perdra sa vie pour moi la sauvera. »
La démonstration ici aussi, parfaitement charpentée, s’arc-boute en deux mouvements reposant sur un solide paradoxe. Suivre Jésus doit répondre à deux conditions indissociables:
-        d’une part, me dénuder de tout ce que la société me reconnaît et de tout ce que j’ai acquis, patrimoines génétique et sociologique, matériel et immatériel ;
-        d’autre part, m’assumer entièrement moi-même, en toute responsabilité et détermination.

Car – voilà le paradoxe -, sauver SA peau à tout prix, c’est perdre LA vie à coup sûr !

Pourtant, ce serait mal comprendre cette offre de liberté totale que de l’assimiler à un quelconque renoncement à ce que nous sommes profondément, à une amputation de notre identité, à une fuite de ce qui nous rend heureux.
Il s’agit bien plutôt de prendre conscience du fait que la meilleure voie pour « devenir soi », c’est de suivre un chemin éprouvé, reconnu et sûr! Le sien !
Dur, dur !
Comment le disciple chrétien peut-il devenir pleinement lui-même, s’il ne sait pas qui est son maître, ce qu’il a dit jadis, ce qu’il lui dit aujourd’hui ?.

Il s’agit donc de renoncer à ce qui, en nous, nous détourne de notre capacité de choix, et, ici, du choix de cette liberté christique. Cela vaut aussi pour tout choix qui engage l’existence.
Est-il étonnant que se rebiffe en nous l’homme que nous étions jusque-là ?

Changer, c’est peut-être mourir un peu : ne pas changer, c’est sûrement pourrir.

Le pari pascalien est toujours d’actualité : mon intérêt, c’est de choisir QUOI ? de choisir QUI ?

Cette « croix » dont Jésus propose de se charger à sa suite, n’allons pas imaginer que  c’est une croix, faite de douleur et de souffrance, par amour de la douleur et de la souffrance ! Comme si le malheur de vivre était le plus sûr moyen de le rejoindre sur l’échelle de perfection !

Jésus est présenté dans la mémoire et les mémoires des communautés et des rédacteurs évangéliques, comme quelqu’un qui a appris à vivre, qui sait vivre et qui enseigne comment vivre. C’est un maître de (la) vie !

Vivre est un métier, et bien vivre un art !
Et un art se pratique !

La réponse de Pierre, toute exacte et spontanée qu’elle soit, entraîne immédiatement de la part de Jésus une forte recommandation : N’en parlez surtout pas ! Pas de publicité, gardez cela pour vous, ce n’est pas l’heure. Pierre, en bon élève, premier de la classe, ardent et excessif, tire-t-il les conclusions de sa propre réponse ? L’approbation du Maître lui suffit-elle ? Jésus n’attendait-Il pas, plus qu’une déclaration, un acte de foi, une conversion ? D’ailleurs Jean nous le laisse entendre, qui fait dire à Pierre: « Seigneur, vers qui pourrions-nous aller ? Tu as les paroles de la vie éternelle. Quant à nous, nous croyons, et nous savons que tu es le Saint, le Saint de Dieu. » (Jn 6,60).
Pour vous qui suis-je ? N’arrêtons jamais de chercher la réponse, dans tout acte et toute pensée, pour nous-mêmes et pour l’exemple que nous donnons. C’est un art qui doit se pratiquer toute la vie.

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english

Who am I? The question often arises, whether we no longer know where we are, after a significant event for example (which can range from the loss of a loved one to the decision to go abroad for professional reasons) or a radical commitment (marriage, divorce, priesthood, politics ...), or you may need a feed back to confirm a conviction to be or not / be the one we thought was ... We realize it or not, there is a difference between the one who is believed to be, the one we would like others to believe we are, the one others think you are ... and ... the one we really are. Confusingly, we feel, because we never get to stifle our conscience. But we hope to deceive the passers, and worse, in our own eyes. Jesus, he knows what is in the heart of man (Jn 2, 25). A Christian tries to give all these "I" s, stay true and transparent, but he needs that "one" unseals his eyes. Jesus confronts us with ourselves, especially if it is a rude awakening.

Here, in asking this question to his disciples - "For you, who am I? "- he therefore addresses so paradigmatic and no doubt to all those who claim to him, to every Christian. And the matter is urgent, at a time when the churches, despite their efforts to adapt to the present time, sometimes ridiculous, sometimes illusory, cross, again, a difficult period. Have they ever known any rest?

The question can only tap the entire spiritual quest. To become a Christian, it is not simply - but too many Catholics still believe! - adhere to a doctrine or a catechism ON Jesus, it is not to be satisfied with an intellectual and cultural approach to the "historical" Jesus: Internet and its endless and ever brandnew ambushes, or all works of classical or fashioned authors, making - it is believed - authority, everything is good. Expertise seems perfect, each in their ways!
Jesus requires much more than a soft approval of reason, a vague intellectual engagement, a sterile force weighting honeyed speech. He wants what makes our lives.
The point is what it is a / my personal relationship to Jesus of Nazareth on the one hand, and secondly to the Christ of faith drawn up by the Church.

- What current effective place in my life?

- Who is he for me?
- How does his word keep me awake, and inspire me to live?
- How does he embodies the heart of my private life:  family, marital, professional ...?

After meeting with the man who threw him down on the road to Damascus, Paul preaches: "All of you who were baptized into Christ have clothed yourselves with Christ : there is neither Jew nor Gentile, there is neither slave nor free man, there is no longer male and female, for you are become one in the Christ Jesus. "

Two dimensions appear to join in him, both anthropological and theological logic: the first condition for another, necessary and sufficient:
- Firstly - powerful metaphor - "putting on" Christ in the waters of baptism, we lose "only" spatiotemporal identity to "endorse" another, beyond time and space: = the Christian man / woman OF Christ;
- Secondly, all those to whom this happens, summarize in this mystical Christ, and form become ONE with him as a corps, articulated, compact and inseparable.

This implies, Jesus said - not an echo, but upstream of the matter - to "abandon" oneself: "Whoever wants to come after me, let him deny himself, and take up his cross daily, and follow me. For whoever wishes to save his life will lose it, but whoever loses his life for me will save it. "
The demonstration here too, perfectly framed, is buttressed by two movements based on a strong paradox. Follow Jesus must meet two key criteria:
- Firstly, strip me of everything that society recognizes me and of all that I have acquired, genetic and sociological heritage, tangible and intangible;
- Secondly, fully assume myself, with full responsibility and determination.

Because - here's the paradox - save one's skin at all costs, is losing life for sure!

Yet this is to misunderstand this offer of total freedom to assimilate to any denial of what we are deeply, to amputation of our identity, to a leak of what makes us happy.
It is rather to recognize that the best way to "get home", is to follow a proven path, recognized and secure! His!
Hard, hard!
How the Christian disciple can be fully himself, if he does not know who his master is, what he once said, what he tells him today?.

It is therefore to abandon what in us, takes us away from our ability to choose, and here from the choice of this Christ freedom. This also applies to any choice that involves existence. Is it any wonder that bristles in us the man that we were so far?

Change is perhaps die a little: not change is surely rot.

Pascal's wager is still relevant: my interest is to choose WHAT? choose WHOM?

This "cross" that Jesus offers to take over after him, don't imagine that this is a cross made of pain and suffering for the sake of pain and suffering! As if the misfortune to live was the surest way to reach the scale of perfection!

Jesus is presented in the memory and the memories of the communities and evangelical writers, as someone who has learned to live, who knows how to live and who teaches how to live. He is a master of (the) life!

Living is an art, an art and live well!
And art practice!

Peter's answer, any exact and spontaneous kind, results immediately from Jesus a strong recommendation: Do not talk above! No ads, keep it to yourself, this is not the time. Does Peter, a good student, first class, and excessive burning, draw the conclusions of its own answer? Is the approval of the Master good enough for him? Didn't Jesus expect from him, more than a statement, an act of faith, a conversion? Moreover, John suggests, when Peter said: "Lord, to whom shall we go? You have the words of eternal life. As for us, we believe, and we know that you are the Holy One of God. "(Jn 6,60).
For you who am I? Never stop looking for the answer, in every act and every thought, for ourselves and for the example we set. It is an art that must be practiced throughout life.

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deutsch

Wer bin ich? Oft taucht die Frage, ob wir nicht mehr wissen, wo wir, nach einem wichtigen Ereignis zum Beispiel (die aus dem Verlust eines geliebten Menschen zu der Entscheidung, ins Ausland zu gehen für professionelle Gründe reichen) sind oder einem Entscheidungsschlacht (Ehe, Scheidung, Priestertum, Politik ...), oder ob wir eine Rückmeldung brauchen, um eine Verurteilung zu sein oder nicht das, was wir dachten,  zu bestätigen ... Wir wissen es oder nicht, es gibt einen Unterschied zwischen dem, was wir glauben zu sein, dem was wir gern glauben andere denken wir sind,  und ..., was wir wirklich ist. Verwirrend fühlen wir es, weil wir nie bekommen, unser Gewissen zu ersticken. Aber wir hoffen, dass wir die Passanten, und schlimmer noch, in unseren eigenen Augen täuschen. Jesus, er weiß, was in den Herzen der Menschen steckt (Joh 2, 25). Der Christ versucht all diese "Ich" zusammenzustimmme, treu und transparent zu bleiben, aber er braucht, dass er die Augen entsiegelt. Jesus stellt uns vor uns selbst, vor allem, wenn es ein böses Erwachen ist.

Hier, in diese Frage an seine Jünger - "Für Sie, wer bin ich? "- adressiert Er daher so paradigmatisch und  Zweifellos an all jene, die ihn in Anspruch nehmen, an jeden Christen. Und die Sache ist dringend notwendig, zu einer Zeit, als die Kirchen trotz ihrer Bemühungen, in die heutige Zeit passen, manchmal lächerlich, manchmal illusorisch, eine schwierige Zeit wieder überqueren. Haben sie jemals den Rest gesehen?

Die Frage kann nur tippen auf die gesamte spirituelle Suche. Weil ein Christ werden nicht einfach ist- aber zu viele Katholiken glauben es immer noch! - zu einer Lehre oder einem Katechismus ON Jesus halten; es geht nicht um eine geistige und kulturelle Annäherung an den "historischen" Jesus : Internet und seine endlose Hinterhalte letzter Schrei, oder Werke der klassischen Autoren oder Mode u. Autorität Herstellung : alles ist gut. Expertise scheint perfekt, jede auf seine Weise!

Jesus erfordert viel mehr als ein weiche Genehmigung der Vernunft, eine vage geistige Auseinandersetzung, eine sterile Kraft von glättener Rede. Er will, was macht unser Leben.
Es geht um eine / meine persönliche Beziehung zu Jesus von Nazareth auf der einen Seite, und zweitens, zum Christus des Glaubens durch die Kirche gezogen.
- Welche aktuelle und wirksame Rolle spielt Jesus in meinem Leben?
- Wer ist er für mich?
- Wie sein Wort hält mich wach und inspiriert mich, um zu leben?
- Wie funktioniert er verkörpert im Herzen von meinem privaten Leben, Familie, Familienstand, Beruf ...?

Nach seinem Treffen mit dem, der ihn auf dem Weg nach Damaskus zu Boden schlug, predigt Paul: "Alle von euch, die auf Christus getauft seid, habt ihr Christus angezogen. Da ist weder Jude noch Grieche, da ist nicht Sklave noch Freier, nicht Mann und Frau. Ihr seid nur eins in Christus Jesus. "

Zwei Dimensionen erscheinen, mit ihm zu kommen, in einer sowohl anthropologischen und theologischen Logik: die erste Bedingung für eine andere, notwendig und ausreichend:
- Erstens - kraftvolle Metapher - Christus "anziehen in der Taufe", verlieren wir "nur" Raumzeit-Identität zu "billigen" einer anderen, jenseits von Zeit und Raum: = die Christian Mann / Frau des Christus;
- Zweitens, alle diejenigen, denen das passiert, fassen in dieser mystischen Christus zusammen zu und Form eins mit ihm als Körper; artikuliert, kompakt und untrennbar miteinander verbunden.

Dies impliziert, sagte Jesus - nicht ein Echo, flussaufwärts der Sache - sic zu "geben": "Wer will nach mir kommen, der verleugne sich selbst und nehme täglich sein Kreuz auf sich und folge mir. Denn wer sein Leben retten will, wird es verlieren, wer aber sein Leben verliert um mich wird es retten. "
Die Demonstration auch hier, perfekt umrahmt, wird von zwei Bewegungen auf einer starken Basis von Paradox untermauert. Folgen Jesus muss zwei wesentliche Kriterien erfüllen:
- Erstens abzustreifen mich über alles, was die Gesellschaft erkennt mich und alles, was ich erworben haben, genetische und soziologische Erbe, materielle und immaterielle;
- Zweitens, in vollem Umfang wahrnehmen mich, mit voller Verantwortung und Entschlossenheit.

Da - hier ist das Paradox - : um jeden Preis sein Haut retten, ist  das Leben sicher verlieren!

Doch ist es falsch zu verstehen und assimilieren dieses Angebot totaler Freiheit auf jede Leugnung, dass wir tief sind, zu einer Amputation unserer Identität, ein Leck von dem, was uns glücklich macht.
Es handelt sich vielmehr darum, zu erkennen, dass der beste Weg, um "nach Hause kommen", einen bewährten Weg, erkannt und sicher folgen ist! Seine!
Hart, hart!
Wie kann der christliche Nachfolger kann vollständig selbst sein, wenn er nicht weiß, wer sein Herr ist, was er einmal sagte, was er ihm sagt: heute?.

Es ist daher darauf zu versichtern, was in uns weg von unserer Fähigkeit zu wählen lenkt, und hier von  der Wahl dieser Freiheit Christi. Dies gilt auch für jede Wahl, die Existenz geht.
Ist es da ein Wunder, dass  der Mensch  in uns sträubte, dass wir so weit waren?

Veränderung ist vielleicht ein wenig sterben: nicht ändern, ist es sicherlich rot.

Pascals Wette ist immer noch relevant: mein Interesse ist, was wählen? wen wählen?

Das "Kreuz", das Jesus zu übernehmen nach ihm bietet, wird nicht vorgestellt, als ob wäre dies ein Kreuz von Schmerz und Leid aus Gründen der Schmerzen und Leiden! Als ob das Unglück zu leben wäre der sicherste Weg, um das Ausmaß der Vollkommenheit zu erreichen!

Jesus wird in den Speicher und den Erinnerungen  der Gemeindenen und evangelishen Autoren vorgestellt, als jemand, der gelernt hat zu leben, der, wie man zu leben weiß, gelernt hat, und wer lehrt, wie man zu leben. Er ist ein Meister des  Lebens!

Das Leben ist ein Bruf, und gut leben eine Kunst! Und eine Kunst braucht praxis!

Peters Antwort, jeder exakten und spontanen Art, verursacht sofort von Jesus eine starke Empfehlung: Nicht über reden! Keine Werbung, behalten Sie es für sich selbst, das ist nicht der richtige Zeitpunkt. Zieht  Peter, guter Schüler, erster Klasse, und übermäßiger Verbrennung, die Schlussfolgerungen seiner eigenen Antwort? Ist die Genehmigung des Meisters genug für ihn? Hatte Jesus nicht erwartet, mehr als eine Aussage, ein Akt des Glaubens, eine 'Umwandlung"? Darüber hinaus impliziert Joannes, in dem Peter sagte: "Herr, zu wem sollen wir gehen? Du hast Worte des ewigen Lebens. Was uns betrifft, so glauben wir, und wir wissen, dass du der Heilige Gottes bist. "(Joh 6,60).
Für Sie, wer bin ich? Nie aufhören unsure Suche nach der Antwort, in jeder Handlung und jedem Gedanken, für uns selbst und für das Beispiel das wir setzen. Es ist eine Kunst, die das ganze Leben eingeübt werden müss.

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italiano

Chi sono io? La questione si pone spesso, se non si sa più dove siamo, dopo un evento significativo per esempio (che può variare da la perdita di una persona cara  alla decisione di andare all'estero per motivi professionali) o un impegno radicale (matrimonio, divorzio, sacerdozio, politica ...), o può essere necessario un feed back per confermare una convinzione di essere o non / essere quello che pensavamo ... Ci rendiamo conto o no, c'è una differenza tra ciò che si crede di essere, che vorremmo gli altri a credere che siamo, gli altri pensano che noi siamo ... e ... cio che noi siamo davvero. Confusamente, ci sentiamo, perché non arriviamo mai a soffocare la nostra coscienza. Ma speriamo di ingannare i passanti, e peggio, nei nostri occhi. Gesù, lui sa cosa c'è nel cuore dell'uomo (Gv 2, 25). El Christiano cerca di acordare tutti questi "io" , e di imanere fedele e trasparente, ma ha bisogno che egli diserra occhi. Gesù ci mette di fronte a noi stessi, specialmente se si tratta di un brusco risveglio.

Qui, in questa domanda ai suoi discepoli - "Per voi, chi sono io? "- si affronta quindi in modo paradigmatico e senza dubbio a tutti coloro che lo sostengono, a ogni cristiano. E la questione è urgente, in un momento in cui le chiese, nonostante i loro sforzi per adattarsi al tempo presente, a volte ridicoli, a volte illusori attraversano, ancora una volta, un periodo difficile. Hanno mai visto il resto?

La domanda può solo toccare l'intera ricerca spirituale. Per diventare un cristiano, non è semplicemente - ma anche molti cattolici credono ancora! - aderire ad una dottrina o un catechismo su Gesù ; non è essere soddisfatti con un approccio intellettuale e culturale per il Gesù "storico": Internet e le sue infinite agguati ultimo grido, o opere di autori classici o di moda- e  autorità making : tutto è buono. Competenza sembra perfetta, ciascuno a suo modo!
Gesù richiede molto più di un morbido approvazione della ragione, un vago impegno intellettuale, una sterile - forza ponderazione -  discorso mieloso. Egli vuole che ciò che rende la nostra vita.
Si tratta de un / il mio rapporto personale con Gesù di Nazareth, da un lato, e dall'altro di Cristo della fede elaborata dalla Chiesa.
-  ruolo, attuale ed efficace, che svolge nella mia vita?
- Chi è per me?
- Come la sua parola mi tiene sveglio, e mi spinge a vivere?
- Come si incarna nel cuore della mia vita privata, familiare, civile, professionale ...?

Dopo l'incontro con l'uomo che l'ha buttato giù sulla via di Damasco, Paolo predica: "Tutti siete stati battezzati in Cristo, vi siete rivestiti di Cristo non c'è né Ebreo né Gentile, non c'è né schiavo né uomo libero, non c'è più maschio e femmina, perche siete solo uno in Cristo Gesù ".

Due dimensioni sembrano unirsi con lui, sia la antropologica e teologica: la prima condizione per l'altra, è necessaria e sufficiente:
- In primo luogo - potente metafora - "vestirse" con Cristo nelle acque del battesimo, si perde "solo" l'identità spazio-temporale di "avallare" un altro, oltre il tempo e lo spazio: = la del christiano, l'uomo  / la donna di Cristo;
- In secondo luogo, tutti coloro a cui questo accade, riassumeno in questo Cristo mistico, e diventano un tutt'uno con lui, come un corpo armato, articolato, compatto e inscindibile.

Ciò implica, Gesù ha detto - non un eco, ma a monte della questione - a "dare" se stesso: "Chi vuol venire dietro a me, rinneghi se stesso, prenda la sua croce ogni giorno e mi segua. Perché chi vorrà salvare la propria vita la perderà, ma chi perderà la propria vita per me, la salverà. "
La dimostrazione anche qui, perfettamente incorniciata, si rafforza da due movimenti sulla base di un forte paradosso. Seguire Gesù deve soddisfare due criteri fondamentali:
- In primo luogo, mi spogliar di tutto ciò che la società me riconosce e tutto ciò che ho acquisito, patrimonio genetico e sociologico, materiali e immateriali;
- In secondo luogo, assumere pienamente me stesso, con piena responsabilità e determinazione.

Perché - ecco il paradosso - salvare sua pelle a tutti i costi, sta perdendo la vita di sicuro!

Eppure sarebbé fraintendere questa offerta di totale libertà di assimilare a qualsiasi negazione de cio che siamo profondamente, l'amputazione della nostra identità, una perdita di ciò che ci rende felici.
Si tratta piuttosto di riconoscere che il modo migliore per "tornare a casa", è quello di seguire un percorso collaudato, riconosciuto e protetto! Il suo!
Duro, duro!
Come il discepolato cristiano può essere pienamente se stesso, se non sa chi è il suo padrone, cio che disse una volta, e cio che le dice oggi?.

E 'quindi di abbandonare ciò che in noi, previene dalla nostra capacità di scegliere, e qui,  della scelta di questa cristiana Cristo. Questo vale anche per qualsiasi scelta che comporta esistenza.
C'è da meravigliarsi che si opore in noi l-uomo che siamo stati finora?

Il cambiamento è forse morire un po ': non cambiare è sicuramente marciume.

La scommessa di Pascal è ancora attuale: il mio interesse è che cosascegliere? scegliere CHI?

Questa "croce" che Gesù offre di prendere in consegna dopo di lui, non si immagina che questa è una croce fatta di dolore e sofferenza per amore del dolore e della sofferenza! Come se la sfortuna di vivere era il modo più sicuro per raggiungere la scala di perfezione!

Gesù è presentato nella memoria e le memorie delle comunità evangeliche e dai scrittori, come qualcuno che ha imparato a vivere, che sa vivere e che insegna a vivere. Egli è un maestro del (la) vita!

Vivere è un mestiere , e vivere bene un'arte. E la pratica dell'arte!
La risposta di Pietro  - ogni tipo esatta e spontanea -, con conseguente immediatamente da Gesù una forte raccomandazione: Non parlare sopra! Nessun annuncio, tenetelo per voi, questo non è il momento. Pietro, bravo studente, di prima classe, ed eccessivo bruciore, trae le conclusioni della sua risposta? L'approvazione del Master è abbastanza per lui? Gesù non si aspettava lui, più che una dichiarazione, un atto di fede, una conversione? Inoltre, ci suggeria Jean, che ha detto a Pietro: "Signore, da chi andremo? Tu solo hai parole di vita eterna. Quanto a noi, crediamo e sappiamo che tu sei il Santo di Dio. »(Gv 6,60).
Per voi chi sono io? Non smettere mai di cercare la risposta, in ogni atto e ogni pensiero, per noi stessi e per l'esempio che diamo. E 'un'arte che deve essere praticata per tutta la vita.

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espanol

¿Quién soy yo? La pregunta que surge a menudo, si ya no sabemos dónde estamos, después de un evento significativo, por ejemplo (que pueden ir desde la pérdida de un ser querido a la decisión de ir al extranjero por motivos profesionales) o un compromiso radical (el matrimonio, el divorcio, el sacerdocio, la política ...), o tal vez necesite un feed back para confirmar la convicción de ser o no / ser el que nos pareció que era ... Nos demos cuenta o no, hay una diferencia entre lo que se cree que es, que nos gustaría que otros crean que somos, los demás piensan que son ... y ... que es en realidad. Equivocadamente, pensamos, porque nunca llegamos a reprimir nuestra conciencia. Pero esperamos que para engañar a los transeúntes, y peor aún, en nuestros propios ojos. Jesús, que sabe lo que está en el corazón del hombre (Jn 2, 25). El Cristiano trata de dar a todos estos "Yo" s, fiel y transparente, pero necesita que ojos desiller. Jesús nos confronta con nosotros mismos, sobre todo si se trata de un duro despertar.

En este caso, al hacer esta pregunta a sus discípulos: - "Para ti, ¿quién soy yo? "- ss por lo tanto, aborda paradigmáticamente y sin duda a todos aquellos que se dicen cristianos, a todo cristiano. Y el asunto es urgente, en un momento en que las iglesias, a pesar de sus esfuerzos para adaptarse a la actualidad, a veces ridículo, a veces ilusorios, cruzan, de nuevo, un período difícil. ¿Alguna vez han visto el resto?

La pregunta sólo puede aprovechar toda la búsqueda espiritual. Para llegar a ser cristiano, que no es más que - pero también muchos católicos siguen creyendo! - adherirse a una doctrina o un catecismo en Jesús; no es para estar satisfechos con un enfoque intelectual y cultural para el Jesús "histórico": Internet y sus interminables emboscadas último grito, o obras de autores clásicos de la moda o de decisiones que se cree a autoridad : todo es bueno. Experiencia parece perfecta, cada uno a su manera!
Jesús requiere mucho más que una aprobación suave de la razón, un compromiso intelectual vaga, una voz melosa estéril fuerza ponderación. Él quiere lo que hace nuestras vidas.
Es lo que es un / mi relación personal con Jesús de Nazaret, por un lado, y por otro a Cristo de la fe establecido por la Iglesia.
- ¿Qué lugar actual y efectivo en mi vida?
- ¿Quién es el para mí?
- Como su palabra lo que me mantiene despierto y me inspira a vivir?
- ¿Cómo que encarna el corazón de mi vida privada, familia, civil, profesional ...?

Después del encuentro con el hombre que tiró abajo en el camino a Damasco, Pablo predica: "Todos los que habéis sido bautizados en Cristo, os habéis revestido de Cristo; no hay ni Judío ni gentil, no  hay esclavo ni libre; no hay varón ni mujer, porque ya sois uno en Cristo Jesús ".

Dos dimensiones parecen unirse con él, antropológica y teológica: la primera condición para el otra, necesaria y suficiente:
- En primer lugar - poderosa metáfora - "revestir" Cristo en las aguas del bautismo, perdemos "sólo" la identidad espacio-temporal para "endosar" sí, más allá del tiempo y del espacio la de Cristo: = el hombre / mujer  cristiano/a;
- En segundo lugar, todos aquellos a los que esto ocurre resumir en este místico de Cristo, y la forma a ser uno con él, como un cuerpo armado, articulado, compacto e inseparable.

Esto implica, Jesús dijo - no un eco, pero aguas arriba de la cuestión - para "dar" a sí mismo: "El que quiera venir en pos de mí, niéguese a sí mismo, y tome su cruz cada día, y sígame. Porque el que quiera salvar su vida la perderá, pero quien pierda su vida por mí, la salvará. "
La demostración también aquí, perfectamente enmarcada, es reforzada por dos movimientos basados ​​en una fuerte paradoja. Seguir a Jesús debe cumplir dos criterios fundamentales:
- En primer lugar, me tira de todo lo que la sociedad se reconoce me y todo lo que he adquirido, patrimonio genético y sociológico, tangible e intangible;
- En segundo lugar, asumir plenamente mi mismo, con plena responsabilidad y determinación.

Porque - aquí está la paradoja - ojos
salvar el piellejo  a cualquier precio, está perdiendo la vida seguro!

Sin embargo, esto es no comprender la oferta de total libertad para asimilar a cualquier negación de que estamos profundamente, la amputación de nuestra identidad, un escape de lo que nos hace felices.
Se trata más bien de reconocer que la mejor manera de "llegar a casa", es seguir un camino seguro, reconocido y seguro! Su!
Duro, duro!
Cómo un discipulado cristiano puede ser plenamente si mismo, no sabe quién es su amo, que dijo en una ocasión, que le dijo a el hoy?.

Por lo tanto, es abandonar lo que en nosotros, lejos de nuestra capacidad de elegir, y aquí la elección de esta cristiana libertad. Esto también se aplica a cualquier opción que implique la existencia.
No es extrañar que se erizaba en nosotros el ser humano que estábamos tan lejos?

El cambio es tal vez morir un poco: no cambie, es sin duda la putrefacción.

La apuesta de Pascal sigue siendo relevante: mi interés es elegir que? elegir quien ?

Esta "cruz" que Jesús ofrece a hacerse cargo de él, no se imagina que se trata de una cruz hecha de dolor y sufrimiento por el bien de dolor y sufrimiento! Como si la mala suerte de vivir era el camino más seguro para llegar a la escala de la perfección!

Jesús es presentado en la memoria y los recuerdos de las comunidades y de los escritores evangélicos, como alguien que ha aprendido a vivir, que sabe vivir y quién enseña a vivir. Él es un maestro de (la) vida!

Vivir es una profesión, y vivir bien un arte!
Y la práctica del arte!

La respuesta de Pedro, cualquier tipo exacto y espontáneo, lo que resulta inmediatamente de Jesús una fuerte recomendación: No hables por encima! Sin publicidad, lo guardes para ti, este no es el momento. Pedro, buen estudiante, de primera clase, y la quema excesiva, saca las conclusiones de su propia respuesta? La aprobación del Maestro es suficiente para él? Jesús no esperaba que él, más que una declaración, un acto de fe, una conversión? Por otra parte, se sugiere Juan, quien le dijo a Pedro: "Señor, ¿a quién iremos? Tú tienes palabras de vida eterna. En cuanto a nosotros, creemos y sabemos que tú eres el Santo de Dios. "(Jn 6,60).
Para ustedes ¿quién soy yo? Nunca dejar de buscar la respuesta, en cada acto y cada pensamiento, por nosotros y por el ejemplo que damos. Es un arte que debe ser practicado durante toda la vida.