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dimanche 30 juin 2013

APPELES A LA FOI : MYSTERE DE LA MISSION



7 juillet 2013
14ème  dimanche du Temps ordinaire Année C   


APPELES A LA FOI : MYSTERE DE LA MISSION
Textes :
  • Is 66, 10-14     
  • Ps 65        
  • Ga 6, 14-18
  • Lc 10, 1...20




Qu’est-ce qu’évangéliser ?
Comment évangéliser le monde de demain ? Plusieurs « évangéliques », modernes prédicateurs, ont l’art de haranguer et d’attirer des foules. Si seulement ils étaient catholiques, regrette une certaine hiérarchie…Toutefois le contenu de cette prédication est souvent déroutant, voire inacceptable.
Si nous tenons à l’Evangile, c’est à la Parole de Jésus que nous tenons. Il l’a confiée à certains, qui l’ont léguée à d’autres « jusqu'aux extrémités de la terre », jusqu’à nous aujourd’hui. On aimerait être à la hauteur de ce relais ! On aimerait trouver les moyens de « faire passer » avec, sinon une obligation, au moins avec un certain degré de succès cet Évangile qui nous est si cher et qui est notre think tank ! La transmission s’arrêterait-elle par notre faute, dernier maillon faible d’un chaîne millénaire ?

Mais les temps que nous traversons nous le rappellent et ne sont pas près de se clore : les malentendus sur les objectifs de notre responsabilité pullulent. Ils naissent d'autant plus vite qu'ils sont préparés par les malentendus sur ce qu'est l'Évangile en fait et sur ce qu'il propose pratiquement. L'ordonnance du docteur Luc vaut plus que jamais d'être considérée : « Prenez donc garde à la manière dont vous écoutez » (8, 18). Il s'agit là de rien moins que de se mettre en synergie avec la Parole à annoncer. Il s'agit de l'accueillir d’abord pour soi, de se laisser transformer par elle, de l'assimiler avant de la restituer. Cette Parole apporte à qui la reçoit « comme il faut » une force et une certitude profondes, parce qu'elle établit la foi et dans la foi, c’est-à-dire dans la confiance en soi et en elle.

Il y a loin de ces dispositions où l'esprit, le cœur et la foi au Dieu de la vie sont premiers, à l'utopique ambition, de sécuriser le monde entier au sein du carcan d’un sacro-saint système de vérités absolues.
Il y a loin de la croix d’un Jésus, qui va jusqu'à la pointe suprême de sa fidélité sur un gibet, au propos humain de christianiser le monde à tout prix, fût-ce manu militari : au mépris du nouveau commandement que Jésus venait de donner !
Il n'est de force qu'en Dieu. Il n'est de certitude qu'en Dieu. Il n'est de vérité que Dieu. On a vraiment envie de crier : Allah Akbar الله أَكْبَر !

La foi ouvre des hori­zons lumineux à l'intelligence qui cherche à comprendre, c'est la foi qui est première chez le chrétien.
Foi-confiance, foi-amour. Foi-désir de mieux connaî­tre Dieu pour l'aimer mieux. De mieux connaître le bien pour l'accomplir mieux. C’est cela Aimer en vérité.

L’être humain – l’animal humain -­, ne peut vivre et survivre sans un minimum de sécurité et de certitude, pour avoir toujours fait l'expérience des périls où s’éprouve sa fragilité.

Qu’est-ce que la Bible des Juifs sinon cet immense récit des espérances et des avanies du peuple de Dieu ? Tout peuple élu qu'il était, il n'a fait l'économie de rien. Il a été envahi par tout ce qui fait le cœur de l'homme : désir, foi, doute, reniement, amour, passion, hautes aspirations, idolâtrie...Traversée du désert puis expérience de l'oppres­sion, loin de chez soi, l'Exil. Autant d'épreuves et de moments qui, petit à petit, font entrer les gens en eux-mêmes, les poussent dans leurs retranchements, les conduisent à puiser toujours plus profond dans leurs ressources d’espérance et de  foi. En un mot comme en cent, à s'en remettre, en définitive, à Dieu seul !
Les prophètes ont rythmé l’allure de ce chemin de foi. (Le Trito) Isaïe répète l’évidence existentielle : l'espérance doit toujours voir plus loin. Elle se tourne certes vers la consolation à venir, vers la consolation totale, vers l’abolition de toute peine. Mais toujours en revanche, cette espérance ne peut que se cogner au réel, de se colleter avec ce qui se vit chaque jour

A Babylone, en – 587, les Juifs avaient rêvé d'une restauration glorieuse. Le retour au pays trente ans après, s'est révélé déce­vant. L'enthousiasme, né de la libération, retombe vite : confrontation du rêve et de la réalité. Le rôle du prophète tente de redonner confiance et espoir. Il anticipe à ses risques et périls : un jour, Jérusalem rayonnera de nouveau de la gloire divine. Un jour, Dieu consolera son peuple, comme une mère console son enfant. Ce sera la joie totale. La foi, c’est plus souvent l’espérance, même si elle est folle.

Un soir, Radio Londres diffusa après le premier vers de Verlaine : Les sanglots longs des violons de l’automne, le second Bercent mon cœur d’une longueur monotone : çà y était ! Le débarquement allait avoir lieu et l’occupation cesser ! Toute l’espérance française devenait résurrection !

Les mêmes ressorts sont à l’œuvre tout au long de la vie de Paul. Malgré tout ce qu’il a appris dans sa formation rabbinique où il est passé maître, c’est la croix qui lui est révélée et qui l'a définitivement marqué. Ses propos aux Corinthiens (1 Co 2, 2) : « Je n'ai voulu connaître parmi vous que Jésus-Christ, et Jésus-Christ crucifié » déclarent un état de fait, une décision.
Mais en même temps, c’est dans la lumière de la Résurrection, qu’il affirme combien il a été transformé : dans sa vie, dans son cœur, dans sa foi et sa pratique reli­gieuse, tout est devenu christique et inaugure une toute nouvelle dynamique religieuse. Paul a définitivement changé son rapport à toutes les pratiques, circoncision et soumission aux ordonnances de la Loi, par lesquelles il espérait autrefois garantir son salut. À présent, son unique souci est, selon ses mots, « d'avoir part à la mort du Christ » pour « avoir part aussi à sa Résurrection ». « Ce qui compte, ce n'est pas d'avoir ou de ne pas avoir la circoncision, c'est la création nouvelle. » (15) Les amarres sont larguées, les entraves coupées,  l’ancre a coulé. On ne peut pas croire qu’à moitié, avoir une bribe de foi, un lambeau d’espérance, une miette d’amour. Pour Paul, c’est tout ou rien. Les tièdes ? Très peu pour lui. Dans ces conditions, si Christ n’est pas ressuscité, nous sommes les plus malheureux de tous hommes (1Co 15,19). Paul a une confiance totale.

Il peut désormais accéder à une existence nouvelle, incon­nue jusqu'alors : il fait l'expérience d'être «fort dans la faiblesse » et peut sup­porter les persécutions sans en être troublé. Et nul ne peut le séparer du Christ, nul ne peut le priver de sa liberté.

Qu’en est-il de ce Jésus pour lequel Paul, et nous à notre tour, avons été désignés pour annoncer ? Homme et Dieu : quelqu'un qui appelle à la foi et à la confiance, et qui, lui-même, vit en régime de communion confiante avec celui qu'il nomme « son Père ». La seule mission qu'il confie à ses disciples est, à l'image de ce qu'il fait lui-même, d'aller à la rencontre de leurs semblables en faisant le bien, en pro­posant la confiance, en appelant à la foi.

Cette mission apostolique est celle qui s’est poursuivie cahin caha à travers les siècles.
Elle consiste à appeler les hommes à la paix et à la fraternité quoi qu’il en coûte : hum !
Elle devrait se dérouler sans l'appui de moyens humains : dur, dur !
Elle exige une vraie liberté intérieure de ceux qui la conduisent : encore plus dur !
Elle doit pro­voquer les hommes tant par la pauvreté de ses moyens que par l'ambition de son propos : là, c’est franchement impossible aux hommes, mais rien n’étant impossible à Dieu…
Elle doit mettre les gens devant leurs responsabilités au regard du bien, à commencer par les missionnaires eux-mêmes !
Si l’envoyé ne s'impose jamais, s'il peut être entravé, il peut aussi être accueilli et promu. Cela relève de la décision de chaque récipiendaire... Qu'ils sont beaux sur les montagnes les pieds du messager; qui publie la bonne nouvelle de la paix; de celui qui annonce le bonheur, qui publie le salut (Isaïe 52, 7 et Ro 10,15)

On peut revenir d'une campagne, couronné de succès. Les disciples ne doivent pas s’étourdir de l’ivresse du pouvoir mais se réjouir de la certitude de vivre de Dieu. Avoir rempli leur mission d’annonce, avoir passé le relais pour que d’autres témoignent à leur tour. Leur exemple a donné le courage de la foi car chaque époque a été rude. S’il y a eu un âge d’or chrétien, le véritable sera éternel.

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english


What evangelize?
How to evangelize the world of tomorrow? Many "evangelicals", modern preachers, have the art of haranguing and attracting crowds. If only they were Catholics, a certain hierarchy is sorry ... However, the content of this preaching is often confusing or unacceptable.
If we take the Gospel, it is the Word of Jesus that we want. He confided it to some who have donated to others "to the ends of the earth" until today. It would be the height of the relay! We would like to find ways to "get" with, if not an obligation, at least with some degree of success that Gospel which is so cherished and is our think tank! Would transmission would stop by our fault, the last weak link in a millennium chain?

But the times we are experiencing remind us and are not about to close: misunderstandings on the objectives of our responsibility abound. They arise especially more quickly as they are prepared by misunderstandings about what the gospel is and what it offers virtually. The order of Dr. Luke is more than ever to be considered: "Take heed therefore how ye hear" (8, 18). This is nothing less than to create a synergy with the Word to be announced. It is first to accommodate oneself to be transformed by it, to assimilate before restoring it. This word brings to who receives it "right", strength and deep certainty, because it establishes the faith and in faith, that is to say, in self-confidence and in itself.

There is far from these frames where mind, heart and faith in the God of life are first, to the utopian ambition, secure the globe in the straightjacket of a sacrosanct system of absolute truths.
There is far from the cross of a Jesus who goes to the supreme loyalty points on a gibbet, to the human purpose, Christianize the world at any cost, even forcibly: in defiance of the new commandment that Jesus had just given!
There is strength only in God. There is certainty only in God. There is truth only in God. We really want to shout Allah Akbar
الله أكبر!

Faith opens bright horizons to the intelligence that seeks to understand : faith is first to the Christian.
Faith-trust, faith-love, faith-desire to know better God in ode to love him better. To better understand the good in order to accomplish it better. This is love in truth.

The human being - the human animal - ¬ can not live and survive without a minimum of security and certainty to have always experienced the perils which make him feel his fragility.

What is the Bible of the Jews if not this huge story of hopes and insults of the people of God? All people he was elected, he has been saving nothing. It was invaded by everything that the heart of man is made of : desire, faith, doubt, denial, love, passion, high aspirations, idolatry ... Crossing the desert and experience the oppression, away from home, exile. Many events and moments that, little by little, are bringing people back to themselves, push them into a corner, lead them to draw ever deeper into their resources of hope and faith. In a nutshell, to rely, ultimately, to God alone!
The prophets have marked the look of this journey of faith. (The Trito) Isaiah repeats the obvious existential evidence : hope must always look ahead. It turns to the consolation to come,  indeed,  to the total consolation, towards the abolition of all punishment. But still, however, this hope can only hit the real, grapple with what is happening every day

In Babylon, - 587, the Jews dreamed of a glorious restoration. Return to the country after thirty years, has proved disappointing. The enthusiasm, born of liberation, falls quickly: comparison of dream and reality. The role of the prophet is trying to restore confidence and hope. He anticipates his risk and peril: one day, Jerusalem will shine again of the divine glory. One day, God will comfort his people, as a mother comforts her child. This will be the utter joy. Faith is more often hope, even if it is crazy.

One evening, Radio London broadcast after the first verse of Verlaine: The long sobs of the violins of autumn, the second one : cradle my heart a long monotonous here was there! The landing was to take place and end the occupation! All French hope became resurrection hope!

The same factors are at work throughout the life of Paul. Despite everything he learned in his rabbinical training where he is a master, it is the cross that is revealed to him and has definitely marked. His words to the Corinthians (1 Cor 2, 2): "I have wanted to know among you only Jesus Christ, and Him crucified" declare a statement, a decision.
At the same time, it is in the light of the Resurrection, that he says how Hz has been transformed : in his life, his heart, his faith and religious practice; everything became Christian and opens a any new religious dynamics. Paul has definitely changed his relation to all practices, circumcision and submission to the ordinances of the Law, by which he hoped to secure his salvation once. Now his only concern is, in his words, "to share in Christ's death" for "having also share in his resurrection." "What counts is not having or not having circumcision, it is the new creation. "(15) The lines released, the barriers cut, the anchor sank. We can not believe that half, have a rag of faith, a shred of hope, a crumb of love. For Paul, it's all or nothing. The warm? Very little for him. Under these conditions, if Christ is not risen, we are of all men most miserable (1 Cor 15.19). Paul has complete confidence.

He can now access to new existence, previously unknown: it is the experience of being "strong in weakness" and can bear persecution without being disturbed. And no one can separate him from Christ, no one can deprive him of his liberty.

What is this Jesus to whom Paul, and we in our turn, have been appointed to announce? God and man: someone who calls for faith and trust, and who himself lives in confident communion regime with whom he called "the Father." The only mission he entrusted to his disciples is the image of what he does himself, to go to meet their fellowmen in doing good, in proposing confidence, in calling to faith.

This apostolic mission is one that has continued willy nilly through the centuries.
It is to call men to peace and brotherhood at any cost: hum!
It should take place without the support of human resources: hard, hard!
It requires a true interior freedom of those who lead: even harder!
It must be a challenge to men as well as for both the poverty of its ways as the ambition of his aims: that is frankly impossible with men, but nothing is impossible with God ...
It should make people aware of their responsibilities to the good, starting with the missionaries themselves!
If  god sent imposes
himself, if he can be prevented, it can also be upheld and promoted. This is the decision of each recipient ... How beautiful upon the mountains are the feet of the messenger who publishes the good news of peace, who proclaims happiness, who publishes salvation (Isaiah 52, 7 and Ro 10:15)

You can go back a campaign successful. The disciples should not stun the intoxication of power, but rejoice in the assurance to live of God. Have fulfilled their mission to proclaim, passing over to others evidence in turn. Their example gave the courage of faith because each time was tough. If there was a Christian golden age of, the real one is eternal.

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deutsch

Was evangelisieren?
Wie zu evangelisieren die Welt von morgen? Mehrere "evangelische" moderne Prediger haben die Kunst des einredens und lockens Menschenmassen. Wenn sie nur Katholiken waren, eine gewisse Hierarchie bedauert ... Allerdings ist der Inhalt dieser Predigt oft verwirrend oder inakzeptabel.
Wenn wir am Evangelium halten, das ist das Wort Jesu, das wir wollen. Er vertraute es einige, die anderen "bis an die Enden der Erde" bis heute gespendet haben. Wie würden wir an  der Höhe des Relais sein! Wir möchten, Wege finden,  zu "gehen" mit, wenn nicht einer Verpflichtung, zumindest mit einem gewissen Grad an Erfolg, um dieses Evangeliumsliebe, das so teuer ist und die ist unser Think Tank! Transmission aufhören würde es unsere Schuld, das letzte schwache Glied in einer Jahrtausends Kette?

Doch die Zeiten, die wir erleben, uns daran erinnern, und nicht darum sind, zu schließen: Missverständnisse über die Ziele unserer Verantwortung im Überfluss. Sie entstehen schneller as durch Missverständnisse darüber, was das Evangelium ist und was es bietet; praktisch vorbereitet. Das Rezept des Dr. Lukas ist mehr denn je in Betracht gezogen werden: "Seht also, wie ihr hören" (8, 18). Das ist nichts weniger als um eine Synergie mit uns und dem Wort noch bekannt geben, zu erstellen. Er ist erstens es aufzunehmen,  sich durch es transformiert werden, um es vor dem Wiederherstellen assimilieren. Dieses Wort bringt dem, wer es richtig erhält  tiefe Stärke und Sicherheit, weil sie den Glauben gründet und im Glauben, das heißt, im Selbstvertrauen und in ihm.

Es ist weit von diesen Bestimmungen, wo der Geist, das Herz und der Glauben an den Gott des Lebens, die ersten sind,  zum utopischen Ziel, den Globus in der Zwangsjacke eines sakrosankten Systems von absoluten Wahrheiten zu sichern.
Es ist weit von der Kreuz eines Jesus, der zu dem höchsten Treuepunkt am Galgen geht, zum etwa menschlichen  Vorhaben, die Welt um jeden Preis auch zwangsweise zu christianisieren: trotz des neuen Gebotes, dass Jesus gerade gab!
Es ist Kraft in Gott. Es ist Gewissheit in Gott. Es ist die Wahrheit, nur Gott. Wir wollen wirklich Allah Akbar
الله أكبر! schreien

Glaube öffnet hellen Horizonts zu der Intelligenz die zu verstehen sucht, der Glaube ist zuerst beim Christ.
Glaube-Vertrauen, Glaube-Liebe, Glaube- Wunsch, Gott besser zu kennen und besser zu lieben. Zum besseren Verständnis der guten zu erreichen besser. Das ist die Liebe in der Wahrheit.

Der Mensch - das menschliche Tier - ¬ kann nicht leben und überleben ohne ein Mindestmaß an Sicherheit und Gewissheit, deswegen, die Gefahren, wo seine Zerbrechlichkeit auf die Probe gestellt wird, immer erlebt zu haben.

Was ist die Bibel der Juden, wenn nicht diese große Geschichte von Hoffnungen und Beleidigungen des Volkes Gottes? alle Menschen, die er gewählt wurde, wurde nichts erspart. Es wurde von allem vom, was das Herz des Menschen macht, erobert: Begehren, Glauben, Zweifel, Ablehnung, Liebe, Leidenschaft, hohe Erwartungen, Götzendienst ... die Wüste Kreuzung und das Erlebnis de Unterdrückung, weg von zu Hause Exil. Viele Ereignisse und Momente, die Stück für Stück, die Menschen in selbst treiben, sie in die Ecke schieben, sie immer tiefer führen, in ihre Ressourcen der Hoffnung und des Glaubens zu schöpfen. In einer Nussschale, sich letztlich auf Gott allein zu verlassen!
Die Propheten haben das Aussehen dieses Wegs des Glaubens markiert. (Der Trito) Jesaja wiederholt die existentielle Evidenz : Hoffnung muss immer nach vorne schauen. Sie dreht sich in der Tat um den zukommende Trost, um den totalen Trost, zur Abschaffung aller Strafe. Aber immer noch, kann aber diese Hoffnung nur mit der Realität treffen, mit dem auseinandersetzen, was geschieht jeden Tag

In Babylon, - 587, träumten die Juden von einer glorreichen Restaurierung. Rückkehr in das Land nach dreißig Jahren, hat sich enttäuscht. Die Begeisterung, von der Befreiung geboren, fällt schnell: Vergleich von Traum und Wirklichkeit. Die Rolle des Propheten versucht, Zuversicht und Hoffnung wiederherzustellen. Er rechnet auf eigene Gefahr : eines Tages wird Jerusalem wieder der göttlichen Herrlichkeit scheinen. Eines Tages, wird so Gott sein Volk trösten, wie eine Mutter ihr Kind tröstet. Dies wird die völlige Freude sein. Der Glaube wird immer häufiger Hoffnung, auch wenn es verrückt ist.

Eines Abends, ausgestrahlt Radio London nach dem ersten Vers der Verlaine: Die langen Schluchzen der Geigen des Herbstes, den zweiten: Wiege mein Herz mit eine monotonen Mattigkeit :  hier war's! Die Landung stattfinden sollte und das Ende der Besatzung! Allen Franzosen wurde Auferstehungshoffnung!

Die gleichen Faktoren sind bei der Arbeit während der gesamten Lebensdauer des Paulus. Trotz allem, was er in seiner rabbinischen Ausbildung, wo er ein Meister ist, gelernt haben, ist es das Kreuz, das ihm geoffenbart ist und ihn definitiv markiert hat. Seine Worte an die Korinther (1 Kor 2, 2): "Ich wollte mitten von Ihnen nur Jesus Christus, den Gekreuzigten wissen " erklären einen Stand der Entscheidung.
Zur gleichen Zeit ist es im Licht der Auferstehung, dass er sagt, wie er in seinem Leben, seinem Herz, seinen Glauben und Zuverlässigkeit, seiner religiösen Praxis umgewandelt wurde : alles wurde Christus und öffnet ein ganz neue religiöse Dynamik. Paulus hat definitiv seine Beziehung an alle Praktiken - die Beschneidung und die Unterwerfung unter die Verordnungen des Gesetzes geändert, mit denen er hoffte, sein Heil einmal zu sichern. Jetzt ist seine einzige Sorge, in seinen Worten, "am Tode Christi teilnehmen", um " auch seine Auferstehung mitzuteilen." "Was zählt, ist nicht mit oder ohne Beschneidung: es ist die neue Schöpfung. "(15) Die Linien freigesetzt, Schranken geschnitten, die Anker sank. Wir können nicht glauben half, einen Lappen des Glaubens, ein Fetzen der Hoffnung, ein Krümel der Liebe haben. Für Paul ist es alles oder nichts. Die warm? Sehr wenig für ihn. Unter diesen Bedingungen, wenn Christus nicht auferstanden ist, sind wir von allen Menschen erbärmlichsten (1 Kor 15,19). Paul hat volles Vertrauen.

Er kann nun auf eine neue Existenz, zuvor unbekannt: es ist die Erfahrung des Seins "stark in Schwäche" und er Verfolgung tragen ohne gestört zu werden. Und niemand kann ihn von Christus trennen, niemand kann ihn seiner Freiheit zu berauben.

Was ist dieser Jesus, den Paulus, und wir in unserer Reihe, ernannt worden zu verkünden? Gott und Mensch: ". " jemand, der für den Glauben und das Vertrauen ruft, und der sich selbst in Regime der Kommunion zuversichtlich lebt, mit dem, was er als Vater erkennt. Die einzige Mission vertraute er zu seinen Jüngern ist das Bild von dem, was er tut, selbst zu gehen, um ihre Kollegen in Gutes zu tun gerecht zu werden, in ¬ posiert Vertrauen zu schenken, Glauben zu fordern.

Diese apostolische Sendung ist eine, die wohl oder übel über die Jahrhunderte fortgetragen wurde.
Es ist, die Menschen zu Frieden und Brüderlichkeit unter allen Umständen anrufen: hum!
Es sollte ohne die Unterstützung der menschlichen Ressourcen zu nehmen: hart, hart!
Es erfordert eine wahre innere Freiheit derer, die führen: noch härter!
Es soll die Menschen, sowohl mit der Armut seiner Möglichkeiten wie dem Ehrgeiz seiner Leistung provozieren : es ist, ehrlich gesagt, bei den Menschen unmöglich, aber nichts ist unmöglich mit Gott ...
Es sollte das gut bezüglich die Menschen ihrer Verantwortung bewusst machen, beginnend mit den Missionaren selbst!
Wenn sich der Gesandte nicht imponiert oder jemals verhindert werden kann, kann er auch aufrecht erhalten und gefördert werden. Das ist die Entscheidung jedes einzelnen Empfängers ... Wie lieblich sind auf den Bergen die Füße der Boten, die gute Nachricht des Friedens veröffentlicht, um ein, die das Glück verkündet, die das Heil veröffentlicht (Jesaja 52, 7 und Ro 10:15)

Sie können erfolgreich einer Kampagne zurück. Die Jünger sollten den Rausch der Macht nicht stur, sondern in der Gewissheit, von Gott zu leben freuen. Erfüllt ihre Mission zu verkünden, Übergabe an andere Beweise in der Reihe. Ihr Beispiel hat den Mut des Glaubens, denn jedes Mal war hart. Wenn es ein goldenes christliches Zeitalter, ist die eigentliche ewig.

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italiano

Cosa evangelizzare?
Come evangelizzare il mondo di domani? Numeosi "evangelists", predicatori moderni, hanno l'arte di arringare e attirare le folle. Se solo fossero cattolici, una certa gerarchia dispiace ... Tuttavia, il contenuto di tale predicazione è spesso confuso o inaccettabile.
Se prendiamo il Vangelo, è la Parola di Gesù che vogliamo. Gesu la confidò ad alcuni che hanno donato ad altri "fino agli estremi confini della terra" fino ad oggi. Sarebbe l'altezza del relè! Ci piacerebbe trovare il modo di "passare" con, se non di un obbligo, almeno con un certo grado di successo, questo Vangelo che è noi così costoso e che è il nostro think tank! La trasmissione sarebbe fermare la nostra colpa, l'ultimo anello debole di una catena d due millenni?

Ma i tempi che stiamo vivendo ci ricordano e non sono per chiudere: equivoci sugli obiettivi della nostra responsabilità abbondano. Essi sorgono più velocemente che vengono preparate dagli equivoci su ciò che il Vangelo è e cosa che offre virtualmente. L'ordine del Dtt. Luca è più che mai da considerare: "Badate dunque come ascoltate" (8, 18). Questo è niente di meno che di creare una sinergia con la Parola da annunciare. Il primo è adattarsi alla trasformazione da essa, e assimilare prima di ripristinare. Questa parola porta a chi riceve "come conviene" profonde forza e certezza, perché stabilisce la fede e nella fede, vale a dire, in fiducia in se stesso e in essa.

E lontano da queste disposizioni in cui il cuore, la mente e la fede nel Dio della vita sono in primo luogo, all'ambizione utopica, fissare il globo nella camicia di forza di un sistema di sacrosanta verità assolute.
E lontano dalla croce di Gesù che va alla corona della fedeltà suprema su un patibolo, al proposto umano cristianizzare il mondo ad ogni costo, anche con la forza: a dispetto del comandamento nuovo che Gesù dovuto dare!
C'è forza in Dio. C"è certezza in Dio. C'È la verità solo di Dio. Vogliamo davvero gridare Allah Akbar
الله أكبر!

La fede apre orizzonti brillanti all'intelligenza che cerca di comprendere :  la fede è il primo per el cristiano.
La fede-fiducia, la fede-amore, la fede- desiderio di  meglio conoscere Dio, ad amarlo meglio. Per comprendere meglio il bene, ad assolvere meglio. Questo è l'amore nella verità.

L'essere umano - l'animale umano - non può vivere e sopravvivere senza un minimo di sicurezza e di certezza, perche ha sempre vissuto i pericoli dove si sente la sua fragilità.

Qual è la Bibbia degli ebrei, sino questa storia enorme di speranze e di insulti del ​​popolo di Dio? Tutte le persone che era eletto, ha risparmiato nulla. E 'stato invaso da tutto ciò che fa il cuore dell'uomo: il desiderio, la fede, il dubbio, la negazione, l'amore, la passione, alte aspirazioni, idolatria ... Attraversando il deserto e vivere l'oppressione lontano da casa,  l'esilio. Molti eventi e momenti che, a poco a poco, portano le persone in si stessi, a spingerle in un angolo, a forzarle  a disegnare sempre più nel loro risorse di speranza e di fede. In poche parole, di far valere, in ultima analisi, solo a Dio!
I profeti hanno segnato il ritmo di questo cammino di fede. (Il Trito) Isaia ripete l"evidenza ovvia esistenziale : l"esperanza deve sempre guardare avanti. Si gira verso la consolazione davvero, arrivando alla totale consolazione verso l'abolizione della pena. Ma ancora, tuttavia, questa speranza non può che colpire il reale, alle prese con ciò che sta accadendo ogni giorno

In Babilonia, - 587, gli ebrei sognato di un restauro glorioso. Ritorno al paese dopo trent'anni, si è rivelato deludente. L'entusiasmo, nato di liberazione, cade rapidamente: confronto tra sogno e realtà. Il ruolo del profeta sta cercando di ripristinare la fiducia e la speranza. Egli anticipa suo rischio e pericolo : un giorno, Gerusalemme brillerà ancora della gloria divina. Un giorno, Dio consolarà il suo popolo, come una madre consola un figlio. Questa sarà la gioia assoluta. La fede è più spesso la speranza, anche se è pazzesca.

Una sera, Radio Londra in onda dopo il primo verso di Verlaine: I singhiozzi lunghi dei violini d'autunno, il secondo : bancale mio cuore una languore monotona : qui era là! L'atterraggio è stato quello di prendere posto e porre fine all'occupazione! Per tutti i francese la speranza divenne la risurrezione!

Gli stessi fattori sono al lavoro per tutta la vita di Paolo. Nonostante tutto quello che ha imparato nella sua formazione rabbinica, dove è un maestro, è la croce che gli si rivela e si è decisamente importante. Le sue parole ai Corinzi (1 Cor 2, 2): "Ho voluto sapere da voi solo Gesù Cristo, e crocifisso" dichiarare lo stato di una decisione.
Allo stesso tempo, nella luce della risurrezione, dice come è stato trasformato nella sua vita, il suo cuore, la sua fede e la pratica religiosa, tutto è diventato Cristo e apre una nuova dinamica religiosa. Paul ha decisamente cambiato la sua relazione a tutte le pratiche di circoncisione e sottomissione alle ordinanze della Legge, con la quale sperava di ottenere la sua salvezza, una volta. Ora la sua unica preoccupazione è, nelle sue parole, "a condividere la morte di Cristo" per "aver partecipazione" anche alla sua risurrezione. "Ciò che conta non è avere o non avere la circoncisione : è la nuova creazione. "(15) Le linee rilasciate, barriere tagliate, l'ancora affondata. Non possiamo credere mezzo mezzo, un briciolo di fede, un brandello di speranza, un straccio di amore. Per Paolo, è tutto o niente. I caldi? Molto poco per lui. In queste condizioni, se Cristo non è risorto, noi siamo di tutti gli uomini più miserabili (1 Cor 15,19). Paul ha completa fiducia.

Puo ora accedere a una nuova esistenza, sconosciuta finora : è l'esperienza di essere "forte nella debolezza" e può indossare persecuzione senza essere disturbato. E nessuno può separare da Cristo, nessuno può privarlo della sua libertà.

Che cosa è questo Gesù, che Paolo, e noi a nostra volta, sono stati nominati per annunciare? Dio e uomo: ". Il Padre" qualcuno che chiama per la fede e la fiducia, e che si vive in regime di comunione confidenza con quello che egli chiama Il Padre. L'unica missione che ha affidato ai suoi discepoli è, all'immagine di ciò che lui stesso fa, andare a incontrare i loro omologhi nel fare il bene, richiedente confidenza e chiamando fede.

Questa missione apostolica è quella che ha continuato volenti o nolenti nel corso dei secoli.
E 'di chiamare gli uomini alla pace e alla fratellanza a tutti i costi: hum!
Si dovrebbe aver luogo senza il sostegno delle risorse umane: duro, duro!
Si richiede una vera libertà interiore di chi guida: ancora più difficile!
Dovrebbe rimuovere gli uomini sia per la povertà dei suoi modi dall'ambizione del suo intervento: non vi è francamente impossibile agli uomini, ma niente è impossibile a Dio ...
Si dovrebbe rendere le persone consapevoli delle loro responsabilità al bene, a partire dai missionari stessi!
Se l'inviato non imporre mai, se può essere impedito, può anche essere accolto e promosso. Questa è la decisione di ogni destinatario ... Come sono belli sui monti i piedi del messaggero che pubblica la buona novella della pace a colui che proclama la felicità, che pubblica la salvezza (Isaia 52, 7 e Ro 10:15)

È possibile tornare indietro una campagna di successo. I discepoli non devono stordire l'ebbrezza del potere, ma a gioire per la certezza di vivere di Dio. Hanno compiuto la loro missione di proclamare, passando sopra ad altri elementi di prova a sua volta. Il loro esempio ha dato il coraggio della fede, perché ogni volta è stata dura. Se ci fosse un periodo d'oro christiano, il reale è eterno.

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espanol

¿Qué evangelizar?
Cómo evangelizar el mundo del mañana? Varios "evangélists", predicadores modernos, tienen el arte de arengar y atraer multitudes. Si sólo fueran católicos, una cierta jerarquía siento ... Sin embargo, el contenido de esta predicación es a menudo confuso o inaceptable.
Si tomamos el Evangelio, es la Palabra de Jesús que queremos. Él confió a algunos de los que han donado a otros "hasta los confines de la tierra", hasta hoy. Sería la altura del relé! Nos gustaría encontrar la manera de "pasar", con, si no una obligación, por lo menos con cierto grado de éxito, el Evangelio, que es tan caro y que es nuestro think tank! Transmisión detendría nuestra culpa, el eslabón más débil de la cadena pasada en dos milenios?

Pero los tiempos que estamos viviendo nos recuerdan y no están a punto de cerrar: malentendidos sobre los objetivos de nuestra responsabilidad abundan. Surgen más rápidamente son preparados por los malentendidos acerca de lo que es el evangelio y lo que ofrece de forma virtual. El orden de Dr. Luke es más que nunca a considerar: "Mirad, pues, cómo oís" (8, 18). Esto no es nada menos que crear una sinergia con la Palabra que se anunciará. Él es el primero en acomodarse a transformar por él, para asimilar antes de restaurar. Esta palabra lleva a que reciba "correctamente" la fuerza y ​​la certeza profunda, ya que establece la fe y en la fe, es decir, en la confianza en si y en ella.

Hay mucho desde estas disposiciones donde la mente, el corazón y la fe en el Dios de la vida son en primer lugar, hasta la ambición utópica, asegure el mundo en la camisa de fuerza de un sistema sagrado de la verdad absoluta.
Está lejos de la cruz de un Jesús que va a los puntos de fidelidad suprema de la horca, a eso proyecto humano cristianizar el mundo a cualquier precio, incluso por la fuerza: en el desafío del nuevo mandamiento que Jesús tenía que dar!
Hay fuerza en Dios. Hay certeza en Dios. Es verdad que Dios. Tenemos muchas ganas de gritar Allah Akbar
الله أكبر!

La fe abre el horizontes brillantes a la inteligencia que trata de comprender : es que la fe es el primero en el cristiano.
La fe -confianza, la fe-amor, la fe de mejor conocer a Dios para amar más. Comprender mejor el bien para llevar a cabo mejor. Esto es amor de verdad.

El ser humano - el animal humano - no se puede vivir y sobrevivir sin un mínimo de seguridad y la certeza, por haber vivido siempre de los peligros que se siente su fragilidad.

¿Qué es la Biblia de los Judíos sino esta gran historia de esperanzas e insultos al pueblo de Dios? Todas las personas que lo eligieron, él ha estado ahorrando nada. Fue invadida por todo lo que forma el corazón del hombre: el deseo, la fe, la duda, la negación, el amor, la pasión, altas aspiraciones, la idolatría ... Cruzando el desierto y la experiencia de la opresión,  fuera de casa, exilio. Muchos eventos y momentos que, poco a poco, la gente se está llevando, empujarlos en una esquina, los llevan a dibujar cada vez más en sus recursos de la esperanza y la fe. En pocas palabras, confiar, en definitiva, sólo a Dios!
Los profetas han marcado el aspecto de este camino de fe. (El Trito) Isaías repite la evidencia obvia existencial : la esperanza siempre debe mirar hacia adelante. Se vuelve hacia el consuelo de hecho, llegando a un consuelo total hacia la abolición de la pena. Pero aún así, sin embargo, esta esperanza sólo puede alcanzar lo real, para lidiar con lo que está ocurriendo todos los días

En Babilonia, - 587, Judíos soñaban con una gloriosa restauración. El retorno al país después de treinta años, ha resultado decepcionante. El entusiasmo, nacido de la liberación, cae rápidamente: comparación de los sueños y la realidad. El papel del profeta está tratando de restaurar la confianza y la esperanza. Él anticipa por su cuenta y riesgo: un día, Jerusalén brillará otra vez de la gloria divina. Un día, Dios consolara a su pueblo, como una madre consuela a su hijo. Esta será la alegría absoluta. La fe es más a menudo la esperanza, aunque sea una locura.

Una noche, Radio Londres, después de emitir el primer verso de Verlaine: Los largos sollozos de los violines de otoño, la segunda : cuna de mi corazón un languidez monótono : aquí estaba allí! El aterrizaje se llevaría a cabo y poner fin a la ocupación! Para todos los franceses la esperanza se convirtió la resurrección!

Los mismos factores están en el trabajo a lo largo de la vida de Pablo. A pesar de todo lo que aprendió en su formación rabínica donde él es un maestro, es la cruz que se le revela y ha marcado definitivamente. Sus palabras a los Corintios (1 Cor 2, 2): "Tengo ganas de saber de usted que Jesucristo, ya éste crucificado" declarar el estado de una decisión.
Al mismo tiempo, es a la luz de la resurrección, dice cómo se ha transformado en su vida, su corazón, su fe y religiosa práctica, todo se convirtió en Cristo y abre una cualquier dinámica religiosa nueva. Pablo ha cambiado definitivamente su informe a todas las prácticas, la circuncisión y la sumisión a las ordenanzas de la ley, por lo que él esperaba asegurar su salvación una vez. Ahora, su única preocupación es, según sus palabras, "para compartir en la muerte de Cristo" por "haber también compartir en su resurrección." "Lo que cuenta no es tener o no tener la circuncisión es la nueva creación. "(15) Liberar las líneas, cortar las barreras , el ancla se hundió. No podemos creer en la mitad, tienen un trapo de fe, una pizca de esperanza, una migaja de amor. Para Pablo, es todo o nada. La cálida? Muy poco para él. En estas condiciones, si Cristo no resucitó, somos de todos los hombres más miserables (1 Cor 15,19). Pablo tiene confianza.

Ahora se puede acceder a una nueva existencia, hasta ahora desconocida: es la experiencia de ser "fuerte en la debilidad" y el apoyo puede llevar persecución sin ser molestado. Y nadie puede separarle de Cristo, nadie puede privarle de su libertad.

¿Qué es este Jesús que Pablo, y nosotros por nuestra parte, han sido designados para anunciar? Dios y el hombre: " alguien que llama a la fe y la confianza, y que se vive en régimen de comunión confiada con lo que él llamó Padre". La única misión que confió a sus discípulos, es la imagen de lo que él mismo hace, para ir a reunirse con sus homólogos en hacer el bien, posando en la confianza, llamando la fe.

Esta misión apostólica es la que ha seguido  - queramos o no - a través de los siglos.
Es de llamar a los hombres a la paz y la hermandad a toda costa: hum!
Debe llevarse a cabo sin el apoyo de los recursos humanos: duro, duro!
Se requiere una verdadera libertad interior de los leaders: aún más difícil!
Debe provocar a los hombres, tanto la pobreza de sus caminos por la ambición de su proyecto: no es francamente imposible para los hombres, pero nada es imposible para Dios ...
Se debe dar a conocer sus responsabilidades para el bien, a partir de los propios misioneros!
Se el enviado no imponer nunca, se puede prevenir, sino que también puede ser acogido y promovido. Esta es la decisión de cada destinatario ... Cuán hermosos son sobre los montes los pies del mensajero que anuncia la buena nueva de la paz a alguien que proclama la felicidad, que publica salvación (Isaías 52, 7 y Ro 10:15)

Puede volver una campaña exitosa. Los discípulos no deben aturdir a la embriaguez del poder, sino para regocijarse en la seguridad de que viven de Dios. Haber cumplido su misión de proclamar, pasando por encima de cualquier otra prueba en turno. Su ejemplo dio el valor de la fe, porque cada vez que fue duro. Si hubo una edad de oro cristiana, la verdadera es eterna.

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