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dimanche 14 juillet 2013

L'hospitalité




21 juillet 2013

14 L'HOSPITALITÉ
16 ème dimanche du Temps ordinaire Année C

Textes :
§       Genèse 18,1-10
§       Psaume 14
§       Colossiens 1,24-28
§       Luc 10, 38-42



L’autre jour, dans la lecture de l’évangile, un docteur de la Loi (on pourrait dire aujourd’hui un docteur de la foi) interrogeait Jésus : « Que dois-je faire pour avoir en partage la vie éternelle ? » Le rabbin palestinien, bohème itinérant, SDF par choix, Jésus, avait amené l’expert à réciter les deux commandements fondamentaux de la Loi/Foi: l'amour de Dieu et l'amour du prochain.
Les péricopes qui en découlent en spécifient la portée.
La para­bole du bon Samaritain illustre l'extension universelle de l'amour du pro­chain,
l'accueil de Jésus par Marthe et Marie aujourd’hui,
et les instructions sur la prière (plus loin), montrent comment aimer Dieu véritablement.

"Colossiens" est l'une des lettres dites de la captivité de Paul. Elle est l’affirmation par excellence de la pri­mauté du Christ dans l'univers comme en chacune de nos vies.
Ce texte est un chef d’œuvre de la littérature mystique universelle. On y trouve l'hymne au

Christ,
Premier-né de toute créature,
Premier-né d'entre les morts
(Col 1, 15-20).

Le texte est difficile, c’est vrai ! Raison de plus pour en tirer parti !
Dans la mesure où notre époque tend à tout relativiser et à mettre en cause l’Institution Église, voilà une excellente opportunité de recentrer notre foi sur la personne du Christ, quelqu’un que Paul a passionnément aimé, plus encore après son arrestation.

D’ailleurs, c’est les vacances, la grande vacance de l’été ! Pour peu que vous ayez une grande maison, à la mer ou la montagne, ou que vous connaissiez de bons amis qui en soient dotés, voici l’occasion d’offrir ou de recevoir l’hospitalité ! En effet, comme le latin hospes, notre mot hôte dési­gne à la fois celui qui reçoit et celui qui est reçu. L'hospitalité suggère la réciprocité. On ne reçoit pas, on n’est pas reçu de la même façon, selon qu’il s’agit d’une maison particulière ou d’un hôtel.

Dans le monde antique, l'hospitalité est une vertu fondamentale, le voya­geur étant accueilli comme un envoyé des dieux. Le modèle en la matière, c’est Abraham ! Il n'attend pas d'être sollicité, et va au-devant des voyageurs. Il invite Sara, son épouse, à préparer un véritable festin. : on ne lésine pas pour recevoir un hôte ! Chagall représente Abraham, debout, les mains pendantes et ouvertes, prêt à prévenir le moindre besoin, même muet, des Trois Voyageurs.

Mais la pointe du texte, c'est l'annonce de la naissance d'Isaac, l'enfant du rire (Gn 17,17 ; 21, 6)[1].

Tout hôte a quelque message à apporter :

échange de dons ! Elle est là, LA mission !

Le match Marthe versus Marie est passionnant sous plusieurs aspects: c’est froidement d’abord, qu’il faut en considérer l’enseignement. Autant l’une que l’autre aiment Jésus : au tombeau de leur frère, la démonstration nous en sera administrée. Mais chacune l’aime, en tant qu’elle-même !
Marthe fait la cuisine, même/surtout ce jour-là, parce qu’elle la fait habituellement et /ou qu’elle la fait bien. Marie ne cuisine pas, quelles qu’en soient les raisons : il vaut mieux d’ailleurs qu’elle s’en abstienne, si elle ne sait pas faire!
Il n’y a aucune jalousie dans la voix forte de Marthe, quand elle interpelle Jésus de dire à Marie de venir lui donner un coup de main ! C’est que Jésus et Marie doivent se trouver dans une autre pièce, ou sous la treille, de toute façon suffisamment loin de la cuisine, et que si Marie rejoint sa sœur, Jésus suivra, et les trois se trouveront assez proches l’un de l’autre pour s’entendre et se parler ! C’est ce qu’on fait normalement quand l’hôtesse prépare à la cuisine : tout le monde s’y installe, surtout entre amis ! La revendication est tellement naturelle qu’on se demande pourquoi le narrateur n’y a pas pensé lui-même !
C’est pourquoi sa remarque finale, prise elle aussi froidement, pourrait être retournée contre Jésus :
Jésus : Il n'est besoin que de peu de choses ou d'une seule. Marie en effet a choisi la bonne part, qui ne lui sera point ôtée. "(Lc 10,42) –
Marie : OK ! Alors, je ne cuisine pas et on descend chez le chinois du coin !

L’homme ne vit pas seulement de pain, c’est vrai ! Mais Jésus s’est toujours invité à la table des autres et n’a jamais cuisiné : l’eucharistie est un « plat qui se mange froid » !
Que faut-il comprendre ? C’est que cette anecdote est pour le moins maladroite, parce que son Sitz im Leben est à rechercher vraisemblablement dans les « discussions » existant dans la communauté qui rapporte ses souvenirs à Luc (qui collecte) entre action et contemplation, travail manuel et prière : au point que Benoît de Nursie prendra au 5ème siècle comme règle pour ses moines :

Ora et Labora = Prie Et Travaille.

Une seule chose est nécessaire. Jésus ne précise pas laquelle. Il ne dit pas expressément que c’est l’écoute passive de Marie qui est « mieux » que l’activité débordante de Marthe. Il dit que Marie a choisi la bonne part (ou la meilleure, selon les traductions). Il constate que Marie est heureuse de faire ce qu’elle fait, elle ne ronchonne pas après Marthe qui fait bien trop de bruit. Et puis, Jésus est là, pour peu de temps, Marie l’a deviné, elle savoure ces instants uniques. N’aimerions nous pas le faire ? Tout laisser tomber pour aller à sa rencontre ! Rien ne dit qu’une fois Jésus parti, elle ne se montre pas tout aussi, sinon plus, active que sa sœur. Dans Jean 11, les deux sœurs, Marthe d’abord, puis Marie à qui elle a demandé de venir, disent à Jésus exactement la même chose : Seigneur, si tu avais été là, mon frère ne serait pas mort. Avec Marthe, Jésus parle de la résurrection. Avec Marie en larmes, il est bouleversé. Jésus nous laisse être qui nous sommes, sûrement pas des clones. Il demande seulement que nous soyons heureux de vivre la vie qui nous est donnée. Cette bonne part qui ne nous sera point ôtée.

Maître Eckhart exalte même l’attitude de Marthe qui a dépassé le stade de la contemplation pure. Elle parvient à vivre sa foi dans l’action qui est devenue l’expression de sa maturité. Elle a réalisé l’équilibre entre l’activité et la méditation. Du coup, son intervention auprès de Jésus ne viserait qu’au progrès de Marie : s’abreuver des Paroles est une étape, non un but. La connaissance est nécessaire à l’action. Marthe serait donc passée par ce chemin et Marie ne saurait tarder à la rejoindre.

Tous les commentaires sur la supériorité de la vie contempla­tive, sans enten­dre les protestations de toutes les Marthes de l’Histoire accablées par les soucis de la maison et des enfants, en plus, bien souvent, du travail professionnel : sont nuls et  non avenus !

Si la priorité, c'est d'écouter la Parole de Dieu, telle que Jésus l'explique : alors il faut qu’elle soit accessible et audible, qu’elle veuille dire quelque chose, qu’elle aide à vivre, qu’elle ne soit ni verbiage ni baratin. La transmission est chose sérieuse, ne la galvaudons pas. Jésus n’est plus là : nous sommes sa bouche et ses paroles sont les nôtres devenues ! Les connaissons-nous ?

Saint Vincent de Paul disait aux Filles de la Charité :
« II ne faut pas de retardement en ce qui est du service des pauvres. Si, à l'heure de votre oraison, le matin, vous devez aller porter une médecine, oh ! Allez-y en repos ; offrez à Dieu votre action, unissez votre intention à l'oraison qui se fait à la maison, ou ailleurs, et allez-vous-en sans inquiétude».
Bannissons donc l’activisme et l’agitation stériles. Le temps des vacances est idéal pour cette réflexion, sachons en profiter.

Somme toute, le mystère que Paul revendique d’avoir la charge de manifester, c'est la place centrale du Christ non seulement dans sa vie, mais dans l'univers : le Christ « cosmique », tel que Teilhard de Chardin l'a célébré dans la Messe sur le monde.

Le Christ est l’hôte de l’Histoire, et de celle des hommes en particulier

Quand Paul proclame le Christ au milieu de vous, il fait écho à Luc : le Royaume de Dieu est parmi vous ! Au cœur des Nations, dans le vaste monde des hommes.

En conséquence, les chrétiens et l’Église du Christ ont à  rejoindre tous les hommes là où ils sont, pour demeurer définitivement au milieu d'eux, dans la diversité de leurs cultures : chacun doit rester qui il est sans devoir changer d'iden­tité socioculturelle. Là est  et reste bien LE mystère par excellence !

A toute époque, le Christ a été annoncé dans un langage à la portée de tous. Trouvons celui qui s’adapte à nos jours, car la Tradition, c’est l’innovation permanente, la vie, le mouvement et l’être (Ac 17,28). Non une formulation inadaptée mais une langue vivante. Voilà l’urgence !

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english

The other day, in the reading of the Gospel, a doctor of the law (one could say today a doctor of the faith) asked Jesus, "What must I do to inherit everlasting life? "The travelling bohemian Palestinian rabbi, homeless by choice, Jesus? had brought the expert to recite the two fundamental commandments of the Law / Faith: love of God and love of neighbour.
The pericopes ensuing specify the scope.
The parable of the Good Samaritan illustrates the universal extension of the love of neighbour, the
 reception of Jesus by Mary and Martha today, and the  instructions on prayer (below) show how truly love God.

"Colossians" is one of the so-called Paul's imprisonment letters. It is the affirmation of the excellence primacy of Christ in the world as each of our lives.
This text is a masterpiece of universal mystical literature. It is the anthem to

Christ
First-born of all creation,
Firstborn from the dead
(Col 1: 15-20).

The text is difficult, it's true! All the more reason to take advantage!
Insofar as our time tends to relativize everything and jeopardize the Church Institution, this is an excellent opportunity to focus our faith on the person of Christ, someone Paul passionately loved, even more after his arrest.

Besides, it's the holidays, the great summer  holidays! As long as you have a big house by the sea or in the mountains, or you know good friends who are with, here's your chance to offer or receive hospitality! Indeed, as the Latin 'hospes', our 'host' word design both the one who receives and the one who is received. Hospitality suggests reciprocity. One does not receive, one is not received in the same way, as it is a private house or a hotel.

In the ancient world, hospitality is a fundamental virtue, the traveller being welcomed as a messenger of the gods. The model in this regard is Abraham! He does not expect to be asked, and goes to the travellers. He invites Sara, his wife, to prepare a feast. : They do not skimp to receive a host! Chagall's Abraham is standing, hands hanging open and ready to prevent any need, even silent, of theThree Travellers.

But the point of the text is the announcement of the birth of Isaac, "the child of laughter" (Gen. 17.17, 21, 6).
All host gets any message to give: exchange of gifts! It is THE mission!

The match Marie versus Martha is exciting in many ways: it is necessary at first to cold blood consider the teaching of it. The one as much as the other likes Jesus : at the tomb of their brother, we will be administered the demonstration. But each loves him in her own way!
Martha cooks, even / especially on this day, because she usually does and / or  does it well. Mary does not cook, whatever the reasons : it is better that she would also abstain, if she can not do!
There is no jealousy in the loud voice of Martha, when she calls Jesus to tell Mary to come and give her a hand! Jesus and Mary must be in another room, or under the arbour, anyway far enough from the kitchen, and if Mary joined her sister, Jesus followed, and the three of them find themselves fairly close to each other to hear and speak! This is normally done when the hostess prepares in the kitchen : everyone moves there, especially with friends! The claim is so natural that one wonders why the narrator has no thought it himself!
That is why his final remark, cold taken too, could be turned against Jesus:
  • Jesus: There is no need but little or one thing. Mary has indeed chosen that good part, which shall not be taken away. "(Lk 10:42) -
  • Marie: OK! So I do not cook and we call the Chinese down round the corner!

Man does not live by bread alone, it's true! But Jesus is always invited to the table of others and never cooked: the Eucharist is a "dish best served cold!"
What does it include? That story is somewhat awkward because its Sitz im Leben is likely to seek in the existing "discussions" in the community that brings memories to Luke (who collects) between action and contemplation, prayer and manual labour : to the point that Benedict of Nursia took it in the 5th century as a rule for his monks:

Ora et Labora = Pray and Work.

One thing is necessary. Jesus did not say which one! He did not say specifically that it is the passive listening of Mary which is "better" than the overflowing activity of Martha. He says that Mary has chosen the good part (or best, depending on the translation). He noted that Mary is happy to do what she does, she does not grumble after Martha who makes too much noise. And Jesus is there for a short time, Mary guessed, she enjoys these unique moments. Wouldn't we do it? Drop everything to meet him! Nothing says that when Jesus left, she does not show equally, if not more active than her sister. In John 11, both sisters - Martha first, then Mary whom Martha called to come to Jesus -, say exactly the same thing: Lord, if You had been here, my brother would not have died. With Martha, Jesus speaks of the resurrection. With Mary in tears, he is upset. Jesus lets us be who we are, certainly not clones. He asks only that we are happy to live the life we are given. That good part we won't be taken away.

Master Eckhart even exalts Martha's attitude who has gone beyond mere contemplation. She manages to live her faith in action that has become the expression of maturity. She realized the balance between activity and meditation. Suddenly, her speech to Jesus only refers to the advancement of Mary : to drink the Words is a step, not an end. Knowledge is necessary for action. Martha would be passed that way and Mary could soon join.

All comments on the superiority of the contemplative life, without hearing the protests all Marthas of history, burdened with the cares of home and children, and more often, professional work: are zero and void!

If the priority is to listen to the Word of God, the way Jesus says it, then it must be accessible and audible, mean something, help to live, and be neither verbiage or pitch. The transmission is a serious thing, not to be wasted. Jesus is no longer there: we are his mouth and his words are become ours! Do we know them?

Saint Vincent de Paul told the Daughters of Charity:
"We must not delay in the service of the poor. If at the time of your prayer in the morning, you must bring a medicine, oh! Go in peace, offering God your action, unite your intention to the prayer that is made at home or elsewhere, and you go in without worry. "
So let's banish sterile activism and agitation. Holiday time is ideal for this discussion, let us enjoy it.

All in all, the mystery that Paul claims to have the charge of showing, is the centrality of Christ not only in his life, but in the universe: "cosmic" Christ as Teilhard de Chardin has celebrated in his Mass for the world.

Christ is the host of the History, and the one of men in particular.

When Paul proclaims Christ among you, he echoes Luke: the Kingdom of God is among you! At the heart of the Nations, in the vast world of men.

As a result, Christians and the Church of Christ have to join all men where they are, to remain permanently in their midst, in the diversity of their cultures: everyone should stay who he is without changing the sociocultural identity. There is and remains THE mystery by excellence!

At any time, Christ was announced in a language accessible to all. Let's find one that fits today because tradition is continuous innovation, life, movement and being (Acts 17:28). No inadequate formulation but a living language. This is the urgency!

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deutsch


Den anderen Tag, in der Lesung des Evangeliums, fragte ein Doktor des Gesetzes (man könnte heute sagen, ein Doktor  des Glaubens) Jesus: "Was muss ich tun, um das ewige Leben zu gewinnen? "Der wanderer 'böhmische' palästinensische Rabbi, Obdachlose durch Wahl, Jesus hatte den Experten gebracht, um die zwei grundlegenden Gebote des Gesetzes / Glaubens zu rezitieren: Liebe zu Gott und Liebe zum Nächsten.
Die anschließenden Perikopen drücken deren Umfang aus.
Die Parable vom barmherzigen Samariter zeigt die universelle Erweiterung der Liebe des Nächsten, den Empfang von Jesus von Maria und Martha heute und die Anweisungen über das Gebet (unten) zeigen, wie Gott wirklich lieben.

"Kolosser" ist eine der sogenannten Paulus Gefängnis Briefe. Es ist die Bestätigung per Exzellenz des Primats Christi in der Welt als in jedes Leben.
Dieser Text ist ein Meisterwerk der universellen mystischen Literatur. Es ist die Hymne
zu
Christus
Der ganzen Schöpfung Erster-geboren,
Erstgeborener von den Toten
(Col 1: 15-20).

Der Text ist schwer, es ist wahr! Ein Grund mehr, um die Vorteile zu nehmen!
Soweit unsere Zeit neigt dazu, alles zu relativieren und die Kirche Institution gefährden, ist dies eine hervorragende Gelegenheit, um unseren Glauben an die Person Christi zu konzentrieren, jemanden den Paulus leidenschaftlich geliebt hat, selbst nach seiner Verhaftung.

Außerdem ist es der große Sommerurlaub ! Wenn Sie ein großes Haus am Meer oder in die Berge haben, oder Sie kennen gute Freunde, die mit sind, hier ist Ihre Chance Gastfreundschaft zu bieten oder zu empfangen! Hospitality schlägt Gegenseitigkeit. Empfangen oder emfanhn zu werden ist nicht in der gleichen Weise erhalten, da es ein privates Haus oder ein Hotel ist.

In der antiken Welt ist Gastfreundschaft eine grundlegende Tugend; de Reisende ist als Bote der Götter begrüßt. Das Modell ist in dieser Hinsicht Abraham! Er erwartet nicht, gefragt zu werden, und geht auf die Reisenden. Es lädt Sara, seine Frau, ein Fest vorzubereiten : es wird nicht geknausert, um einen Host zu erhalten! Chagalls Abraham steht, die Hände hängen offen und bereit für jeden Bedarf, auch stille, der Drei Reisenden verhindern.

Aber der Punkt des Textes ist die Ankündigung der Geburt Isaaks, des Kindes des Lachens (Gen. 17,17, 21, 6).

Alle Host hat jede Nachricht zu geben:

Austausch von Geschenken! Es ist die Mission!

Das Spiel "Maria gegen Marthea" ist spannend in vielerlei Hinsicht: zunächst ist notwendig, den Unterricht kalt zu berücksichtigen. So viel die eine wie die andere liebt Jesus : am Grab ihres Bruders wid die Demonstration verabreicht. Aber jede liebt ihn, wie sie selbst ist!
Martha kocht, auch / besonders an diesem Tag, weil sie in der Regel tut und / oder  gut dabei ist. Maria kocht nicht, was auch immer die Gründe sind, es besser, sie würde auch enthalten, wenn sie nicht weiss zu tun!
Es gibt keine Eifersucht in der lauten Stimme Marthas, als sie Jesus ruft, zu Maria sagen zu kommen und ihr eine Hand! Es ist, dass Jesus und Maria in einem anderen Raum sein müssen, oder unter der Laube, jedenfalls weit genug aus der Küche, und wenn Mary zu ihre Schwester trat, würde Jesus folgen und die drei sich ziemlich nahe einander zu hören und zu sprechen finden! Dies geschieht normalerweise, wenn die Gastgeberin in der Küche bereitet: jeder dorthin gezogen, vor allem mit Freunden! Die Behauptung ist so natürlich, dass man sich fragt, warum sich der Erzähler nicht gedacht hat!
Deshalb ihre letzte Bemerkung - kalt gesehen -, gegen Jesus umgewandelt werden könnte:
    Jesus: Notwendig ist wenig oder eins. Maria hat den guten Teil ja gewählt, der ihr nicht genommen werden soll. "(Lk 10,42) -
    Marie: OK! Also koche ich nicht und gehen wir zum Chinesischen um die Ecke!

Der Mensch lebt nicht vom Brot allein, es ist wahr! Aber Jesus ist immer auf dem Tisch von anderen eingeladen und hat nie gekocht: Die Eucharistie ist ein "Gericht am besten kalt serviert!"
Was ist zu verstehen? Diese Geschichte ist etwas umständlich, weil sein Sitz im Leben wahrscheinlich in den bestehenden "Diskussionen" in der Gemeinde ist, die Erinnerungen an Lukas (der sammelt) zwischen Aktion und Kontemplation, Gebet und Handarbeit bringt : bis zu dem Punkt, dass Benedikt von Nursia im 5. Jahrhundert die  Regel für seine Mönche nahm:

Ora et Labora = Gebet und Arbeit.

Eins ist notwendig. Jesus hat nicht gesagt was. Er wollte nicht konkret sagen, dass das passive Hören von Maria "besser" als die überquellenden Aktivität von Martha ist. Er sagt, dass Maria hat den guten Teil (oder am besten, je nach Übersetzung) gewählt. Er stellt fest, dass Maria glücklich zu tun, was sie tut, ist, und dass sie nach Martha, die macht zu viel Lärm, nicht murrt. Und Jesus ist für eine kurze Zeit da: Maria hat es erratet und genießt diese einzigartigen Momente. Würden wir es nicht? Alles lassen, um ihn zu treffen! Nichts sagt, dass, wann Jesus verließ, sie sich nicht gleich, wenn nicht mehr aktiv als ihre Schwester zeigt. In Johannes 11 sagen zu Jesus die beiden Schwestern - Martha zunächst, dann Maria, zu der sie zu Jesus kommen ruft -, genau dasselbe: "Herr, wärest du hier gewesen, wäre mein Bruder nicht gestorben. Mit Martha, spricht Jesus von der Auferstehung. Mit Maria in Tränen ist er aufgeregt. Jesus lässt uns sein, wer wir sind, sicherlich nicht Klonen. Er fragt nur, dass wir gerne das Leben, das uns gegeben ist leben. Der guteTeil, der uns nicht weg genommen wird.

Eckhart selbst erhebt Marthas Haltung, die über die bloße Betrachtung gegangen ist. Sie schafft es, ihren Glauben in Aktion, die sich den Ausdruck der Reife hat zu leben. Sie erkannte die Balance zwischen Aktivität und Meditation. Plötzlich bezieht sich ihre Rede auf Jesus nur in der Weiterentwicklung von Maria : die Wörter zu trinken ist ein Schritt, nicht das Ende. Wissen ist notwendig zu handeln. Martha würde auf diese Weise weitergegeben und Maria könnte bald beitreten werden.

Alle Kommentare auf die Überlegenheit des kontemplativen Lebens ¬ ohne die ProtestEN aller Marthas der Geschichte, mit den Sorgen von zu Hause und Kindern, und öfter, professioneller Arbeit belastet, zu hören: null sind die und nichtig!

Wenn die Priorität ist, das Wort Gottes zu hören, wie Jesus sagt, dann muss es zugänglich und hörbar, bedeutend, hilfsreich, zu leben, weder Wortschwall oder Pech sein. Das Getriebe ist eine ernste Angelegenheit, um nicht zu verspielen. Jesus ist nicht mehr da: wir sind sein Mund und seine Worte sind unsere gewoden! Kennen wir sir?

Hg. Vinzenz von Paul sagte den Daughters of Charity:
"Wir dürfen nicht in Bezug auf die Armen zu verzögern. Wenn zum Zeitpunkt Ihres Gebets am Morgen, müssen Sie gehen ein Arzneimittel einnehmen, oh! Geh in Frieden, Gott zu teilen, vereinigen Ihre Gebetsanliegen, die zu Hause oder anderswo ist, und gehen hin ohne Sorgen. "
So verbannen wir sterile Aktivismus und Agitation. Urlaubszeit ist ideal für diese Diskussion, lasst uns es genießen.

Alles in allem ist das Geheimnis, das Paul behauptet, um die Pflicht zu zeigen, die Zentralität Christi nicht nur in seinem Leben, aber im Universum:  des "kosmischen", Christi wie ihn Teilhard de Chardin in der Messe über die ganze Welt feierte.

Christus ist der Gastgeber der Geschichte, und der der Menschen in bestimmter Weise.

Als Paulus Christus unter euch verkündet, hallt e Luke: das Reich Gottes ist unter euch! Im Herzen der Nationen, in der weiten Welt der Menschen.

Als Ergebnis haben die Christen und die Kirche Christi zu allen Menschen, wo sie sind, um dauerhaft in dessen Mitte, in der Vielfalt ihrer Kulturen zu verweilen : jeder sollte bleiben, wer er ist, ohne seine soziokulturelle Identität zu ändern. Es ist und bleibt das Geheimnis per excellenz!

Zu jeder Zeit wurde Christus in einer Sprache für alle zugänglich angekündigt. Finden die, die heute der Tradition passt ist kontinuierliche Innovation, Leben, Bewegung und Sein (Apg 17,28). Keine unzureichende Formulierung, sondern eine lebendige Sprache. Die Dringlichkeit!

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italiano

L'altro giorno, nella lettura del Vangelo, un dottore della legge (si potrebbe dire oggi, un dottore della fede) chiese a Gesù: "Che cosa devo fare per ereditare la vita eterna? "Il viaggiatore palestinese rabbino, senzatetto per scelta, Gesù aveva portato l'esperto di recitare i due comandamenti fondamentali della legge / fede: l'amore di Dio e l'amore del prossimo.
Le pericopi successivi specificano il campo di applicazione.
La parabola del Buon Samaritano illustra l'estensione universale dell'amore del prossimo;
l'accoglienza di Gesù da Maria e Marta  e le istruzioni sulla preghiera (sotto) mostrano come amare veramente Dio.§

"Colossesi" è una delle cosiddette lettere di prigionia di Paolo. È l'affermazione per eccellenza del primato di Cristo nel mondo, come nella ciascuna delle nostre vite.
Questo testo è un capolavoro della letteratura mistica universale. E 'l'inno a

Cristo
Primogenito di tutta la creazione,
Primogenito dei morti
(Col 1, 15-20).

Il testo è difficile, è vero! Un motivo in più per approfittare!
Nella misura in cui il nostro tempo tende a relativizzare tutto e mettere a rischio l'Istituzione Chiesa, questa è un'ottima occasione per mettere a fuoco la nostra fede sulla persona di Cristo, qualcuno che Paul amava appassionatamente, anche dopo il suo arresto.

Inoltre, sono le grande feste dell'estate! Finché si dispone di una grande casa al mare o in montagna, o sai buoni amici che sono con, ecco la tua occasione per offrire o ricevere ospitalità! Infatti, come il latino "hospes", la nostra parola ospite designa sia il ricevente e quello che si riceve. Ospitalità suggerisce reciprocità. Non si riceve e non è ricevuto nello stesso modo, in quanto è una casa privata o in un hotel.

Nel mondo antico, l'ospitalità è una virtù fondamentale, il viaggiarore è accolto come un messaggero degli dei. Il modello in questo senso è Abramo! Lui non si aspetta di essere invitato, e va per i viaggiatori. Invita Sara, sua moglie, per preparare una festa. : Non trascurare di ricevere un ospite! Chagall Abramo è in piedi, le mani appeso aperte, e pronto per impedire ogni esigenza, anche in silenzio, dei tre viaggiatori.

Ma il punto del testo è l'annuncio della nascita di Isacco, il figlio di risate (Gen. 17,17, 21, 6).

Tutto ospite qualsiasi tiene un messaggio da dare:

scambio di doni! E 'la missione!

La partita Marie contro Marta è emozionante per molti aspetti: in un primo momento 'freddo', è necessario prendere in considerazione l'insegnamento. Tanto quanto l'altra ama Gesù :  davanti alla tomba del loro fratello, la dimostrazione sarà somministrata. Ma ciascuna ama, come lei è!
Marta cuochi, anche / soprattutto in questo giorno, perché lei fa di solito e / o fa bene. Maria non cucina, quali che siano i motivi, è meglio che lei avrebbe anche astenersi, se non può farlo!
Non c'è gelosia nel gran voce di Marta, quando chiama Gesù di dire a Maria di venire a dare una mano! È che Gesù e Maria devono essere in un'altra stanza, o sotto il pergolato, comunque abbastanza lontano dalla cucina, e se Maria è unita sua sorella, seguire Gesù, e tutti tre si ritrovano piuttosto vicino l'altro di ascoltare e parlare! Questo avviene normalmente quando la padrona di casa prepara in cucina: tutti vi si trasferì, soprattutto con gli amici! L'affermazione è così naturale che ci si chiede perché il narratore non ha se stesso pensato!
È per questo che la sua osservazione finale, presa ancoa 'freddo', potrebbe essere girata contro Gesù:
Gesù: Non è necessario che poco o unoo. Maria ha infatti scelto la buona parte che non le sarà tolta. »(Lc 10,42) -
Marie: OK! Quindi io non cucino e scendiamo dal cinese all'angolo!

L'uomo non vive di solo pane, è vero! Ma Gesù è sempre invitato al tavolo degli altri e ha mai cucinato: l'Eucaristia è "un piatto che va servito freddo!"
Che cosa comprende? È che questa storia è un po 'scomoda' perché il suo Sitz im Leben posse essere a ricercate nelle "discussioni" esistente nella comunità che porta ricordi a Luca (che raccoglie) tra azione e contemplazione, la preghiera e il lavoro manuale : al punto che Benedetto da Norcia prendera nel 5 ° secolo come una regola per i suoi monaci:

Ora et labora = preghiera e lavoro.

Una cosa è necessaria. Gesù non ha detto quello. Egli non ha detto espressamente che l'ascolto passivo di Maria è "migliore" rispetto all'attività traboccante di Marta. Egli dice che Maria ha scelto la parte buona (o meglia, a seconda della traduzione). Egli ha osservato che Maria è felice di fare quello che fa, lei non brontola dopo Marta chi fa troppo rumore. E Gesù è lì per un breve periodo di tempo, Maria indovinato, si gode questi momenti unici. Non dovremmo farlo? Mollare tutto per incontrarlo! Nulla dice che quando Gesù lasciò, lei non mostra altrettanto, se non più attivo di sua sorella. In Giovanni 11, le due sorelle, Marta, poi a Maria che ha chiesto di venire a Gesù, dire esattamente la stessa cosa: Signore, se tu fossi stato qui, mio ​​fratello non sarebbe morto. Con Marta, Gesù parla della risurrezione. Con Maria in lacrime, lui è sconvolto. Gesù ci permette di essere chi siamo, e non siamo certamente cloni. Chiede solo che siamo felici di vivere la vita che ci è data. La parte buona è che ci non sarà tolto.

Eckhart esalta anche l'atteggiamento Marta chi  è andata oltre la semplice contemplazione. Lei riesce a vivere la sua fede in azione che è diventata l'espressione della maturità. Ha realizzato l'equilibrio tra l'attività e la meditazione. Improvvisamente, il suo discorso si riferisce solo a Gesù nel progresso di Maria : bere le parole è un passo, non un fine. La conoscenza è necessaria per l'azione. Marta sarebbe passata in quel modo e Maria potrebbe presto unirsi.

Tutti i commenti sulla superiorità della vita contemplativa ¬ senza sentire ¬ le proteste di tutte le Marta della storia, gravate con le preoccupazioni della casa e dei figli, e più spesso, del lavoro professionale: sono pare a zero e vuote!

Se la priorità è quella di ascoltare la Parola di Dio, come dice Gesù, allora deve essere accessibile e acustica, vuole dire qualcosa, aiuta a vivere, non è né verbosità o pece. La trasmissione è una cosa seria, non
banalizzare. Gesù non è più lì: noi siamo la sua bocca e le sue parole sono diventati le ​​nostre! Ci conosciamo?

San Vincenzo de Paoli ha detto alle Figlie della Carità:
"Non dobbiamo ritardare nel servicio ai poveri. Se al momento della vostra preghiera del mattino, si deve andare prendere una medicina, oh! Va 'in pace, offrendo a condividere il vostro Dio, unire la vostra intenzione di preghiera a casa o altrove, e si va in senza preoccupazione ".
Così bandire attivismo sterile e agitazione. Il tempo delle vacanze è ideale per questa discussione, cerchiamo di godere.

Tutto sommato, il mistero che Paolo afferma di avere l'onere di dimostrare è la centralità di Cristo non solo nella sua vita, ma nell'universo: Cristo "cosmico", come Teilhard de Chardin ha definito nella Santa Messa celebrata sul tutto il mondo.

Cristo è l'ospite della Storia, e degli uomini in particolare

Quando Paolo annuncia Cristo in mezzo a voi, fa eco a Luca: il Regno di Dio è in mezzo a voi! Al centro delle Nazioni, nel vasto mondo degli uomini.

Di conseguenza, i cristiani e la Chiesa di Cristo devono aderire tutti gli uomini dove sono, e rimanere permanentemente in mezzo a loro, nella diversità delle loro culture: tutti dovrebbero stare lo che sono, senza cambiare la loro identità socio-culturale. Non vi è e rimane il mistero per eccellenza!

In qualsiasi momento, Cristo è stato annunciato in un linguaggio accessibile a tutti. Trovare uno che si adatta oggi, perché la tradizione è l'innovazione continua, la vita, il movimento e l'essere (Atti 17:28). No formulazione inadeguata, ma una lingua viva. Che urgenza!

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espanol

El otro dia, en la lectura del Evangelio, un doctor de la ley (se podría decir que hoy en día un médico de la fe) le preguntó a Jesús: "¿Qué he de hacer para heredar la vida eterna? "El rabino itinerante bohemio palestino, sin hogar por voluntad propia, Jesús, había traído el experto a recitar los dos mandamientos fundamentales de la Ley / fe: el amor a Dios y el amor al prójimo.
Las perícopas siguientes especifican el alcance.
La parábola del Buen Samaritano ilustra la extensión universal del amor al prójimo, la recepción de Jesús por María y Marta y las instrucciones sobre la oración (abajo) muestran cómo verdaderamente amar a Dios.

"Colosenses" es una de las llamadas cartas de prisión de Pablo. Es la afirmación de la excelencia del  primate de Cristo en el mundo,  como en cada una de nuestras vidas.
Este texto es una obra maestra de la literatura mística universal. Es el himno a
Cristo
Primogénito de toda la creación,
Primogénito de entre los muertos
(Col 1, 15-20).

El texto es difícil, es cierto! Razón de más para aprovechar!
En la medida en que nuestro tiempo tiende a relativizar todo y poner en peligro la institución de la Iglesia, esta es una excelente oportunidad para centrar nuestra fe en la persona de Cristo, alguien Pablo amaba apasionadamente, incluso después de su detención.

Además, son las vacaciones, la gran fiesta del verano! Siempre y cuando usted tiene una casa grande al mar oa las montañas, o conoce a buenos amigos que están con, aquí está tu oportunidad de ofrecer o recibir hospitalidad! De hecho, como el latino hospes, nuestra palabra Hospitalidad designa tanto la recepción y la que se recibe. Hospitalidad sugiere reciprocidad. No se esta recibido, e no se recibió de la misma manera, ya que es una casa particular o en un hotel.

En el mundo antiguo, la hospitalidad es una virtud fundamental, el pasajero siendo recibido como un mensajero de los dioses. El modelo en este sentido es Abraham! Él no espera que se le pregunte, y se dirige a los viajeros. Se invita a Sara, su esposa, para preparar una fiesta. : No escatiman a recibir una gran cantidad! Chagall Abraham está de pie, con las manos colgando abierta y lista para evitar cualquier necesidad, incluso en silencio, de los tres viajeros.

Pero el punto de este texto es el anuncio del nacimiento de Isaac, el hijo de la risa (Génesis 17,17, 21, 6).

Todos anfitrión tiene cualquier mensaje que dar:

intercambio de regalos! Es la misión!

El juego entre Maria y Marta es interesante en muchos aspectos: al principio "frío", es necesario tener en cuenta la enseñanza. Las dos aman mucho a Jesús : en la tumba de su hermano, la manifestación que se administrará. Pero cada uno ama, como es!
Marta cocina, incluso / especialmente en este día, porque se suele hacer y / o se hace bien. María no cocina, cualesquiera que sean las razones, es mejor que ella también se abstendría, si no se puede hacer!
No hay celos en la gran voz de Marta, cuando se llama a Jesús para decirle a María que venir y darle una mano! Es que Jesús y María tienen que estar en otra habitación, o bajo el emparrado, de todas formas suficientemente lejos de la cocina, y si María se unió a su hermana, seguir a Jesús, y los tres se encuentran bastante cerca el otro a poder oír y hablar! Esto se hace normalmente cuando la anfitriona se prepara en la cocina: todo el mundo se trasladó allí, sobre todo con los amigos! La demanda es tan natural que uno se pregunta por qué el narrador no se penso a sí mismo!
Por eso su última observación, tomada demasiado "frío", podría volverse en contra de Jesús:
Jesús: No hay necesidad de que poco o uno, María, en efecto ha escogido la buena parte, la cual no le será quitada. »(Lc 10,42) -
Maria: OK! Así que yo no cocino y pasamos abajo a lo chino comer!

El hombre no vive sólo de pan, es verdad! Pero Jesús siempre está invitado a la mesa de los demás y nunca ha cocinado: la Eucaristía es un "plato que se sirve frío!"
¿Qué incluye? Es que esta historia es un poco incómoda porque su Sitz im Leben es probable que busquen en las "discusiones" existentes en la comunidad que trae recuerdos a Lucas (que recoge) entre la acción y la contemplación, la oración y el trabajo manual : hasta el punto de que Benito de Nursia tome en el siglo quinto como una regla para sus monjes:

Ora et Labora = oración y trabajo.

Una cosa es necesaria. Jesús no dijo ¿cuál?. Él no dijo específicamente que es la escucha pasiva de María, que es "mejor" que la actividad desbordante de Martha. Él dice que María ha elegido la parte buena (o mejor, dependiendo de la traducción). Señaló que María es feliz de hacer lo que ella hace, ella no quejarse después Marta que hace demasiado ruido. Y Jesús está allí por un corto tiempo, Maria supuso, disfruta de esos momentos únicos. ¿Acaso no lo hacemos? Dejar todo a su encuentro! Nada dice que cuando Jesús se fue, ella no muestra tanto o más activa que su hermana. En Juan 11, las dos hermanas, Marta primero, y luego María que ella pidió que viniera a Jesús dicen exactamente lo mismo: Señor, si hubieras estado aquí, mi hermano no habría muerto. Con Marta, Jesús habla de la resurrección. Con María en lágrimas, se siente mal. Jesús nos hace ser lo que somos, ciertamente no clones. Él sólo pide que estamos felices de vivir la vida que nos ha sida dada. La parte buena es que se le no quitará.

Eckhart incluso exalta la actitud Martha quien ha ido más allá de la mera contemplación. Se las arregla para vivir su fe en la acción que se ha convertido en la expresión de la madurez. Se dio cuenta el equilibrio entre la actividad y la meditación. De repente, su expresión sólo se refiere a Jesús en el avance de María : tomar las palabras es un paso, no un fin. El conocimiento es necesario para la acción. Marta se pasó por allí y Maria pronto podría unirse.

Todos los comentarios sobre la superioridad de la vida contemplativa ¬ sin oír a las protesta de todas las Marta de historia, cargadas de los cuidados de la casa y los niños, y más a menudo, de el trabajo profesional: son cero y sin valor!

Si la prioridad es escuchar la Palabra de Dios, como dice Jesús, entonces debe ser accesible y audible, decir algo, ayudar a vivir, e no ser ni palabrería o tono. La transmisión es una cosa seria a no trivializar. Jesús ya no está ahí: estamos su boca y sus palabras han venido a ser nuestras! Las conocemos?

San Vicente de Paul dijo a las Hijas de la Caridad:
"No debemos demorar en el servicio a los pobres. Si en el momento de la oración de la mañana, tiene que ir a tomar un medicamento, oh! Id en paz, ofreciendo compartir tu Dios, unir tu intención de oración que está en casa o en otro lugar, y que vaya en sin preocupación ".
Así que desterrar el activismo y la agitación estéril. Tiempo de vacaciones es ideal para este debate, vamos a disfrutar de ello.

Con todo, el misterio que Pablo dice que tiene la carga de demostrar es la centralidad de Cristo, no sólo en su vida, pero en el universo: Cristo "cósmico", como Teilhard de Chardin tiene Misa celebrada sul mundo.

Cristo es el anfitrión de la Historia, y de los hombres, en particular,

Cuando Pablo anuncia a Cristo entre vosotros, que se hace eco de Lucas: el Reino de Dios está entre vosotros! En el corazón de las Naciones, en el vasto mundo de los hombres.

Como resultado, los cristianos y la Iglesia de Cristo tienen que unirse a todos los hombres donde deben permanecer permanentemente en medio de ellos, en la diversidad de sus culturas: todo el mundo debe permanecer que es sin cambiar la identidad sociocultural. Alli es y sigue siendo el misterio por excelencia!

En cualquier momento, Cristo fue anunciado en un lenguaje accesible a todos. Encontrar uno que se adapte a día de hoy, porque la tradición es la innovación continua, la vida, el movimiento y el ser (Hechos 17:28). No es un lenguaje inapropiado, pero una lengua viva. Esa urgencia!



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