dimanche 28 juillet 2013

COMME UN AIGUILLON…



4  août 2013
COMME UN AIGUILLON…
18ème dimanche du Temps ordinaire Année C

Textes :
  • Qo 1,2 ; 2, 21-23
  • Ps 89
  • Col 3, 1-5.9-11
  • Lc 12, 13-21


Rien ne tient ! Tout s’évapore ! Tout est vanité ! Tel est le refrain décapant de ce sage moderne qui, sous le couvert de Salomon, invite à prendre un recul salutaire par rapport aux idées reçues, au « politiquement et religieusement correct »[1]. Le mot hébreu hébel - traduit par vanité  -, signifie fumée, vapeur, buée et par suite néant, absurdité : J'ai vu tout ce qu’on peut faire sous le soleil, mais en fait, tout est vanité et poursuite du vent (Qo 1,14).

Y a-t-il plus post moderne que cette réflexion désabusée ? D'ordinaire les auteurs bibliques, sans nier la peine liée au travail (Gn 3, 19), y voient la tâche normale de l'homme. De même la réussite dans le tra­vail est signe de la bénédiction divine (Dt 14,29 ; 16,15 ; Ps 128,2). Le Siracide (autre auteur biblique)  fait l'éloge des paysans et des artisans (Si 38, 25-32), même s'il juge supérieure la condition du sage (Si 38, 33-39, 11). La paresse est vivement dénoncée (Pr 13, 4). Pour un temps notre Salomon put se réjouir de ses réussites (Qo 2,4-10), puis vint l'amère conclusion : Tout cela est vanité et poursuite de vent, et on n'en a aucun profit sous le soleil  (Qo 2, 11).

Vraiment tous ces aphorismes et apophtegmes, toute cette sombre sagesse et ces banderilles philosophiques agissent comme  un aiguillon (Qo 12, 11) qui empêche de rester enlisé dans le bourbier commun et provoque un sursaut salutaire. Les familiers d’Emil Cioran[2] ne peuvent que se souvenir de son Précis de décomposition !
Qu’aurait répliqué notre observateur au slogan politique Travailler plus pour gagner plus ! Un triste motto de circonstance utilisé pour légitimer le travail dominical, par exemple, sans tenir compte des besoins de liberté, de spiritualité et de silence, tant de la famille que de la société. Face à l'exaltation et à l’exploitation sans bornes du citoyen producteur et consomma­teur, les réflexions de notre Kierkegaard[3]  hellénistique restent bien d'actualité.
Malheureusement !
Il doit bien y avoir – c’est ce à quoi nous ouvre notre Salomon -, une autre manière d'envisager la destinée de l'homme et par-là même d'accueillir la parole neuve que délivre le phénomène Jésus !

Alors : amasser pour soi ou pour Dieu ?

Luc est le seul des quatre Évangélistes à nous avoir conservé la démarche de ce cadet demandant à Jésus d'intervenir pour un partage. Luc s'intéresse beaucoup aux problèmes de la pauvreté et de la richesse. L’argent même, c’est plutôt l’un des thèmes préférés de Matthieu. Par exemple, à ses disciples, Jésus demande un renoncement radical (12, 33 s ; 14, 33), mais Zachée, après avoir restitué au quadruple ses malversations et donné la moitié de ses biens aux pauvres, garde son emploi de publicain (19, 1-10). La communauté des biens dans l'Église a toujours reposé sur le volontariat (Ac 5,4) et n'a jamais été que relative. La situation devint rapidement critique, et Paul – dont Luc fut le compagnon -, s'emploiera à récolter des fonds pour les pauvres de Jérusalem, la fameuse collecte

A l’image de ce qu’on lui a rapporté de Jésus– car Paul n’a lui-même de renseignement que de seconde main -, il ne nous livre rien de systématique mais, à la suite de ce Maître à vivre qu’est l’Homme de Nazareth, il entend surtout faire réfléchir sur le juste emploi des biens nécessaires à la vie.  Alors que le cadet voudrait obtenir de Jésus une sentence d'arbitrage contre son aîné qui se refuse à une division du domaine paternel, Jésus semble se désintéresser de cette question de justice ordinaire. Il déplace la question, il invite à une réflexion sur les dis­positions intérieures de ses disciples, sur leurs projets de vie, sur leurs attentes légitimes. Comme le mon­tre la parabole qui suit, ce qui est condamné, c'est l'avidité insatiable : toujours plus !

Toujours la même chose : amasser pour qui, pour quoi ?

Le grand propriétaire qui a fait de belles récol­tes pourrait, du point de vue économique, penser à investir et contribuer au dévelop­pement général. Mais c'est pour lui, et lui seul, qu'il décide de construire de nouveaux greniers, afin de mener une vie encore plus agréable. Et puis, voilà qu’à tous  ses beaux calculs, survient une mort soudaine : adieu veau, vache, cochon, poulet!

Qu'est-ce qui est prioritaire dans notre vie ? Qu'est-ce qui nous fait agir, courir, vibrer ? Pour quelles valeurs sommes-nous prêts à nous don­ner à fond ? Bien sûr : les conclusions à tirer différeront selon chacun, sa situation personnelle et sociale. Mais à tous s'impose de répondre de la destination de ses biens et richesses.

Les mondes peuvent-ils communiquer ?

Que veut dire travailler en vue de Dieu, sinon justement tout faire pour établir des relations, favoriser les échanges, permettre à chacun d'obtenir le minimum vital ? Jérémie n’a fait que répéter cela au cours de sa vie mouvementée par les malheurs de son temps : La religion pure et sans tache devant Dieu le Père, la voici : visiter les orphelins, et les veuves dans leur détresse ; se garder du monde pour ne pas se souiller (Je 1, 27).

Il s’agit bien de tendre vers les réalités d'en haut ! Tendre, autant qu’il est objectivement et matériellement possible. Nous avons tout reçu en germe. Être réaliste à la Saint Paul, c’est faire passer dans la réalité ce que le baptême a déposé en chaque chrétien. C’est pourquoi, parmi les vices dénoncés, la soif désordonnée du toujours plus est une authentique idolâtrie, à savoir le culte de Mammon, déjà stigmatisé par Jésus (Mt 6, 24).

À la recherche insatiable du pour soi, s'oppose la réalité du baptême – mais qui l’explique et qui la prend au sérieux au point d’y conformer sa vie ? -, réalité censée nous faire adopter la vie même du Christ Jésus pour qui il n'y ait plus de Grec et de Juif, d'Israélite et de païen, d'esclave et  d'homme libre... . pour qui il n’y ait plus de français et d’arabe, de juif et d’africain, d’indifférents et d’athées…il n’y ait plus de riches et de pauvres, d’heureux et de malheureux, de repus et d’affamés… ???

Le christianisme bien tempéré n'est lié à aucune culture : c’est pécher contre l’Esprit que de ne pas en tenir compte pour lancer la renaissance de l’Église !
La mondialisation est là, quelle chance pour proclamer le Christ jusqu’aux extrémités de la terre ! Commençons par être une lampe bien en évidence pour éclairer autour de nous. Tant mieux si les ombres se dissipent plus loin, mais nous ne pouvons que diffuser la lumière de l’Esprit. Ne l’éteignons pas (1 Th 5,19).
La suprématie totale du Christ, pour laquelle toute l'épître aux Colossiens plaide avec force, n'est donc pas sans conséquences apostoliques peut-être, mais aussi politiques ! Oui comment  vivre avec, comment se faire tout à tous, pour en gagner le plus grand nombre  (I Co 9,19-23).
L’amour du Christ- qui surpasse toute connaissance (Ep 3,19) –a illuminé tous ceux qui, au long des jours et des siècles, se sont efforcés d'en vivre….A travers eux, le Christ a resplendi vers nous. Si nos corps de chair ne se sentent toujours pas promis à suivre le modèle du corps glorieux du Christ (Ph 3,21), faut il en blâmer les témoins ou notre propre négligence ?

Il est facile d’accuser ceux qui ont transmis le flambeau de l’avoir terni ou d’en avoir réfléchi quelque étincelle pour scintiller un bref instant. C’est être de mauvaise foi. Jésus s’adresse à nous directement, comme au premier jour, la bonne nouvelle est toujours nouvelle, toujours bonne, simple et limpide. Nous le savons bien. Ne fuyons pas la Vérité. Ayons le courage de la foi.

Qu’attendons-nous, puisque être chrétien, c’est suivre le Christ ?

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english

Nothing is! All evaporates! All is vanity! This is the cleaner chorus of this modern sage who, under the guise of Solomon invited to take a welcome retreat from the ideas, the "politically and religiously correct." The Hebrew word 'Hébel' - translated by vanity - means smoke, steam, fog and consequently nothing, nonsense, I saw everything that can be done under the sun, but in fact, all is vanity and vexation of spirit ( Ecc 1:14).

Is there more postmodern than this cynical thinking? Usually the biblical authors, without denying the trouble related to work (Gen. 3, 19), see it as normal task of man. Success in work  is even a sign of divine blessing (Deuteronomy 14.29; 16.15, Ps 128.2). Sirach (other biblical author) praised the peasants and artisans (Si 38, 25-32), although higher judges the condition of the wise (Si 38, 33-39, 11). Laziness is strongly condemned (Proverbs 13: 4). For a time our Solomon could rejoice in his successes (Qo 2.4 to 10), then came the bitter conclusion that all is vanity and chase of wind, and we did no profit under the sun (Qo 2 , 11).

Really all these aphorisms and apophthegms, all this wisdom, and these dark philosophical banderillas act as a spur (Q 12, 11) which prevents remain stuck in the mire common and causes a healthy start. Familiars of Emil Cioran can only remember his 'Book of Decay'!
What would an observer have replicated to our political slogan Work more to earn more! A sad motto of circumstances used to justify Sunday work, for example, without taking into account the needs of freedom, spirituality and silence, both of the family and society. Faced with the boundless exaltation and exploitation of the citizen producer and consumer, the thoughts of our Hellenistic Kierkegaard remain much news.
Unfortunately!
There must have - it's what our Solomon opened us to - another way to consider the destiny of man and thereby able to accommodate the new word that delivers the phenomenon Jesus!

Then: raise for oneself self or for God?

Luke is the only one of the four Evangelists who have retained the approach of the younger asking Jesus to intervene for a sharing issue. Luke is very interested in issues of poverty and wealth. The money itself, it is rather one of the favorite themes of Matthew. For example, from his disciples, Jesus asks a radical renunciation (12, s 33, 14, 33), but Zacchaeus, having returned to quadruple its wrongdoing and given half of his possessions to the poor, keeps his job as a publican (19 , 1-10). The community of goods in the Church has always rested on volunteering (Acts 5:4) and has ever been relative. The situation quickly became critical, and Paul - whose Luke was the companion - will seek to raise funds for the poor of Jerusalem, the famous collection!

Just like what he was reported of Jesus, Paul did have himself a second-hand intelligence of him - and gives us nothing systematic, but after this Master to live that the Man of Nazareth is, he means primarily to hink about the correct use of the goods necessary for life. While the younger would get from Jesus an arbitration against his elder who refuses a division of his father's estate, Jesus seems to ignore the issue of ordinary justice. He moves the issue, he invites reflection on  - say - inner positions of his disciples, their life projects, their legitimate expectations. As the following parable illustrates, whar is condemned is the insatiable greed: more!

Always the same: to raise to whom, for what?

The great owner who makes beautiful  harvests could from the economic point of view, think about investing and contributing to the general development. But it is for him and him alone, he decided to build new barns to conduct a more enjoyable life. And in the middle of all those beautiful calculations of his, sudden death occurs: farewell calf, cow, pig, chicken!

What is a priority in our lives? What makes us act, run, vibrate? For what values ​​are we ready for thoroughly devoting? Of course: drawing conclusions differ according to each along with his personal and social circumstances. But to all is needed to meet the destination of his property and wealth.
Can worlds communicate?

What does working for God mean, but just do everything to build relationships, promote trade, allowing everyone to get a living wage? Jeremiah has been repeating it during his eventful life by the misfortunes of his time. Pure and undefiled religion before God and the Father is this: to visit orphans and widows in their distress, to keep away from the world in order not to defile oneself (I 1, 27).

It is good to strive for the things above! Strive, as much as it is objectively and materially possible. All of us received seeds. Being realistic in Saint Paul's way is getting into the reality what baptism filed in every Christian. That is why, among the defects reported, the disorderly thirst for "ever more" is a true idolatry, namely the worship of Mammon, already branded by Jesus (Mt 6, 24).

At the insatiable search for oneself, opposes the reality of baptism - but who explains and takes it seriously to the point of conforming his life to it? - We really are supposed to lead the same life of Christ Jesus' : for him there is no Greek and Jew, no Jew and Gentile, no slave and free man ... for him there is no more French and Arabic, Jewish and African, indifferent and atheists ... there are no more rich and poor, happy and unhappy, of satiated and hungry? ...?

The Well-Tempered Christianity is not the prisoner of any culture! It is a sin against the Spirit not to take it into account to start the rebirth of the Church!
Globalization is here: how lucky to proclaim Christ to the ends of the earth! Begin by being a lamp to illuminate prominently around us. Better if the shadows vanish away, but we can only spread the light of the Spirit. Do not extinguish it (1 Thessalonians 5:19).
The total supremacy of Christ, for which all the Colossians Letter argues forcefully, is not without consequences apostolic perhaps, but also political! Yes how to live, how to adapt everything for everyone, to win as many as possible (I Cor 9.19 to 23)?
The love of Christ which surpasses all knowledge (Eph 3:19) illuminated throughout the day and for centuries all those who have tried to live of it .... Through them Christ shone to us . If our body of flesh do not feel yet not promised to follow the model of the glorious body of Christ (Philippians 3:21), one must blame the witnesses or our own negligence?

It is easy to blame those who have passed the torch of tarnishing or having reflected some spark to flicker briefly. It is in bad faith. Jesus speaks to us directly, like the first day, the good news is always new, always good, simple and clear. We know that. Do not run away from the truth. Have the courage of faith.

What are we waiting for, since, as a Christian, we are to follow Christ?

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deutsch

Nichts ist! Alle verdunstet! Alles ist eitel! Dies ist der Reinigungschor dieses modernen Weisen, der, unter dem Deckmantel des Salomos, und einen willkommenen Rückzugsort von den Ideen, zu "politisch und religiös korrekten", zu suchen einladet. Das hebräische Wort Hébel - durch Eitelkeit übersetzt - bedeutet Rauch, Dampf, Nebel und folglich nichts, Unsinn: ich sah alles, was unter der Sonne getan werden kann, aber in der Tat, war es alles eitel und Haschen nach Wind ( Ecc 1,14).

Gibt es mehr postmodernes als dieses zynische Denken? Normalerweise sehen die biblischen Autoren, ohne die Probleme im Zusammenhang mit der Arbeit (Gen. 3, 19) zu leugnen, sie als die normale Aufgabe des Menschen. Der Erfolg in der Arbeit ist eben ein Zeichen des göttlichen Segens (Deuteronomium 14,29; 16.15, Ps 128,2). Sirach (andere biblische Autor) lobte die Bauern und Handwerker (Si 38, 25-32), obwohl er die Bedingung der Weisen (Si 38, 33-39, 11). höher richtete. Faulheit wird scharf verurteilt (Sprüche 13: 4). Für eine gewisse Zeit durfte unsere Solomon in seiner Erfolge freuen (Qo 2,4-10), dann kam die bittere Schlussfolgerung, dass alles eitel und Haschen nach Wind ist, und wir keinen Gewinn unter der Sonne (Qo 2 , 11) haben.

Wirklich fungieren alle diese Aphorismen und Apophthegmen, all diese Weisheit, und diese dunklen philosophischen Banderillas als Sporne (Q 12, 11), die uns im Schlamm gemeinsame stecken bleiben verhindert und einen gesunden Start bewirken. Emil Ciorans Familiäre können nur an sein 'Buch der
Bestechung' erinnern.
!
Was hätte ein Beobachter zu unserem politischen Slogan "mehr arbeiten, um mehr zu verdienen" repliziert? Eine traurige umständliche Devise zur Rechtfertigung der Sonntagsarbeit, zum Beispiel, ohne Berücksichtigung der Bedürfnisse der Freiheit, Spiritualität und Stille, sowohl der Familie und Gesellschaft. Konfrontiert mit der grenzenlosen Erhebung und Nutzung des Bürgers, Produzents und Verbrauchers bleibet das Bedenken unseres hellenistischen Kierkegaards viel Neues.
Leider!

Es muss - es ist das, zu dem uns unser Solomon eröffnet - einen weiteren Weg, um das Schicksal des Menschen zu betrachten und dadurch in der Lage zu sein, das neue Wort, das das Phänomen Jesus liefert unterzubringen!

Dann: für sich selbst oder für Gott zu erheben?

Lukas ist der einzige der vier Evangelisten
der uns den Ansatz dieses Jungen? der Jesus fragt, für die Freigabe eingreifen, bewahrt zu haben. Lukas ist an Fragen von Armut und Reichtum sehr interessiert. Was aber das Geld selbst betrifft, ist es eines der beliebtesten Themen des Matthäus. Zum Beispiel, von seinen seinen Jüngern verlangt Jesus eine radikale Abkehr (12, s 33, 14, 33), aber Zachäus, nachdem e zu vervierfachen Fehlverhalten und die Hälfte seines Besitzes den Armen zurückgab, hält seinen Job als Zöllner (19 , 1-10). Die Gütergemeinschaft in der Kirche hat stets immer auf Freiwilligkeit ausgeruht (Apostelgeschichte 5,4) und ist noch nie anders gewesen. Die Situation wurde schnell kritisch und Paulus - dessen Lukas der Begleiter war - wird versuchen, Mittel für die Armen in Jerusalem zu erhöhen, die berühmte Sammlung

Genau wie das, was er über Jesus berichtet wurde - Paulus hatte ja nur eine zweiterhand Intelligenz von ihm -, gibt er uns nichts systematisches wieder; aber genauso wie dieser Meister zu leben, der der Mann aus Nazareth ist, bedeutet er vor allem auf die korrekte Verwendung der Waren notwendig für das Leben reflektieren. Während der Junge  Jesus zu einem Schiedsspruch gegen seinen Ältesten, der eine Teilung des väterlichen Anwesen weigert, bekommen würde. Jesus scheint  um das Problem der gewöhnlichen Gerechtigkeit ignorieren. Er bewegt die Frage, lädt zur Reflexion über - sagen wir ¬ die inneren Positionen seiner Jünger, ihre Lebensprojekte, ihre legitimen Erwartungen. Mehr: Wie die folgende Gleichnis es zeigt -, was verdammt ist, ist die unersättliche Gier!

Immer das gleiche: für wen
Geld zu sammeln, für was?

Der große Eigentümer, der schön geerntete, könnte, vom wirtschaftlichen Gesichtspunkt, über die Investition und den Beitrag zur allgemeinen Entwicklung denken. Aber es ist für ihn und ihn allein, dass er  entschied, neue Ställe zu bauen, um ein noch angenehmeres Leben zu führen. Und nach all seinen Plänen tritt plötzlicher Tod : Abschied von Kalb, Kuh, Schwein, Huhn!

Was ist eine Priorität in unserem Leben? Was macht uns zu handeln, laufen, vibrieren? Für welche Werte sind wir bereit uns gründlich hinzugeben?
Natürlich unterscheiden sich die Schlussfolgerungen je nach jeweils seinen persönlichen und sozialen Umständen. Aber es ist notwendig das Ziel seines Eigentums und Reichtums zu erfüllen.

Können die Welten  kommunizieren?

Was heißt, "für Gott arbeiten", wenn nicht nur alles tun, um Beziehungen aufzubauen, den Handel zu fördern, so dass jeder einen existenzsichernden Lohn zu bekommen? Jeremiah wiederholte es während seines von dem Unglück seiner Zeit bewegten Lebens: Der reine und makellose Dienst vor Gott dem Vater ist der: die Waisen und Witwen in ihrer Bedrängnis zu besuchen, und sich von der Welt zu halten, um uns selbst nicht zu verunreinigen (I 1, 27).

Es ist gut, für das, was oben ist streben! Streben, so wie es objektiv und materiell möglich ist. All haben wir die Samen bekommen. Realistisch zu sein im sinne Paulus wird das, was die Taufe in jedem Christ eingereicht, in der Realität immer einzusetzen. Deshalb ist unter den berichteten Vizen ist der unordentliche "Durst nach immer mehr" ein wahrer Götzendienst, nämlich die Anbetung des Mammon, die bereits von Jesus (Mt 6, 24) gebrandmarkt.

An der unersättlichen Suche nach sich selbst opponiert die Wirklichkeit der Taufe - aber wer erklärt und nimmt sie ernst genug, um seine Leben darauf zu entsprechen? - eine Realität dafür gedacht, das gleiche Leben von Jesus Christus wirklich anzunehmen, damit es keine Griechen oder Juden, Juden und Heiden, Sklaven und freien Menschen gibt ... . damit es  nicht mehr Franzosen und Araber, Juden und damit Afrikaner,
Indifferenten und Atheisten ..., nicht mehr arme und reiche, glückliche und unglückliche,  sättige und hungrige ...?

Das Wohltemperierte Christentum ist nicht auf eine Kultur verbunden : es ist gegen den Geist zu sündigen, dies nicht in Betracht zu ziehen, um die Wiedergeburt der Kirche zu beginnen!
Die Globalisierung ist hier : ein Glück, um Christus bis an die Enden der Erde zu verkünden! Beginnen Sie, indem sie eine prominente Lampe sind, um uns herum zu beleuchten. Besser, wenn die Schatten vergehen, aber wir können nur das Licht des Heiligen Geistes verteilen. Nicht löschen (1. Thessalonicher 5,19).
Die gesamte Vorherrschaft Christi, wofür der ganze Kolosserbrief mit Nachdruck argumentiert, bleibt nicht ohne apostolische vielleicht, aber auch politische Folgen  zu haben! Ja, wie kann man mitleben, wie kann man alles tun, um sich an alle anzupassen und so viele wie möglich (I Kor 9,19-23) zu gewinnen.
Die Liebe Christi - die alle Erkenntnis übersteigt (vgl. Eph 3,19) -, beleuchtete alle, die im Laufe der Tage und Jahrhunderte versucht haben, davon zu leben .... Durch sie erleuchtete uns Christus. Wenn sich unser Fleischkörper dem versprochenen Modell des glorreichen Leibes Christi (Philipper 3,21)  noch nicht fühlt zu folgen, mussten die Zeugen schuldig sein oder unsere eigene Fahrlässigkeit?
Es ist einfach diejenigen, die die Fackel des Anlaufens bestanden oder einige Funken zu einem kurzen Flackern gehalten haben, zu verschuldigen. Es ist in böser Absicht. Jesus spricht zu uns direkt, wie am ersten Tag, und die gute Nachricht ist immer neu, immer gut, einfach und klar. Wir wissen es. Laufen nicht weg von der Wahrheit. Haben den Mut des Glaubens.

Worauf warten wir : ein Christ ist, Christus zu folgen, nicht?

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italiano

Nulla è! Tutto evapora! Tutto è vanità! Questo è il ritornello più perlustrando di questo moderno saggio che, con il pretesto di Salomone, invita a prendere un accogliente rifugio dalle idee, e del "politicamente e religiosamente corretto". La parola ebraica Hébel - tradotta da vanità - significa fumo, vapore, nebbia e quindi nulla : una sciocchezza, ho visto tutto quello che può essere fatto sotto il sole, ma in realtà, tutto è vanità, e perseguimento del vento ( Ecc. 1:14).

C'è più postmoderno di questo pensiero cinico?
E persino gli autori biblici, senza negare il disturbo legato al lavoro (Gen. 3, 19), lo vedono come compito normale dell'uomo. Lo successo stesso nel lavoro  è un segno della benedizione divina (Deuteronomio 14,29; 16.15, Sal 128,2). Siracide (altro autore biblico) ha elogiato i contadini e gli artigiani (Si 38, 25-32), anche se giudica superiore la condizione del saggio (Si 38, 33-39, 11). La pigrizia è fortemente condannata (Proverbi 13: 4). Per una volta il nostro Salomone poteva gioire per i suoi successi (Qo 2,4-10), poi è arrivata la conclusione amara che tutto è vanità e un inseguire il vento, e abbiamo fatto alcun profitto sotto il sole (Qo 2 , 11).

Davvero tutti questi aforismi e apophthegms, tutta questa oscura sapienza e questi banderillas filosofici agiscono come uno sperone (Q 12, 11), che impedisce rimanere bloccati nel fango comune e provoca un inizio sano. I familiari di Emil Cioran pussono ricordare solo il suo 'Libro della
decomposizione'!
Che avrebbe replicato un osservatore al nostro slogan politico : lavorare di più per guadagnare di più! Un triste motto di circostanze utilizzato per giustificare il lavoro domenicale, per esempio, senza tener conto delle esigenze di libertà, di spiritualità e di silenzio, sia della famiglia e della società. Di fronte alla esaltazione e al sfruttamento senza limiti del cittadino produttore e consumatore, le riflessioni del nostro Kierkegaard ellenistico rimangono molto
attuale.
Purtroppo!
Ci deve essere - è quello che ci ha aperto il nostro Salomone - un altro modo di considerare il destino dell'uomo e, quindi, in grado di ospitare la nuova parola che offre il fenomeno Gesù!

Poi:
sollevare per sé o per Dio?

Luca è l'unico dei quattro evangelisti che ci ha portato l'approccio del giovane che chiede a Gesù di intervenire per una condivisione. Luca è molto interessato a temi della povertà e ricchezza. Il denaro in sé, anzi è uno dei temi preferiti di Matteo. Per esempio, dai suoi discepoli, Gesù chiede una radicale rinuncia (12, s 33, 14, 33), ma Zaccheo, tornato a quadruplicare il suo misfatto e duou avere dato la metà dei suoi beni ai poveri, continua il suo lavoro di pubblicano (19 , 1-10). La comunità di beni nella Chiesa ha sempre riposato sul volontariato (Atti 5:04), e non ha mai cambiato . La situazione divenne rapidamente critica, e Paolo -
lui era Luca ii l compagno - cercherà di raccogliere fondi per i poveri di Gerusalemme, la famosa collezione

Proprio come quello che lui è stato riferito da Gesù -Paolo stesso ha avuto l'intelligenza di seconda mano - ci dà nulla di sistematico, ma dopo questo Master di vivere che è l'Uomo di Nazareth, egli intende in primo luogo a riflettere sul retto uso dei beni necessari per la vita. Mentre il più giovane vodrebbe ottenere da Gesù un lodo arbitrale contro il suo anziano che rifiuta una divisione del patrimonio del padre, Gesù sembra ignorare la questione della giustizia ordinaria. Si muove la questione, si invita a riflettere sulle posizioni interiori dei suoi discepoli, i loro progetti di vita, le loro legittime aspettative. Come lo inica la seguente parabola, lo che viene condannato è l'avidità insaziabile: di più!

Sempre la stessa cosa : sollevare are per chi, per che cosa?

Il grande proprietario che rende belli raccolti potrebbe, dal punto di vista economico, pensare di investire e contribuire allo sviluppo generale. Ma è per lui e lui solo, ha deciso di costruire nuove stalle e di condurre una vita più piacevole. E dopo tutti belle plani, la morte improvvisa si verifica: addio vitello, mucca, maiale, pollo!

Che cosa è una priorità nella nostra vita? Ciò che ci fa agire, correre, vibrare? Per quali valori siamo pronti per donarci a fondo? Sicuro: conclusioni da trarre saranno diverse a seconda che ciascuno ha le sue condizioni personali e sociali. Ma per tutti vale di soddisfare la destinazione di sua proprietà e di ricchezza.

I mondi possono comunicare?

Che significa lavorare per Dio, ma solo fare di tutto per costruire relazioni, promuovere il commercio, permettendo a tutti di ottenere un salario di sussistenza? Geremia si ripete durante la sua vita movimentata dalle disgrazie del suo tempo: la religione pura e senza macchia davanti a Dio nostro Padre è questa: soccorrere gli orfani e le vedove nelle loro afflizioni, e non contaminarsi col mondo per mantenerse pulito (I 1, 27).

E 'bene a tendere per le cose di sopra! Tendere, in quanto è oggettivamente e materialmente possibile. Abbiamo tutti ricevuto i semi. Essere realistici come Saint Paul è sempre introdurre nella realtà lo che il battesimo ha depositato in ogni cristiano. Ecco perché, tra i difetti segnalati, la sete disordinata 'per sempre piu' è una vera idolatria, cioè il culto di Mammona, già bollato da Gesù (Mt 6, 24).

Alla ricerca insaziabile di se stesso, si oppone la realtà del battesimo - ma chi lo spiega e prende sul serio fino al punto di conformare la sua vita? - realtà prevista per farci adottare la vita stessa di Cristo Gesù pe chi non c'è più Greco e Ebreo, Ebreo e Gentile, schiavo e uomo libero ... . francese e arabo, ebreo e africano, indifferenti e atei ... non ci sono più ricchi e poveri, felici e infelici, saziati e affamati? ...?

Il cristianesimo ben temperato non è legato a nessuna cultura : è peccare contro lo Spirito che non tiene questo in considerazione per avviare la rinascita della Chiesa!
La globalizzazione è qui, che fortuna per annunciare Cristo fino ai confini della terra! Inizia con l'essere una lampada per illuminare ben visibile intorno a noi. Meglio se le ombre svaniscono via, ma siamo in grado di diffondere solo la luce dello Spirito. Non spegnere (1 Tessalonicesi 5:19).
La supremazia totale di Cristo, per cui tutta la Lettera ai Colossesi sostiene con forza, non è senza conseguenze apostoliche, forse, ma anche politica! Sì : come vivere, come farci tutto per tutti, per guadagnarne il maggior numero (I Cor 9,19-23).
L'amore di Cristo - che sorpassa ogni conoscenza (cfr Ef 3,19) -; ha illuminato tutti coloro che giorno dopo giorno e per secoli hanno cercato di viverlo.... Attraverso di loro, Cristo brillò per noi. Se il nostro corpo di carne non si sento ancora promesso di seguire il modello del corpo glorioso di Cristo (Fil 3,21), a chi deve dare la colpa : ai testimoni o a nostra negligenza?

E 'facile dare la colpa a coloro che sono passati il ​​testimone di offuscarlo o aver refletto qualche scintilla di sfarfallio brevemente. E 'in malafede. Gesù ci parla direttamente, come il primo giorno, la buona notizia è sempre nuova, sempre buona, semplice e chiara. Lo sappiamo. Non fuggire dalla verità. Abbiate il coraggio della fede.

Cosa fare noi? Come un cristiano : seguire Cristo.

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espanol

No hay nada! Todo se evapora! Todo es vanidad! Este es el estribillo más estriptista de este moderno sabio que, bajo la apariencia de Salomón invitó a tomar un acogedor refugio de las ideas, e del " políticamente y religiosamente correcto." La palabra hebrea Hebel - traducida por la vanidad - significa humo, vapor, niebla y por lo tanto nada, una tontería : vi todo lo que se puede hacer bajo el sol, pero en realidad, todo es vanidad y pousuite el viento ( Eclesiastés 1:14).

¿Hay más posmoderno de este pensamiento cínico? Generalmente los autores bíblicos, sin negar los problemas relacionados con el trabajo (Gen. 3, 19), lo ven como tarea normal del hombre. El éxito mismo en el trabajo venlo come un signo de la bendición divina (Dt. 14.29; 16.15, Sal 128,2). Eclesiástico (otro autor bíblico) elogió a los campesinos y artesanos (Si 38, 25-32), aunque juez superior el estado de los sabios (Si 38, 33-39, 11). La pereza es fuertemente condenada (Proverbios 13: 4). Durante un tiempo, nuestra Salomón pudo regocijarse en sus éxitos (Qo 2,4-10), luego vino la amarga conclusión de que todo es vanidad y
pousuite el viento, y lo hicimos sin provecho debajo del sol (Qo 2 , 11).

Realmente todos estos aforismos y apotegmas, toda esta oscura sabiduría, y estas banderillas filosóficos actúan como un estímulo (Q 12, 11) que impide permanecer atrapado en el fango común y provoca un comienzo saludable. Los familiares de Emil Cioran sólo puede recordar su Libro de
descomposición!
Que habría replicado un observador de nuestro lema político "Trabajar más para ganar más"! Un triste lema de circunstancias para justificar el trabajo dominical, por ejemplo, sin tener en cuenta las necesidades de la libertad, la espiritualidad y el silencio, de la familia y de la sociedad. Frente a la exaltación y la explotación ilimitadas de los ciudadanos consumidores y productores, los reflejos de nuestro helenístico Kierkegaard siguen siendo mucho actual.
Desafortunadamente!
Es debe tener - es lo que abre para nosotros nuestro Salomón - otra forma de considerar el destino del hombre y por lo tanto capaz de adaptarse a la nueva palabra que ofrece el fenómeno de Jesús!
Entonces: recaudar para sí o para Dios?

Lucas es el único de los cuatro evangelistas que nos han conservado el enfoque del menor, pidiéndole a Jesús que intervenga para una división. Lucas está muy interesado en las cuestiones de la pobreza y la riqueza. El dinero en sí mismo, sino que es uno de los temas favoritos de Mateo. Por ejemplo, de sus discípulos, Jesús pide una renuncia radical (12, s 33, 14, 33), pero Zaqueo, habiendo regresado a cuadruplicar su fechoría y dado la mitad de sus bienes a los pobres, mantiene su trabajo de publicano (19 , 1-10). La comunidad de bienes en la Iglesia siempre se ha basado en voluntaria (Hechos 5:04) y nunca otra manera. La situación rápidamente se tornó crítica, y Pablo - cuyo Lucas era el compañero - tratará de recaudar fondos para los pobres de Jerusalén, la famosa colección

Al igual que lo que se informó sobre Jesús -  
porque Pablo mismo hubo inteligencia que de segunda mano - nos da nada sistemática, pero, después de este "Máster para vivir" que es el hombre de Nazaret, el significa en primer lugar para reflexionar sobre el uso correcto de los bienes necesarios para la vida. Mientras que el joven quería de Jesús un laudo arbitral en contra de su hermano mayor que se niega una división de la herencia de su padre, Jesús parece ignorar la cuestión de la justicia ordinaria. Se mueve el tema, se invita a la reflexión sobre las posiciones interiores de sus discípulos, sus proyectos de vida, sus expectativas legítimas. Como muestra la siguiente parábola, que es condenada es la insaciable codicia: siempre más!

Siempre lo mismo: elevar  para quién, para qué?

El gran propietario que hace sus hermosas cosechadas podría desde el punto de vista económico, pensar en invertir y contribuir al desarrollo general. Pero es para él y sólo a él, decidió construir nuevas granjas para llevar a cabo una vida más agradable. Y eso es que después de sus planos preciosos, la muerte súbita se produce:
¡Adiós! ternera, vaca, cerdo, pollo!

¿Qué es una prioridad en nuestras vidas? Lo que nos hace actuar, correr, vibrar? ¿Para qué valores estamos listos para la donación total de nosotros a fondo?
Sseguro: sacar conclusiones difieren de acuerdo a cada uno de sus circunstancias personales y sociales. Pero para todos se necesita cumplir con el destino de sus bienes y riqueza.

Los mundos pueden comunicar?

Qué significa trabajar por Dios, pero acaba de hacer todo lo posible para construir relaciones, promover el comercio, lo que permite que todos tengan un salario digno? Jeremías está repitiendo durante su vida azarosa por las desgracias de su tiempo: la religión pura y sin mácula delante de Dios el Padre es ésta: visitar a los huérfanos ya las viudas en sus tribulaciones, para mantenerse lejos de el mundo para no contaminarse (I 1, 27).

Es bueno
avanzar hacia las cosas de arriba! Ya que es objetivamente y materialmente posible. Recibimos todos las semillas. Sea realista en la manera de Pablo es entrar en la realidad de que el bautismo presentada en cada cristiano. Por eso, entre los defectos denunciados, sed desordenada para siempre mas, es una verdadera idolatría, es decir, la adoración de Mamón, ya marcada por Jesús (Mt 6, 24).
En la búsqueda insaciable de sí mismo, se opone la realidad del bautismo -, pero quien explica y toma en serio hasta el punto que su vida se ajusta? - realidad que supone tener la misma vida de Cristo Jesús: que no hay mas griego y Judío, Judíos y gentiles, esclavos y libres ... . para el que no hay más francés y árabe, judíos y africanos, indiferentes y ateos ... no hay más ricos y  pobres, felices e infelices, saciados y hambrientos? ...?

El cristianismo bien temperado no está vinculado a ninguna cultura ; es pecar contra el Espíritu, que no tomar esto  en cuenta para iniciar el renacimiento de la Iglesia!
La globalización está aquí, la suerte de anunciar a Cristo hasta los confines de la tierra! Comienza por ser una lámpara para iluminar un lugar destacado a nuestro alrededor. Mejor si las sombras se desvanecen, pero sólo podemos difundir la luz del Espíritu. No extinguir (1 Tesalonicenses 5:19).
La total supremacía de Cristo, para que toda la carta a los Colosenses argumenta con fuerza, no deja de tener consecuencias apostólicas tal vez, pero también políticos! Sí : cómo vivir, cómo hacerse todo para todos, para ganar la mayor cantidad (I Cor 9,19-23).
El amor de Cristo que excede a todo conocimiento (cf. Ef 3,19), iluminada todos los que en cada día y durante siglos han tratado de vivir de eso.... A través de ellos Cristo brilló para nosotros . Si nuestro cuerpo de carne todavía no se siente prometido seguir el modelo del cuerpo glorioso de Cristo (Filipenses 3:21), él debe culpar a los testigos o de nuestra propia negligencia?

Es fácil culpar a los que han pasado la antorcha de empañar o pensado alguna chispa a parpadear brevemente. Es de mala fe. Jesús habla con nosotros directamente, como el primer día, la buena noticia es siempre nueva, siempre es buena, simple y clara. Lo sabemos. No huyas de la verdad. Ten la valentía de la fe.

¿Qué es lo que nosotros, como cristiano es seguir a Cristo?



[1] Le livre se nomme aussi l'Ecclésiaste (traduction grecque de l'hébreu קהלת Qohelet, « celui qui s'adresse à la foule »), et fait partie de la Bible hébraïque. L'auteur se présente en tant que fils de David, et roi d'Israël à Jérusalem (1:1, 12, 16; 2:7, 9), sans se citer nommément. Il est traditionnellement identifié à Salomon, mais les exégètes modernes datent l'œuvre du 3ème siècle av. J.-C., pendant la période hellénistique où les Hébreux furent influencés par les divers systèmes philosophiques grecs comme l'épicurisme et le stoïcisme.
[2] (1911Roumanie - 1995 Paris) Philosophe et écrivain roumain, d'expression roumaine initialement, puis française à partir de 1949.
[3] Søren Aabye Kierkegaard (1813 - 1855) est un écrivain, théologien protestant et philosophe danois.

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