Deux homélies à la suite : 18 et 25 novembre!
Et puis une surprise : les textes en quintuple langue!
Oui, quintuple : français, anglais, allemand, italien et espagnol!!!
Est-ce que je tiendrai le coup? Nous verrons!
Mais de votre côté, avertissez vos amis de "langue étrangère!
25 NOV CHRIST ROI
18 NOV 33EME DIM
À la fin, Jésus reviendra victorieux
C'est la dernière fois avant sa mort, qu'aujourd'hui Jésus sort du Temple avec ses disciples. Le Temple chef d'œuvre de foi et d'architecture malgré toutes les tribulations!
Mais quel est le présent qui
dure...
“Quelles belles pierres! quelles
belles constructions!” s'exclament les compagnons avec fierté!
Et Jésus saisit l'occasion pour
les instruire, une fois de plus, sur la fragilité du monde visible.
Il
faut dire ici que l'interprétation du long discours qui suit est difficile à
saisir car il touche trois événements distincts:
1.
d'abord les nombreux obstacles rencontrés dans la première annonce de la Bonne
Nouvelle immédiatement après l'ascension (versets 9-13);
2.
puis la destruction du Temple par l'armée romaine, en l'an 70 (versets 2 et
14-23);
3.
et surtout le retour du Christ avec puissance et gloire à la fin des temps
(24-27). Mais quand????
Voici donc décrit un bouleversement cosmique colossal (touchant toute la création), et dans la mentalité apocalyptique du temps (la fin du monde), la chute des forces divinisées maîtresses (toutes les mythologies) de l'univers annonçait le triomphe définitif du Dieu unique sur l'idolâtrie des peuples. On s'exprime avec les moyens de l'époque : les images n'ont ici donc rien à voir avec l'astrophysique moderne, et ce que nous appelons la fin du monde traduisait, pour les lecteurs de Marc, l'émergence, la naissance, du “monde nouveau” promis par Isaïe (65, 17 et 66, 22).
Alors pas de panique, genre calendrier
maya et fin du monde le 21 décembre 2012! Ne cherchons pas ici l'annonce de
cataclysmes sismiques spécifiques, mais plutôt la suite logique et paradoxale
de la Bonne Nouvelle proclamée par Jésus et consignée par Marc pour les
chrétiens de Rome. L'auteur écrit comme Paris Match: il aime les images et
celles qu'il propose sont connues de ses lecteurs: celles fréquentes chez Isaïe
13, 10; 34, 4; Joël 2, 10; 4, 15; Ézéchiel 32, 7; etc. C'était la
représentation du retour au chaos des origines d'où allait émerger, à nouveau
et à travers la souffrance, une -
nouvelle - création nouvelle.
D'ailleurs, dans l'évangile, les rappels bibliques sont également nombreux: voyez la vision du Fils de l'homme venant avec les nuées du ciel (voir Daniel 7, 13-14, dont le texte date probablement de la persécution d'Antiochos IV Épiphane qui, en décembre 167, installa l'autel de Baal dans le Temple. Voir Marc 8, 31; 9, 31; 10, 33; 10, 45) a souvent été évoquée par Marc, surtout dans le contexte de la mort de Jésus. Enfin, ce chapitre se termine magistralement sur une image "debout"; le vainqueur des ténèbres reviendra dans l'une des quatre veilles de la nuit: “Veillez donc, car vous ne savez pas quand le maître de la maison reviendra, le soir ou à minuit, au chant du coq ou le matin.” Son retour sera donc à l'image du matin de Pâques.
Marc écrit au temps de la
persécution de Néron, et par-delà la première Église de Rome, cet enseignement
traverse toujours les âges: Ne vous laissez ni égarer ni ébranler; levez les
yeux; reprenez courage; restez fidèles; car le Seigneur reviendra: “Marana tha!
Viens, Seigneur Jésus!”. C'était devenu la prière des premiers chrétiens
dite en araméen, comme nous disons Alléluia en hébreu ou Kyrie Eléison en grec!
(Voir 1 Corinthiens 16, 22 et Apocalypse 22, 20).
Voilà le fondement de notre espérance proclamé en temps de crise. Depuis
lors, et avec des millions d'hommes et de femmes, entrons dans le mouvement
pour préparer, non pas la catastrophe universelle, mais une immense fête du
retour de Jésus dans la gloire.
Jésus, notre roi livré et crucifié
Chez Jean, Jésus "devient " roi par sa Passion, une passion
douloureuse et triomphale à la fois. On a envie de dire: comme toute
"passion"! Aujourd'hui, il "écrit" (Jn 18, 33.36.37.39; 19,
3.12.14.15.19.21...) ce titre de roi et cette royauté du Messie au cours
du procès le plus célèbre de tous les temps.
Deux hommes se font face. L'un
représente l'empire le plus puissant de l'époque, l'équivalent d'une vingtaine
de pays actuels. Et le plus étonnant : l'accusé interroge le juge: “Dis-tu cela
de toi-même, ou bien parce que d'autres te l'ont dit?” (Traduction
inexacte:
le texte grec: “ou d'autres te [l'] ont-ils dit de moi?”)
Le Messie va-nu-pieds prend position dès l'abord, et invite le splendide
procurateur romain à la réflexion et au dialogue, et nous, aujourd'hui, par le
fait même! Bas les masques : il s'agit de regarder Jésus dans les yeux pour
répondre à cette question essentielle.
Pilate reprend contenance: “Ta nation et les chefs des prêtres t'ont livré à
moi: qu'as-tu donc fait?” Mais Jésus continue de mener sereinement le dialogue:
“Ma royauté ne vient pas de ce monde; si ma royauté venait de ce monde,
j'aurais des gardes...”
La leçon est politique: on y
parle de trois formes de royauté:
- la royauté politique, celle qu'Hérode le Grand a
sentie menacée par la naissance d'un enfant à Bethléem (rappelez-vous
Noël);
- la royauté messianique telle qu'elle était conçue
par les juifs et annoncée par Isaïe);
-
et enfin la royauté du Fils de l'homme qui ne
contraint ni n'écrase personne (C'est toujours :
“Que veux-tu que je fasse pour toi?” Ou encore: “Si tu
veux être parfait, allez! viens avec moi) et qui se laissera conduire
jusqu'à la mort en croix.
Il est clair pour l'œil droit que Jésus a toujours été roi
- quand il expulsait les démons,
- quand il ressuscitait Lazare,
- quand il commandait au vent et à la mer,
- quand il corrigeait les faiblesses de la loi juive
et de ses applications.
Mais ce roi à la manière de Dieu
n'a jamais pris personne de force puisque sa royauté n'est pas de ce monde.
C'est de ce royaume qu'en
Matthieu, en Marc et en Luc, Jésus n'a jamais cessé de parler, royaume plus
invisible que la plus petite des semences, ou que le levain dans la pâte, ou
que le grain de blé tombé en terre qui meurt dans le silence afin de porter
beaucoup de fruit.
Ce Jésus est
- notre roi livré et crucifié,
- le roi selon le coeur de Dieu qui n'écrase aucun de
ses ennemis,
- le roi qui aime follement même ceux qui ne l'aiment
pas et nous demande avec insistance d'en faire autant.
- un roi qui, en réalité, ne ressemble à aucun roi de
la terre,
- ce roi compatissant qui sauve et qui rend la vie.
Le Messie va-nu-pieds prend position dès l'abord, et invite le splendide procurateur romain à la réflexion et au dialogue, et nous, aujourd'hui, par le fait même! Bas les masques : il s'agit de regarder Jésus dans les yeux pour répondre à cette question essentielle.
Pilate reprend contenance: “Ta nation et les chefs des prêtres t'ont livré à moi: qu'as-tu donc fait?” Mais Jésus continue de mener sereinement le dialogue: “Ma royauté ne vient pas de ce monde; si ma royauté venait de ce monde, j'aurais des gardes...”
et enfin la royauté du Fils de l'homme qui ne
contraint ni n'écrase personne (C'est toujours :
“Que veux-tu que je fasse pour toi?” Ou encore: “Si tu
veux être parfait, allez! viens avec moi) et qui se laissera conduire
jusqu'à la mort en croix.
Il est clair pour l'œil droit que Jésus a toujours été roi
- quand il expulsait les démons,
- quand il ressuscitait Lazare,
- quand il commandait au vent et à la mer,
- quand il corrigeait les faiblesses de la loi juive et de ses applications.
Ce Jésus est
English
November 18th
At
the end, Jesus will return victorious
This is the last time before his death, Jesus leaves the Temple today with his disciples. Temple masterpiece of
architecture and faith despite all the tribulations!
But what is this that lasts ...
"What beautiful stones! what beautiful constructions !", the
companions exclaim with pride!
And Jesus took the opportunity to teach them, once again, the fragility of the
visible world.
It must be said here that the interpretation of the long speech that follows
is difficult to grasp because it involves three distinct events:
1. First of all, the many obstacles in the first
announcement of the Good News, immediately after the Ascension (verses 9-13);
2. second, the destruction of the Temple by the Roman army
in 70 AD (verses 2 and 14-23);
3. and especially the return of Christ in power and glory at the end of time
(24-27). But when????
Here is described a colossal cosmic upheaval (affecting all creation), and
through the apocalyptic mentality of the time (the end of the world), the
deified forces fall (all mythologies), the masters of the universe, announced
the definitive triumph of the one God over the idolatry of the people. That is
expressed with the means of the time: the images here have nothing to do with
modern astrophysics, and what we call the end of the world translated for the
readers of Mark the emergence - the birth -, of the "new world"
promised by Isaiah (65, 17, 66, 22).
So do not panic, like the Mayan calendar and the end of the world on December
21st, 2012! Don't try here to ad specific seismic cataclysms, but the logical
and paradoxical Good News proclaimed by Jesus and recorded by Mark for the
Christians of Rome. The author writes as Paris Match: He loves pictures and
those that are known to offer its readers: those common in Isaiah 13, 10, 34,
4, Joel 2, 10, 4, 15, Ezekiel 32, 7; etc.. It was the representation of the
return to the origins of chaos out of which would emerge again and through suffering, - new - new creation.
Moreover, in the gospel, biblical reminders are also numerous: see the vision
of the Son of man coming in the clouds of heaven (see Daniel 7, 13-14, the
text of which probably dates from the persecution of Antiochus IV Epiphanes,
who in December 167, moved the altar of Baal in the temple. See Mark 8, 31, 9,
31, 10, 33, 10, 45) has often been mentioned by Mark, especially in the
context of Jesus' death. Finally, this chapter ends on an image masterfully
"standing", the winner of darkness will return in one of the four
watches of the night: "Watch therefore, for you know not when the
master of the house will come back in the evening or at midnight, cockcrow, or
in the morning. "His return will be like the Easter morning.
Mark wrote at the time of Nero's persecution, and beyond the first Church of
Rome, this teaching runs through the ages always: "Don't let yourselves
shake or lose; look up, take courage; remain faithful, for the Lord will
return: "Marana tha! Come, Lord Jesus. " It became the first
Christian prayer in Aramaic known, as we say Hallelujah in Hebrew or Greek
Kyrie eleison! (See 1 Corinthians 16, 22 and Apocalypse 22, 20).
This is the foundation of our hope proclaimed in times of crisis. Since then,
with millions of men and women, let's enter into the movement to prepare, not
the universal catastrophe, but a huge celebration of the return of Jesus in glory.
November 25th
CHRIST THE KING
Jesus, our King accused and crucified
In John, Jesus "became" king by his passion, a passion painful and
triumphant at the same time. We want to say as any "passion"! Today,
is "written" (Jn 18, 33.36.37.39, 19, 3.12.14.15.19.21 ...) the title
of king and the kingdom of the Messiah during the trial the most famous of all
time.
Two men face. One is the most powerful empire of the time, the equivalent of a
dozen countries today. And the most surprising: the accused asked the judge:
"Do you say this of thyself, or because others have told you?" (Inaccurate
translation: the Greek text "or others told you [this] about me? ")
The "barefoot" Messiah will takes position right off, and invites the
splendid Roman procurator to reflection and dialogue, and as us, today, by the
very fact! Down with the masks: it is to look Jesus in the eyes to answer this
crucial question.
Pilate takes again countenance: "Your own nation and the chief priests
have delivered thee unto me: what hast thou done?" But Jesus calmly
continues to lead the dialogue: "My kingdom is not of this world: if my
kingdom were of this world, I would have guards ... "
The lesson is political: it speaks of three forms of kingship:
1. royalty policy that Herod the Great had felt threatened by the birth of a
child in Bethlehem
(remember Christmas);
2. the messianic kingdom as conceived by Jews and announced by Isaiah);
3. and finally the kingdom of the Son of man who forces nor smashes anybody (It
is always: "What do you want me to do for you?" Or: "If thou
wilt be perfect, come with me): he will let himself lead to death on the cross.
It is clear that the right eye has always seen the king in Jesus
when he expelled demons,§
when he resurrected Lazarus§
when he commanded the wind and the sea,§
when he corrected the weaknesses of
Jewish law and its applications.§
But this king "in the way of God" has never taken anyone by force
since his kingdom is not of this world.
It is this kingdom that in Matthew, Mark and Luke, Jesus never stopped talking
of, invisible kingdom more than the smallest of seeds, or the yeast in the
dough, or the grain of wheat which fell to the ground and dies in silence in
order to bear much fruit.
This Jesus is
This is the last time before his death, Jesus leaves the Temple today with his disciples. Temple masterpiece of architecture and faith despite all the tribulations!
But what is this that lasts ...
And Jesus took the opportunity to teach them, once again, the fragility of the visible world.
It must be said here that the interpretation of the long speech that follows is difficult to grasp because it involves three distinct events:
3. and especially the return of Christ in power and glory at the end of time (24-27). But when????
Here is described a colossal cosmic upheaval (affecting all creation), and through the apocalyptic mentality of the time (the end of the world), the deified forces fall (all mythologies), the masters of the universe, announced the definitive triumph of the one God over the idolatry of the people. That is expressed with the means of the time: the images here have nothing to do with modern astrophysics, and what we call the end of the world translated for the readers of Mark the emergence - the birth -, of the "new world" promised by Isaiah (65, 17, 66, 22).
So do not panic, like the Mayan calendar and the end of the world on December 21st, 2012! Don't try here to ad specific seismic cataclysms, but the logical and paradoxical Good News proclaimed by Jesus and recorded by Mark for the Christians of Rome. The author writes as Paris Match: He loves pictures and those that are known to offer its readers: those common in Isaiah 13, 10, 34, 4, Joel 2, 10, 4, 15, Ezekiel 32, 7; etc.. It was the representation of the return to the origins of chaos out of which would emerge again and through suffering, - new - new creation.
Moreover, in the gospel, biblical reminders are also numerous: see the vision of the Son of man coming in the clouds of heaven (see Daniel 7, 13-14, the text of which probably dates from the persecution of Antiochus IV Epiphanes, who in December 167, moved the altar of Baal in the temple. See Mark 8, 31, 9, 31, 10, 33, 10, 45) has often been mentioned by Mark, especially in the context of Jesus' death. Finally, this chapter ends on an image masterfully "standing", the winner of darkness will return in one of the four watches of the night: "Watch therefore, for you know not when the master of the house will come back in the evening or at midnight, cockcrow, or in the morning. "His return will be like the Easter morning.
Mark wrote at the time of Nero's persecution, and beyond the first Church of Rome, this teaching runs through the ages always: "Don't let yourselves shake or lose; look up, take courage; remain faithful, for the Lord will return: "Marana tha! Come, Lord Jesus. " It became the first Christian prayer in Aramaic known, as we say Hallelujah in Hebrew or Greek Kyrie eleison! (See 1 Corinthians 16, 22 and Apocalypse 22, 20).
This is the foundation of our hope proclaimed in times of crisis. Since then, with millions of men and women, let's enter into the movement to prepare, not the universal catastrophe, but a huge celebration of the return of Jesus in glory.
November 25th CHRIST THE KING
Jesus, our King accused and crucified
In John, Jesus "became" king by his passion, a passion painful and triumphant at the same time. We want to say as any "passion"! Today, is "written" (Jn 18, 33.36.37.39, 19, 3.12.14.15.19.21 ...) the title of king and the kingdom of the Messiah during the trial the most famous of all time.
Two men face. One is the most powerful empire of the time, the equivalent of a dozen countries today. And the most surprising: the accused asked the judge: "Do you say this of thyself, or because others have told you?" (Inaccurate translation: the Greek text "or others told you [this] about me? ")
The "barefoot" Messiah will takes position right off, and invites the splendid Roman procurator to reflection and dialogue, and as us, today, by the very fact! Down with the masks: it is to look Jesus in the eyes to answer this crucial question.
Pilate takes again countenance: "Your own nation and the chief priests have delivered thee unto me: what hast thou done?" But Jesus calmly continues to lead the dialogue: "My kingdom is not of this world: if my kingdom were of this world, I would have guards ... "
The lesson is political: it speaks of three forms of kingship:
1. royalty policy that Herod the Great had felt threatened by the birth of a child in Bethlehem (remember Christmas);
3. and finally the kingdom of the Son of man who forces nor smashes anybody (It is always: "What do you want me to do for you?" Or: "If thou wilt be perfect, come with me): he will let himself lead to death on the cross.
It is clear that the right eye has always seen the king in Jesus
when he expelled demons,§
when he resurrected Lazarus§
when he commanded the wind and the sea,§
when he corrected the weaknesses of Jewish law and its applications.§
But this king "in the way of God" has never taken anyone by force since his kingdom is not of this world.
It is this kingdom that in Matthew, Mark and Luke, Jesus never stopped talking of, invisible kingdom more than the smallest of seeds, or the yeast in the dough, or the grain of wheat which fell to the ground and dies in silence in order to bear much fruit.
This Jesus is
- our king delivered and crucified,§
- a King according to the heart of God who does not smashes any of his enemies,§
- a King loving even those who do not like him and urges us to do so.§
- a king who, in fact, is unlike any earthly king,§
- the compassionate king who saves and makes life.§
******************
Deutsch
So
18. November
Am
Ende wird Jesus wiederkommen siegreichen
Dies ist das letzte Mal
vor seinem Tod : Jesus lässt den Tempel heute mit seinen Jüngern. Tempel
Meisterwerk der Architektur und der Glaube trotz aller Wirrungen!
Aber was ist das, das dauert ...
"Was für schöne Steine! Was für schöne Konstruktionen!", rufen die
Gefährten mit Stolz!
Und Jesus nahm die Gelegenheit wahr, sie zu lehren, wieder einmal über die
Fragilität der sichtbaren Welt.
Es muss hier gesagt werden, dass die Interpretation der langen Rede, die
folgt, ist schwer zu fassen, weil es drei verschiedene Geschehnisse beinhaltet:
1. Vor allem die vielen Hindernisse in der ersten
Ankündigung der Good News, unmittelbar nach den Himmelfahrt (Verse 9-13);
2. die Zerstörung des Tempels durch die römische
Armee in 70 AD (Verse 2 und 14-23);
3. und vor allem die Rückkehr von Christus in Macht und Herrlichkeit am Ende
der Zeit (24-27). Aber wann???
Hier eine kolossale kosmische Umwälzungen (betrifft die ganze Schöpfung), und
durch die apokalyptische Mentalität der Zeit (Ende der Welt) wird beschrieben,
die vergöttlichten Kräfte (alle Mythologien) fallen, die Meister des Universums
gab den endgültigen Triumph der ein Gott über den Götzendienst des Volkes. Das
ist mit den Mitteln der Zeit ausgedrückt: die Bilder hier haben nichts mit
modernen Astrophysik zu tun, und das, was wir das Ende der Welt, übersetzt für
die Leser von Mark die Entstehung - die Geburt - von der "neuen
Welt", versprochen von Jesaja (65, 17, 66, 22).
Also keine Panik, wie der Maya-Kalender und das Ende der Welt am 21. Dezember
2012! Hier nicht versuchen die Nachricht von spezifischen seismischen
Katastrophen, sondern die logische und paradox Botschaft verkündeten von Jesus
und aufgenommen von Mark für die Christen von Rom. Der Autor schreibt, wie
Paris Match: Er liebt Bilder und jene, die bekanntermaßen seinen Lesern
anbieten: diese gemeinsamen in Jesaja 13, 10, 34, 4, Joel 2, 10, 4, 15,
Hesekiel 32, 7; etc.. Es war die Darstellung der Rückkehr zu den Ursprüngen des
Chaos, aus denen wieder auftauchen würde, und durch Leiden, - neu - neue
Schöpfung.
Außerdem im Evangelium, sind biblische Erinnerungen auch zahlreiche: siehe
die Vision des Menschen Sohn kommen in den Wolken des Himmels (siehe
Daniel 7, 13-14, dessen Text stammt wahrscheinlich aus der Verfolgung von
Antiochus IV Epiphanes, der im Dezember 167 den Altar des Baal im Tempel zog.
Siehe Markus 8, 31, 9, 31, 10, 33, 10, 45) hat oft von Mark erwähnt worden,
vor allem im Zusammenhang mit dem Tod Jesu. Schließlich endet dieses Kapitel
auf ein Bild, meisterhaft "stehend", der Gewinner der Dunkelheit in
einer der vier Uhren in der Nacht zurück: "Darum wachet, denn ihr wisst
nicht, wann der Herr des Hauses kommt zurück in den Abend oder um Mitternacht,
Hahnenschrei oder am Morgen. "Seine Rückkehr wird wie der Ostermorgen
sein.
Mark schrieb in der Zeit von Neros Verfolgung und über die erste Kirche von
Rom, läuft diese Lehre im Laufe der Jahrhunderte immer: "Lasst euch
nicht erschüttern oder verlieren : schauen, Mut fassen, treu bleiben, denn der
Herr wird zurückkehren: "Marana tha! Komm, Herr Jesus. "Es war
das erste christliche Gebet in Aramäisch bekannt, wie wir sagen, Hallelujah in
Hebräisch oder Griechisch Kyrie eleison! (Siehe 1 Korinther 16, 22 und
Apocalypse 22, 20).
Dies ist die Grundlage unserer Hoffnung verkündete in Zeiten der Krise.
Seitdem, mit Millionen von Männern und Frauen, lasst uns in die Bewegung
vorzubereiten, nicht die universelle Katastrophe, aber eine riesige Feier der
Rückkehr von Jesus in der Herrlichkeit zu gelangen.
25. November
Christus König
Jesus,
unser König ausgeliefert und gekreuzigt
In Johannes,
"wurde" Jesus König durch seine Leidenschaft, eine Leidenschaft
schmerzhafte und triumphale zur gleichen Zeit. Wir wollen sagen : wie jeder
"Leidenschaft"! Heute wird "geschrieben" (Joh 18,
33.36.37.39, 19, 3.12.14.15.19.21 ...) der Titel des Königs und das Reich des
Messias während des Prozesses der berühmteste aller Zeiten.
Zwei Männer begegnen. Eine davon vertritt das mächtigste Reich der Zeit, das
Äquivalent von einem Dutzend Ländern heute. Und die größte Überraschung: der
Angeklagte fragte der Richter: "Hast Du das von dir selbst gesagt, oder
weil andere es Dir gesagt" (Bessere Übersetzung: der griechische Text
"oder andere gesagt [dieses] über mich?")
Der "barfuß" Messias nimmt Stellung rechts ab, und lädt den
herrlichen römischen Prokurator zur Reflexion und Dialog, und wie uns heute
durch die Tatsache! Nieder mit den Masken: es ist Jesus in die Augen zu
schauen, um diese entscheidende Frage zu beantworten.
Pilatus ermuntert wieder: "Dein eigenes Volk und die Hohenpriester haben
dich mir überliefert: Was hast du getan?" Aber Jesus ruhig führt den
Dialog weiter: "Mein Reich ist nicht von dieser Welt: Wäre mein Reich von
dieser Welt, würde ich Wachen haben ..."
Die Lektion ist politischer Natur: es wird gemeint von drei Formen des
Königtums:
1. die politische Königlichkeit, die Herodes der Große hatte bedroht gefühlt
durch die Geburt eines Kindes in Bethlehem (erinnern Weihnachten);
2. die messianische Königlichkeit von Juden geplant und von Jesaja angekündigt;
3. und schließlich die Königlichkeit des Sohnes des Menschen, die weder zwingt
nor zerschlägt niemanden (Es ist immer: "Was willst du von mir für dich
tun?" Oder: "Wenn du willst perfekt sein, komm mit mir zu) und lässt
sich führen bis zum Tod am Kreuz.
Es ist klar, dass das "richtige" Auge immer den König in Jesus
gesehen hat als er
Dies ist das letzte Mal vor seinem Tod : Jesus lässt den Tempel heute mit seinen Jüngern. Tempel Meisterwerk der Architektur und der Glaube trotz aller Wirrungen!
Aber was ist das, das dauert ...
"Was für schöne Steine! Was für schöne Konstruktionen!", rufen die Gefährten mit Stolz!
Und Jesus nahm die Gelegenheit wahr, sie zu lehren, wieder einmal über die Fragilität der sichtbaren Welt.
Es muss hier gesagt werden, dass die Interpretation der langen Rede, die folgt, ist schwer zu fassen, weil es drei verschiedene Geschehnisse beinhaltet:
3. und vor allem die Rückkehr von Christus in Macht und Herrlichkeit am Ende der Zeit (24-27). Aber wann???
Hier eine kolossale kosmische Umwälzungen (betrifft die ganze Schöpfung), und durch die apokalyptische Mentalität der Zeit (Ende der Welt) wird beschrieben, die vergöttlichten Kräfte (alle Mythologien) fallen, die Meister des Universums gab den endgültigen Triumph der ein Gott über den Götzendienst des Volkes. Das ist mit den Mitteln der Zeit ausgedrückt: die Bilder hier haben nichts mit modernen Astrophysik zu tun, und das, was wir das Ende der Welt, übersetzt für die Leser von Mark die Entstehung - die Geburt - von der "neuen Welt", versprochen von Jesaja (65, 17, 66, 22).
Also keine Panik, wie der Maya-Kalender und das Ende der Welt am 21. Dezember 2012! Hier nicht versuchen die Nachricht von spezifischen seismischen Katastrophen, sondern die logische und paradox Botschaft verkündeten von Jesus und aufgenommen von Mark für die Christen von Rom. Der Autor schreibt, wie Paris Match: Er liebt Bilder und jene, die bekanntermaßen seinen Lesern anbieten: diese gemeinsamen in Jesaja 13, 10, 34, 4, Joel 2, 10, 4, 15, Hesekiel 32, 7; etc.. Es war die Darstellung der Rückkehr zu den Ursprüngen des Chaos, aus denen wieder auftauchen würde, und durch Leiden, - neu - neue Schöpfung.
Außerdem im Evangelium, sind biblische Erinnerungen auch zahlreiche: siehe die Vision des Menschen Sohn kommen in den Wolken des Himmels (siehe Daniel 7, 13-14, dessen Text stammt wahrscheinlich aus der Verfolgung von Antiochus IV Epiphanes, der im Dezember 167 den Altar des Baal im Tempel zog. Siehe Markus 8, 31, 9, 31, 10, 33, 10, 45) hat oft von Mark erwähnt worden, vor allem im Zusammenhang mit dem Tod Jesu. Schließlich endet dieses Kapitel auf ein Bild, meisterhaft "stehend", der Gewinner der Dunkelheit in einer der vier Uhren in der Nacht zurück: "Darum wachet, denn ihr wisst nicht, wann der Herr des Hauses kommt zurück in den Abend oder um Mitternacht, Hahnenschrei oder am Morgen. "Seine Rückkehr wird wie der Ostermorgen sein.
Dies ist die Grundlage unserer Hoffnung verkündete in Zeiten der Krise. Seitdem, mit Millionen von Männern und Frauen, lasst uns in die Bewegung vorzubereiten, nicht die universelle Katastrophe, aber eine riesige Feier der Rückkehr von Jesus in der Herrlichkeit zu gelangen.
25. November Christus König
In Johannes, "wurde" Jesus König durch seine Leidenschaft, eine Leidenschaft schmerzhafte und triumphale zur gleichen Zeit. Wir wollen sagen : wie jeder "Leidenschaft"! Heute wird "geschrieben" (Joh 18, 33.36.37.39, 19, 3.12.14.15.19.21 ...) der Titel des Königs und das Reich des Messias während des Prozesses der berühmteste aller Zeiten.
Zwei Männer begegnen. Eine davon vertritt das mächtigste Reich der Zeit, das Äquivalent von einem Dutzend Ländern heute. Und die größte Überraschung: der Angeklagte fragte der Richter: "Hast Du das von dir selbst gesagt, oder weil andere es Dir gesagt" (Bessere Übersetzung: der griechische Text "oder andere gesagt [dieses] über mich?")
Der "barfuß" Messias nimmt Stellung rechts ab, und lädt den herrlichen römischen Prokurator zur Reflexion und Dialog, und wie uns heute durch die Tatsache! Nieder mit den Masken: es ist Jesus in die Augen zu schauen, um diese entscheidende Frage zu beantworten.
Pilatus ermuntert wieder: "Dein eigenes Volk und die Hohenpriester haben dich mir überliefert: Was hast du getan?" Aber Jesus ruhig führt den Dialog weiter: "Mein Reich ist nicht von dieser Welt: Wäre mein Reich von dieser Welt, würde ich Wachen haben ..."
Die Lektion ist politischer Natur: es wird gemeint von drei Formen des Königtums:
1. die politische Königlichkeit, die Herodes der Große hatte bedroht gefühlt durch die Geburt eines Kindes in Bethlehem (erinnern Weihnachten);
2. die messianische Königlichkeit von Juden geplant und von Jesaja angekündigt;
3. und schließlich die Königlichkeit des Sohnes des Menschen, die weder zwingt nor zerschlägt niemanden (Es ist immer: "Was willst du von mir für dich tun?" Oder: "Wenn du willst perfekt sein, komm mit mir zu) und lässt sich führen bis zum Tod am Kreuz.
Es ist klar, dass das "richtige" Auge immer den König in Jesus gesehen hat als er
- § Dämonen vertrieb,
- § den Lazarus auferstehen ließ,
- § dem Wind und das Meer befiehl,
- § korrigierte die Schwächen des jüdischen Gesetzes und seiner Anwendungen.
Aber dieser König "in den Weg Gottes" hat noch nie jemanden mit
Gewalt genommen, seit seinem Reich ist nicht von dieser Welt.
Es ist dieses Reich, dass in Matthäus, Markus und Lukas, Jesus nie
aufgehört hat zu reden von : unsichtbares Reich mehr als den kleinsten Samen
oder die Hefe im Teig oder das Weizenkorn, das zu Boden fallen stirbt in
Stille, um viel Frucht zu tragen.
Dieser Jesus ist
Aber dieser König "in den Weg Gottes" hat noch nie jemanden mit Gewalt genommen, seit seinem Reich ist nicht von dieser Welt.
Dieser Jesus ist
- §unser König ausgeliefert und gekreuzigt,
- §ein König nach dem Herzen Gottes, der alle seine Feinde nicht zerschlägt,
- §ein König die liebt auch diejenigen, die ihn nicht mögen und drängt uns zu tun ebenso,
- §ein König, der in der Tat, ist anders als alle irdischen König,
- §der mitfühlende König der speichert das Leben.
******************
Italiano
Dom 18 Nov 33
Alla fine, Gesù ritornerà vittorioso
Questa è l'ultima volta prima della sua morte, Gesù lascia il tempio oggi, con
i suoi discepoli. Tempio capolavoro di architettura e di fede nonostante tutte
le tribolazioni!
Ma che cosa è questo che dura ...
"Che belle pietre! che begli costruzioni " i compagni di esclamare
con orgoglio!
E Gesù ha colto l'occasione per insegnare loro, ancora una volta, la fragilità
del mondo visibile.
Va detto qui che l'interpretazione del lungo discorso che segue è difficile da
afferrare perché si tratta di tre eventi distinti:
1. In primo luogo i numerosi ostacoli nel primo annuncio della Buona Novella
subito dopo l'ascensione (v 9-13);
2. e la distruzione del Tempio da parte dell'esercito romano nel 70 dC
(versetti 2 e 14-23);
3. e soprattutto il ritorno di Cristo in potenza e gloria alla fine dei tempi
(24-27). Ma quando????
Qui è descritto un colossale sconvolgimento cosmico (che interessa tutta la creazione),
e la mentalità apocalittica del tempo (la fine del mondo): le forze deificati
dell'universo battute (tutte le mitologie), questo ha annunciato il definitivo
trionfo del Dio unico sull'idolatria del popolo, con i mezzi del tempo: le
immagini qui non hanno nulla a che fare con la moderna astrofisica, e ciò che
chiamiamo la fine del mondo, tradotto per i lettori di Marco, l'emergere, la
nascita del "nuovo mondo" promesso da Isaia (65, 17, 66, 22).
Quindi non fatevi
prendere dal panico, come il calendario Maya e la fine del mondo del dicembre
21, 2012! Non cercare qui l'annuncio de cataclismi sismici specifici, ma la
notizia buona logica e paradossale proclamata da Gesù e registrato da Marco per
i cristiani di Roma. L'autore scrive "à la" Paris Match: Egli ama le
foto e quelli che sono conosciuti ai suoi lettori: quelli comuni in Isaia 13,
10, 34, 4, Gioele 2, 10, 4, 15, Ezechiele 32, 7; ecc. E 'stata la
rappresentazione del ritorno alle origini del caos che sarebbe emersa ancora
una volta e attraverso la sofferenza, la - nuovo - nuova creazione.
Inoltre, nel Vangelo, promemoria biblici sono numerosi: vedere la visione del
Figlio dell'uomo venire sopra le nubi del cielo (cfr. Daniele 7, 13-14, il
cui testo risale probabilmente dalla persecuzione di Antioco IV Epifane, che
nel dicembre del 167, spostato l'altare di Baal nel tempio. Vedi Marco 8, 31,
9, 31, 10, 33, 10, 45) è stato spesso citato da Marco, in particolare nel
contesto di morte di Gesù '. Infine, questo capitolo si chiude su un'immagine
magistralmente "in piedi", il vincitore del ritorno dell'oscurità in
una dei quattro veglie della notte: "Vegliate dunque, perché non sapete
quando il padrone di casa tornerà, la sera o a mezzanotte, al canto del gallo,
o al mattino. "Il suo ritorno sarà come la mattina di Pasqua.
Marco ha scritto al tempo della persecuzione di Nerone, e al di là della prima
Chiesa di Roma, questo insegnamento attraverso i secoli sempre: Non scuotere
o perdere, cercare, prendere coraggio: rimane fedele, il Signore ritornerà:
"Marana tha! Vieni, Signore Gesù ". E 'diventato la prima
preghiera cristiana in aramaico conosciuta, come si dice in ebraico Hallelujah
o greco Kyrie eleison! (ref Corinzi 116,
22 e Apocalisse 22, 20).
Questo è il fondamento della nostra speranza proclamata in tempi di crisi. Da
allora, con milioni di uomini e donne entriamo in movimento per preparare, non
la catastrofe universale, ma una grande festa del ritorno di Gesù nella gloria.
25 Novembre CRISTO RE
Gesù, nostro Re abandonato e crocifisso
In Giovanni, Gesù "è diventato" il re dalla sua passione, una
passione dolorosa e trionfante, allo stesso tempo. Vogliamo dire : come ogni
"passione"! Oggi, "scrive" (Gv 18, 33.36.37.39, 19,
3.12.14.15.19.21 ...) il titolo di re e il regno del Messia durante il processo
il più famoso di tutti i tempi.
Due uomini si affrontano. Uno è l'impero più potente del tempo, l'equivalente
di una dozzina di paesi oggi. E la cosa più sorprendente: l'imputato ha chiesto
al giudice: "Dici questo da te oppure perché altri ti l'hanno detto?"
(Traduzione non accurata: il testo greco "o altri ti [l']hanno detto de mi? ")
Il Messia "a piedi nudi" si prende posizione, in via preliminare, e
invita alla riflessione e al dialogo lo splendido procuratore romano e, e noi,
oggi, per il fatto stesso! Abbasso le maschere : guardare Gesù negli occhi per
rispondere a questa domanda cruciale.
Pilato ancora : "La tua gente e i sommi sacerdoti ti hanno consegnato a
me: che cosa hai fatto?" Ma Gesù continua tranquillamente a guidare il
dialogo: "Il mio regno non è di questo mondo: se il mio regno fosse di
questo mondo, avrei guardie ... "
La lezione è politico: si parla di tre forme di regalità:
1. regalità politica che Erode il Grande aveva sentito minacciata dalla nascita
di un bambino a Betlemme (ricordate di Natale);
2. regalità messianica come concepita da
ebrei e annunciata da Isaia);
3. e, infine, regalità del Figlio dell'uomo che forza ne annienta nessuno (E
'sempre: "Che cosa vuoi che io faccia per te?" Oppure: "Se vuoi
essere perfetto, vien' con me!) e che si lascia portare alla morte in croce.
E 'chiaro che l'occhio retto ha sempre visto Gesù re
Alla fine, Gesù ritornerà vittorioso
Questa è l'ultima volta prima della sua morte, Gesù lascia il tempio oggi, con i suoi discepoli. Tempio capolavoro di architettura e di fede nonostante tutte le tribolazioni!
Ma che cosa è questo che dura ...
"Che belle pietre! che begli costruzioni " i compagni di esclamare con orgoglio!
E Gesù ha colto l'occasione per insegnare loro, ancora una volta, la fragilità del mondo visibile.
Va detto qui che l'interpretazione del lungo discorso che segue è difficile da afferrare perché si tratta di tre eventi distinti:
1. In primo luogo i numerosi ostacoli nel primo annuncio della Buona Novella subito dopo l'ascensione (v 9-13);
2. e la distruzione del Tempio da parte dell'esercito romano nel 70 dC (versetti 2 e 14-23);
3. e soprattutto il ritorno di Cristo in potenza e gloria alla fine dei tempi (24-27). Ma quando????
Qui è descritto un colossale sconvolgimento cosmico (che interessa tutta la creazione), e la mentalità apocalittica del tempo (la fine del mondo): le forze deificati dell'universo battute (tutte le mitologie), questo ha annunciato il definitivo trionfo del Dio unico sull'idolatria del popolo, con i mezzi del tempo: le immagini qui non hanno nulla a che fare con la moderna astrofisica, e ciò che chiamiamo la fine del mondo, tradotto per i lettori di Marco, l'emergere, la nascita del "nuovo mondo" promesso da Isaia (65, 17, 66, 22).
Inoltre, nel Vangelo, promemoria biblici sono numerosi: vedere la visione del Figlio dell'uomo venire sopra le nubi del cielo (cfr. Daniele 7, 13-14, il cui testo risale probabilmente dalla persecuzione di Antioco IV Epifane, che nel dicembre del 167, spostato l'altare di Baal nel tempio. Vedi Marco 8, 31, 9, 31, 10, 33, 10, 45) è stato spesso citato da Marco, in particolare nel contesto di morte di Gesù '. Infine, questo capitolo si chiude su un'immagine magistralmente "in piedi", il vincitore del ritorno dell'oscurità in una dei quattro veglie della notte: "Vegliate dunque, perché non sapete quando il padrone di casa tornerà, la sera o a mezzanotte, al canto del gallo, o al mattino. "Il suo ritorno sarà come la mattina di Pasqua.
Marco ha scritto al tempo della persecuzione di Nerone, e al di là della prima Chiesa di Roma, questo insegnamento attraverso i secoli sempre: Non scuotere o perdere, cercare, prendere coraggio: rimane fedele, il Signore ritornerà: "Marana tha! Vieni, Signore Gesù ". E 'diventato la prima preghiera cristiana in aramaico conosciuta, come si dice in ebraico Hallelujah o greco Kyrie eleison! (ref Corinzi 116, 22 e Apocalisse 22, 20).
Questo è il fondamento della nostra speranza proclamata in tempi di crisi. Da allora, con milioni di uomini e donne entriamo in movimento per preparare, non la catastrofe universale, ma una grande festa del ritorno di Gesù nella gloria.
25 Novembre CRISTO RE
Gesù, nostro Re abandonato e crocifisso
In Giovanni, Gesù "è diventato" il re dalla sua passione, una passione dolorosa e trionfante, allo stesso tempo. Vogliamo dire : come ogni "passione"! Oggi, "scrive" (Gv 18, 33.36.37.39, 19, 3.12.14.15.19.21 ...) il titolo di re e il regno del Messia durante il processo il più famoso di tutti i tempi.
Due uomini si affrontano. Uno è l'impero più potente del tempo, l'equivalente di una dozzina di paesi oggi. E la cosa più sorprendente: l'imputato ha chiesto al giudice: "Dici questo da te oppure perché altri ti l'hanno detto?" (Traduzione non accurata: il testo greco "o altri ti [l']hanno detto de mi? ")
Il Messia "a piedi nudi" si prende posizione, in via preliminare, e invita alla riflessione e al dialogo lo splendido procuratore romano e, e noi, oggi, per il fatto stesso! Abbasso le maschere : guardare Gesù negli occhi per rispondere a questa domanda cruciale.
Pilato ancora : "La tua gente e i sommi sacerdoti ti hanno consegnato a me: che cosa hai fatto?" Ma Gesù continua tranquillamente a guidare il dialogo: "Il mio regno non è di questo mondo: se il mio regno fosse di questo mondo, avrei guardie ... "
La lezione è politico: si parla di tre forme di regalità:
1. regalità politica che Erode il Grande aveva sentito minacciata dalla nascita di un bambino a Betlemme (ricordate di Natale);
2. regalità messianica come concepita da ebrei e annunciata da Isaia);
3. e, infine, regalità del Figlio dell'uomo che forza ne annienta nessuno (E 'sempre: "Che cosa vuoi che io faccia per te?" Oppure: "Se vuoi essere perfetto, vien' con me!) e che si lascia portare alla morte in croce.
E 'chiaro che l'occhio retto ha sempre visto Gesù re
- quando ha espulso i demoni,§
- quando ha resuscitato Lazzaro§
- quando ha comandato il vento e il mare,§
- quando ha corretto i punti deboli della legge ebraica e le sue applicazioni.§
Ma questo re il modo di Dio non ha mai preso chiunque di forza poiché il suo
regno non è di questo mondo.
E di questo regno che da Matteo, Marco e Luca, Gesù non ha mai smesso di
parlare, regno invisibile più che il più piccolo dei semi, o il lievito nella
pasta, o il chicco di grano che cadde a terra e muore in silenzio, al fine di
portare molto frutto.
Questo Gesù è
E di questo regno che da Matteo, Marco e Luca, Gesù non ha mai smesso di parlare, regno invisibile più che il più piccolo dei semi, o il lievito nella pasta, o il chicco di grano che cadde a terra e muore in silenzio, al fine di portare molto frutto.
Questo Gesù è
- il nostro re abandonnato e crocifisso,§
- re come il cuore di Dio che non annienta qualsiasi dei suoi nemici,§
- re che ama anche quelli a che non piace e ci spinge a farlo.§
- un re che, di fatto, a differenza di qualsiasi re della terra,§
- il re compassionevole che salva e rende la vita.§
***************************
Espanol
Dom 18 de noviembre
Al final, Jesús regresará victorioso
Esta es la última vez antes de su muerte, Jesús sale del templo hoy con sus
discípulos. Templo: obra maestra de la arquitectura y de la fe a pesar de todas
las tribulaciones!
Pero, ¿qué es lo que dura ...
"¿Qué piedras preciosas! qué hermosas construcciones " los compañeros
exclaman con orgullo!
Y Jesús aprovechó la oportunidad para enseñarles, una vez más, la fragilidad
del mundo visible.
Hay que decir aquí que la interpretación del largo discurso que sigue a
continuación es difícil de entender porque se trata de tres eventos distintos:
1. El primero : los muchos obstáculos en el primer anuncio de la Buena Nueva
inmediatamente después de la ascensión (vv. 9-13);
2. y la destrucción del Templo por el ejército romano en el año 70 dC
(versículos 2 y 14-23);
3. y sobre todo el regreso de Cristo en poder y gloria al final de los tiempos
(24-27). Pero cuando????
Aquí se describe un trastorno colosal cósmico (que afecta a toda la creación),
y de la mentalidad apocalíptica de la época (el fin del mundo), las fuerzas
deificados centrales (todas las mitologías) del universo caen : el anunció del
triunfo definitivo del único Dios la idolatría de la gente. Nos expresamos con
los medios de la época: las imágenes aquí no tienen nada que ver con la
astrofísica moderna, y lo que llamamos el fin del mundo, traducido a los
lectores de Marcos, el surgimiento, nacimiento del "nuevo mundo"
prometido por Isaías (65, 17, 66, 22).
Así que no cunda el pánico, al igual que el calendario maya y el fin del mundo
Diciembre 21, 2012! No se trata aquí de cataclismos específicos sísmicos, pero
la buena lógica y paradójica, proclamada por Jesús y registrado por Marcos para
los cristianos de Roma. El autor escribe como Paris Match: Le encanta las fotos
y los que son conocidos por ofrecer a sus lectores: aquellos comunes en Isaías
13, 10, 34, 4, Joel 2, 10, 4, 15, Ezequiel 32, 7; etc. Era la representación de
la vuelta a los orígenes del caos que surgen una y otra a través del
sufrimiento, - nueva creación - nuevo.
Por otra parte, en el evangelio, recordatorios bíblicos son también numerosas:
véase la visión del Hijo del Hombre viniendo sobre las nubes del cielo (véase
Daniel 7, 13-14, cuyo texto data probablemente de la persecución de Antiocos IV
Epífanes, quien en diciembre de 167, se trasladó el altar de Baal en el templo.
Véase Marcos 8, 31, 9, 31, 10, 33, 10, 45) ha sido frecuentemente
mencionada por Marcos, especialmente en el contexto de la muerte de Jesús. Por
último, este capítulo termina con una imagen magistral "de pie", el
ganador de retorno de la oscuridad en una de las cuatro vigilias de la noche:
"Velad, pues, porque no sabéis cuándo el señor de la casa vendrá otra
vez de la noche o a la medianoche, canto del gallo, o a la mañana. "Su
regreso será como la mañana de Pascua.
Marcos escribió en la época de la persecución de Nerón, y más allá de la
primera Iglesia de Roma, esta enseñanza a través de los siglos siempre: No extraviarse
o perder, mirar hacia arriba, tomar
coraje, permanecer fiel, el Señor regresará: "Marana tha! ¡Ven, Señor
Jesús ". Se convirtió en la primera oración cristiana en arameo
conocido, como se dice Aleluya en hebreo o griego Kyrie eleison! (Véase 1
Corintios 16, 22 y Apocalipsis 22, 20).
Este es el fundamento de nuestra esperanza proclamada en tiempos de crisis.
Desde entonces, con millones de hombres y mujeres entrar en el movimiento de
preparar, no la catástrofe universal, pero una gran celebración de la venida de
Jesús en gloria.
25 de noviembre CRISTO REY
"Jesús, nuestro Rey entregado y crucificado"
En Juan, Jesús "se convirtió en" rey por su pasión, una pasión
dolorosa y triunfante al mismo tiempo. Queremos decir como cualquier
"pasión"! Hoy en día, "escribe" (Jn 18, 33.36.37.39, 19,
3.12.14.15.19.21 ...) el título de rey y el reino del Mesías durante el juicio
más famoso de todos los tiempos.
Dos hombres se enfrentan. Uno de ellos es el imperio más poderoso de la época,
el equivalente de una docena de países en la actualidad. Y lo más sorprendente:
el acusado pidió al juez: "¿Dices esto por ti mismo, o porque otros te han
dicho?" (Traducción imprecisa: el texto griego "o otros te han
dicho [esto] de mi? ")
El Mesías descalzo se toma posición desde el principio, e invita a la reflexión
y el diálogo a el espléndido procurador romano, y nosotros, hoy, por el hecho
mismo! Máscaras bajas: mirar a Jesús a los ojos para responder a esta cuestión
crucial.
Pilato nuevo : "Tu pueblo y los sumos sacerdotes te han entregado a mí:
¿qué has hecho?" Pero Jesús calma continúa liderando el diálogo: "Mi
reino no es de este mundo: si mi reino fuera de este mundo, yo tendría guardias
... "
La lección es política: se habla de tres formas de monarquía:
1. realeza política que Herodes el Grande había sentido amenazado por el
nacimiento de un niño en Belén (recuerde Navidad);
2. realeza mesiánica como concebida por Judíos y anunciada por Isaías);
3. y, finalmente, realeza del Hijo del hombre que forzó o sobrescribe a nadie
(Siempre es: "¿Qué quieres que haga por ti?" O bien: "Si quieres
ser perfecto, anda, conmigo) y dejar que conducen a la muerte en la cruz.
Es evidente que el ojo recto ha siempre visto Jesús como rey
Al final, Jesús regresará victorioso
Esta es la última vez antes de su muerte, Jesús sale del templo hoy con sus discípulos. Templo: obra maestra de la arquitectura y de la fe a pesar de todas las tribulaciones!
Pero, ¿qué es lo que dura ...
"¿Qué piedras preciosas! qué hermosas construcciones " los compañeros exclaman con orgullo!
Y Jesús aprovechó la oportunidad para enseñarles, una vez más, la fragilidad del mundo visible.
Hay que decir aquí que la interpretación del largo discurso que sigue a continuación es difícil de entender porque se trata de tres eventos distintos:
1. El primero : los muchos obstáculos en el primer anuncio de la Buena Nueva inmediatamente después de la ascensión (vv. 9-13);
2. y la destrucción del Templo por el ejército romano en el año 70 dC (versículos 2 y 14-23);
3. y sobre todo el regreso de Cristo en poder y gloria al final de los tiempos (24-27). Pero cuando????
Aquí se describe un trastorno colosal cósmico (que afecta a toda la creación), y de la mentalidad apocalíptica de la época (el fin del mundo), las fuerzas deificados centrales (todas las mitologías) del universo caen : el anunció del triunfo definitivo del único Dios la idolatría de la gente. Nos expresamos con los medios de la época: las imágenes aquí no tienen nada que ver con la astrofísica moderna, y lo que llamamos el fin del mundo, traducido a los lectores de Marcos, el surgimiento, nacimiento del "nuevo mundo" prometido por Isaías (65, 17, 66, 22).
Así que no cunda el pánico, al igual que el calendario maya y el fin del mundo Diciembre 21, 2012! No se trata aquí de cataclismos específicos sísmicos, pero la buena lógica y paradójica, proclamada por Jesús y registrado por Marcos para los cristianos de Roma. El autor escribe como Paris Match: Le encanta las fotos y los que son conocidos por ofrecer a sus lectores: aquellos comunes en Isaías 13, 10, 34, 4, Joel 2, 10, 4, 15, Ezequiel 32, 7; etc. Era la representación de la vuelta a los orígenes del caos que surgen una y otra a través del sufrimiento, - nueva creación - nuevo.
Por otra parte, en el evangelio, recordatorios bíblicos son también numerosas: véase la visión del Hijo del Hombre viniendo sobre las nubes del cielo (véase Daniel 7, 13-14, cuyo texto data probablemente de la persecución de Antiocos IV Epífanes, quien en diciembre de 167, se trasladó el altar de Baal en el templo. Véase Marcos 8, 31, 9, 31, 10, 33, 10, 45) ha sido frecuentemente mencionada por Marcos, especialmente en el contexto de la muerte de Jesús. Por último, este capítulo termina con una imagen magistral "de pie", el ganador de retorno de la oscuridad en una de las cuatro vigilias de la noche: "Velad, pues, porque no sabéis cuándo el señor de la casa vendrá otra vez de la noche o a la medianoche, canto del gallo, o a la mañana. "Su regreso será como la mañana de Pascua.
Marcos escribió en la época de la persecución de Nerón, y más allá de la primera Iglesia de Roma, esta enseñanza a través de los siglos siempre: No extraviarse o perder, mirar hacia arriba, tomar coraje, permanecer fiel, el Señor regresará: "Marana tha! ¡Ven, Señor Jesús ". Se convirtió en la primera oración cristiana en arameo conocido, como se dice Aleluya en hebreo o griego Kyrie eleison! (Véase 1 Corintios 16, 22 y Apocalipsis 22, 20).
Este es el fundamento de nuestra esperanza proclamada en tiempos de crisis. Desde entonces, con millones de hombres y mujeres entrar en el movimiento de preparar, no la catástrofe universal, pero una gran celebración de la venida de Jesús en gloria.
25 de noviembre CRISTO REY
"Jesús, nuestro Rey entregado y crucificado"
En Juan, Jesús "se convirtió en" rey por su pasión, una pasión dolorosa y triunfante al mismo tiempo. Queremos decir como cualquier "pasión"! Hoy en día, "escribe" (Jn 18, 33.36.37.39, 19, 3.12.14.15.19.21 ...) el título de rey y el reino del Mesías durante el juicio más famoso de todos los tiempos.
Dos hombres se enfrentan. Uno de ellos es el imperio más poderoso de la época, el equivalente de una docena de países en la actualidad. Y lo más sorprendente: el acusado pidió al juez: "¿Dices esto por ti mismo, o porque otros te han dicho?" (Traducción imprecisa: el texto griego "o otros te han dicho [esto] de mi? ")
El Mesías descalzo se toma posición desde el principio, e invita a la reflexión y el diálogo a el espléndido procurador romano, y nosotros, hoy, por el hecho mismo! Máscaras bajas: mirar a Jesús a los ojos para responder a esta cuestión crucial.
Pilato nuevo : "Tu pueblo y los sumos sacerdotes te han entregado a mí: ¿qué has hecho?" Pero Jesús calma continúa liderando el diálogo: "Mi reino no es de este mundo: si mi reino fuera de este mundo, yo tendría guardias ... "
La lección es política: se habla de tres formas de monarquía:
1. realeza política que Herodes el Grande había sentido amenazado por el nacimiento de un niño en Belén (recuerde Navidad);
2. realeza mesiánica como concebida por Judíos y anunciada por Isaías);
3. y, finalmente, realeza del Hijo del hombre que forzó o sobrescribe a nadie (Siempre es: "¿Qué quieres que haga por ti?" O bien: "Si quieres ser perfecto, anda, conmigo) y dejar que conducen a la muerte en la cruz.
Es evidente que el ojo recto ha siempre visto Jesús como rey
- cuando expulsó a los demonios,§
- cuando resucitó a Lázaro§
- cuando mandó al viento y al mar,§
- cuando corrige las debilidades de la ley judía y sus aplicaciones.§
Pero este rey en la manera de Dios nunca ha tomado fuerza a nadie desde que su
reino no es de este mundo.
Es a de este reino que en Mateo, Marcos y Lucas, Jesús nunca dejó de hablar, el
reino invisible más que la más pequeña de las semillas, o la levadura en la
masa, o el grano de trigo caído al suelo para morir en silencio y dar mucho
fruto.
Este Jesús es
Es a de este reino que en Mateo, Marcos y Lucas, Jesús nunca dejó de hablar, el reino invisible más que la más pequeña de las semillas, o la levadura en la masa, o el grano de trigo caído al suelo para morir en silencio y dar mucho fruto.
Este Jesús es
- nuestro rey entregado y crucificado,§
- el Rey como el corazón de Dios, que no sobrescribe ninguna de sus enemigos,§
- Rey ché quiere incluso a los que no les gusta y nos insta a hacerlo.§
- un rey que, de hecho, a diferencia de cualquier rey terrenal,§
- el rey compasivo que salva y hace la vida.§
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