lundi 3 juin 2013

Quand on n'a plus personne




Quand on n'a plus personne
10ème dimanche du temps ordinaire
9 juin 2013





Ce récit est propre à Luc. Emouvant, il révèle toute la tendresse de Jésus et la toute-puissance avec laquelle il sait mettre fin aux détresses humaines. Jésus-Christ a fait de nombreux prodiges relatés par aucun évangéliste (Luc 13:10; Jean 20:30). Ils ont sélectionné les plus aptes à servir la catéchèse et l'évangélisation. Dix guérisons de lépreux n'apportent pas plus à la foi qu'une seule.
La scène se passe à Naïn, un bourg situé à 12 km au sud- ouest de Capernaüm: on portait en terre un mort, fils unique, et sa mère suivait!  Terrible détresse. Cette femme n'a plus de mari; son soutien moral et financier est un fils unique qui vient de mourir. Elle est désormais réduite à la solitude et la pauvreté : socialement, elle n'existe plus!  La mort d'un être humain est en soi un drame. Le fait qu'il s'agisse d'un fils unique et que sa mère soit une veuve rend le drame encore plus grand. Elle avait déjà conduit au cimetière un être chéri, son mari, cette fois-ci, c'est son fils. D'où la grande foule de voisins et d'amis, mais tous impuissants, capables tout juste de pleurer avec elle et de bredouiller quelques paroles de condoléances, mais incapables de lui rendre le seul être qu'elle avait encore dans ce monde.

Deux cortèges se croisent à l'entrée du village: le Prince de la vie rencontre la mort emportant une victime impuissante. A noter que Luc - l'helléniste -,  appelle Jésus "le Seigneur", ce qui n'arrive que très rarement avant la résurrection du Christ, mais qui devient la règle après. Aux oreilles des Juifs il affirmait la divinité d Jésus, car "kurios" (Seigneur) rendait dans la traduction grecque de l'Ancien Testament le titre divin "Yahvé".

Une fois de plus, Jésus a pitié de la souffrance humaine. Marchant à la tête du groupe des disciples, il s'arrête devant la veuve à la tête du cortège funèbre. Il sait à qui il a affaire, sans qu'il ait à s'informer. Il "voit" cette femme en même temps qu' il a cette perception (vision!) surnaturelle, divine, des réalités qui le renseignait toujours sur ce qu'il devait savoir pour accomplir sa mission. "Ne pleure plus!" L'ordre contient une promesse extraordinaire. Et quand Jésus donne des ordres, il donne aussi les moyens de lui obéir.
Jésus s'approche et touche le brancard. Puis il s'adresse au jeune homme comme si celui-ci pouvait l'entendre. Ses paroles lui donnent en fait ce pouvoir : elles sont "sacrement", elles réalisent ce qu'elles signifient! Omnia quaecumque voluit Dominus  (Ps 134, 5) : il lui suffit de vouloir et cela advient! Le jeune homme revient à la vie, se lève et se met à parler. Par sa simple volonté, Jésus rappelle un mort à la vie. Alors le Christ le rend à sa mère. Le grec dit qu'il le lui donna. Καὶ ἔδωκεν αὐτὸν τῇ μητρὶ αὐτοῦ. C'était le plus grand cadeau qu'il pouvait lui faire.

Tous furent saisis de crainte. Il y avait de quoi! Et ils glorifiaient Dieu! La peur se transforme bien vite en louange.  Ils saluent en lui quelqu'un par qui "Dieu a visité son peuple", peut-être le grand prophète dont les juifs de l'époque attendaient la venue et qui serait chargé de préparer le chemin du Messie.
Naïn n'était qu'un petit bourg dont la Bible ne parle pas par ailleurs. Mais de Naïn la nouvelle se répandit dans toute la Judée et tout le pays d'alentour (V.17). De la Galilée il passa en Judée. De la Judée il parvint aux frontières de la Palestine. Cette constatation sert de transition au V.18: la nouvelle parvint jusqu'aux oreilles de Jean-Baptiste en prison. Il lui enverra une délégation pour lui demander s'il est bien le Messie.

Comment se présente ce Messie?
Jésus succombe en quelque sorte à sa compassion. Il ne peut pas lui résister
Il suffit qu'il veuille quelque chose, pour que cela se fasse.
Il vainc ici la mort  par anticipation, en attendant la victoire finale, définitive et universelle, dans sa propre mort et sa résurrection.
Mariage, enterrement: il partage nos joies et nos peines. Il est là!
  • Pourtant le prodige ne semble pas avoir aidé les gens à croire en lui. Dommage!
  • Jésus a dû avoir d'autres déceptions de ce genre.


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english

This story is unique to Luke. Touching, it reveals the tenderness of Jesus and the omnipotence with which he can put an end to human misery. Jesus Christ did many miracles not related by any evangelist (Luke 13:10, Jn20:30). They selected the most suitable for use in catechesis and evangelization. Ten healing lepers do not bring more faith than only one.
The scene takes place in Nain, a village located 12 km southwest of Capernaum: there was a dead man, the only son, and his mother followed! Terrible distress. This woman has no husband, his moral and financial support is an only son who has just died. She is now reduced to the loneliness and poverty: socially, she no longer exists! The death of a human being is in itself a tragedy. The fact that a single son and his mother is a widow makes the drama even bigger one. She had already taken her cherished husband to the cemetery, this time, it is his son. Hence the large crowd of neighbors and friends, but all helpless, can just cry with her and mumble a few words of condolence, but unable to give her back the only person she had still in this world.

Two processions cross at the entrance to the village, the Prince of life meets death carrying a helpless victim. Note that Luke - the Hellenist - called Jesus "Lord", which happens very rarely before the resurrection of Christ, but after becoming the rule. To the ears of the Jews he affirmed the divinity of Jesus as "kurios" (Lord) made in the Greek translation of the Old Testament God as "Yahweh".

Once again, Jesus has compassion for human suffering. Marching at the head of the group of disciples, he stops in front of the widow at the head of the funeral procession. He knows whom he is dealing with, without having to learn. He "sees" the woman at the same time that he has this supernatural, divine perception (vision!) of the realities that always teach him what he needed to know to accomplish its mission. "Do not cry!" The order contains an extraordinary promise. And when Jesus gives orders, he also provides the means to obey him.
Jesus came and touched the stretcher. Then he addresses the young man as if he could hear him. His words actually give him this power: they are "sacrament", they realize what they mean! Omnia quaecumque voluit fecit (Psalm 134, 5): just want it and this happens! The young man comes to life again, gets up and starts talking. By sheer will, Jesus reminds the dead to life. Then Christ  gives him to his mother. The Greek said he gave him. Καὶ ἔδωκεν αὐτὸν τῇ μητρὶ αὐτοῦ. It was the greatest gift he could do to her.

All were afraid. It was enough! And they glorified God! Fear quickly turns into praise. They greet in him by someone whom "God has visited his people," perhaps the greatest prophet whose Jews of the time were waiting for the arrival and would prepare the way for the Messiah.
Nain was a small town that the Bible does not speak otherwise. But from Nain the news spread throughout Judea and all the surrounding country (V.17). From Galilee they went to Judea, and from Judea, reached the borders of Palestine. This  serves as a transition to V.18: the news reached the ears of John the Baptist in prison. He will send a delegation to ask him if he is the Messiah.

How is this Messiah?
Jesus succumbs somehow compassion. He can not resist it!
He just wants something for that to happen.
It overcomes death here in anticipation, waiting for the final victory, final and universal in his own death and resurrection.
Wedding, funeral: he shared our joys and sorrows. There he is!
 But the miracle does not seem to have helped people to believe in him. Shame!
 Jesus must have had other disappointments like this.


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deutsch

Diese Geschichte ist einzigartig für Lukas. Berührt sie offenbart die Zärtlichkeit von Jesus und die Allmacht, mit deren er ein Ende menschliche Elend setzen kann. Jesus Christus tat viele Wunder, die den 4 Evangelisten (Lukas 13.10, Jh20.30 Jean) nie erwähnt wurden. Sie wählten die am besten geeigneten für die Verwendung in der Katechese und Evangelisierung. Die Heilung von Zehn Aussätzige bringen nicht mehr den Glauben als eine alleine.
Die Szene spielt sich in Nain, einem Dorf das 12 km südwestlich von Kapernaum liegt: Es war ein toter Mann, der einzige Sohn, und seine Mutter folgte! Terrible Bedrängnis. Diese Frau hat keinen Mann mehr, seine moralische und finanzielle Unterstützung ist der einzige Sohn, der gerade gestorben ist. Sie wird nun auf die Einsamkeit und Armut reduziert: sozial existiert sie nicht mehr! Der Tod eines Menschen ist an sich schon eine Tragödie. Die Tatsache, dass ein einziger Sohn und seine Mutter, die eine Witwe ist, macht das Drama noch härter. Sie hatte schon ihr geschätzten Mann zum Friedhof geleitet, dieses Mal ist es sein Sohn. Daher die große Schar von Nachbarn und Freunden, aber alle hilflos, können nur mit ihr weinen und ein paar Worte der Anteilnahme murmeln, aber nicht in der Lage, ihr die einzige Person, die sie auch immer noch in dieser Welt hatte, zurückgeben..

Zwei Prozessionen kreuzen sich am Eingang des Dorfes: trifft der Prinz des Lebens Tod, der ein hilfloses Opfer trägt. Beachten Sie, dass Lukas - der hellenistische - nennt Jesus "Herr", was sehr selten geschieht, bevor der Auferstehung Christi, aber nachdem die Regel wird. Den Ohren der Juden bekräftigte er die Göttlichkeit von Jesus als "kurios" (Lord) in der griechischen Übersetzung des Alten Testaments Gott als "Jahwe" gemacht.

Wieder einmal hat Jesus Mitgefühl für menschliches Leid. Fuß voraus an der Spitze der Gruppe der Jünger, stoppt er vor der Witwe an der Spitze der Trauerzug. Er weiß, wer er ist zu tun, ohne zu lernen. Es "sieht" die Frau zur gleichen Zeit, dass er diese übernatürliche, göttliche Wahrnehmung (vision!) der Realitäten benötigte, die ihm immer "inspirierte",  was er wissen müsste, um ihre Mission zu erfüllen. "Nicht weinen!" Der Auftrag beinhaltet ein außergewöhnliches Versprechen. Und wenn Jesus befiehlt, bietet er auch die Mittel, ihm zu gehorchen.
Jesus kam und berührte die Bahre. Dann wendet er sich an den jungen Mann, als ob er es hören konnte. Seine Worte tatsächlich geben ihm diese Macht: sie sind "Sakrament", erkennen sie, was sie bedeuten! Omnia quaecumque voluit fecit (Psalm 134, 5): will nur und das passiert! Der junge Mann kommt zum Leben zurück, steht auf und beginnt zu sprechen. Durch schiere Willenskraft, erweckt Jesus die Toten zum Leben. Dann Christus gibt ihn seiner Mutter. Die griechische sagte er ihr gab. Καὶ ἔδωκεν αὐτὸν τῇ μητρὶ αὐτοῦ. Es war das größte Geschenk, das er ihr tun konnte.

Alle hatten Angst. Es war genug! Und sie priesen Gott! Angst verwandelt sich schnell in Lob. Sie grüßen ihn von jemandem, der vielleicht der größte Prophet, dessen Juden der Zeit wartet auf die Ankunft und den Weg für den Messias vorzubereiten "Gott sein Volk besucht hat."
Nain war eine kleine Stadt, dass die Bibel nicht anders sprechen. Nain aber die Nachrichten in ganz Judäa und die ganze Umgegend (V.17) zu verbreiten. Von Galiläa ging er nach Judäa. Von Judäa erreichte er die Grenzen Palästinas. Dieser Befund dient als Übergang zu V.18: Die Nachricht erreichte die Ohren von Johannes dem Täufer im Gefängnis. Es wird eine Delegation um ihn zu fragen, ob er der Messias ist.

Wie ist dieser Messias?
Jesus erliegt dem Mitleid irgendwie. Er kann ihm nicht widerstehen
Nur, dass er etwas will, und dies geschieht.
Hier überwindet Jesus den Tod vorrückend, in Erwartung auf den endgültigen Sieg, endgültig und universal in seinen eigenen Tod und Auferstehung.
Hochzeit, Beerdigung: er teilte unsere Freuden und Leiden mit. Da ist er!
  • Aber das Wunder scheint nicht dazu beigetragen, Menschen zum Glauben an ihn haben. Schade!
  • Jesus müsst andere Enttäuschungen wie diese gehabt haben.

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italiano

Questa storia è unica per Luca. Toccando, rivela la tenerezza di Gesù e l'onnipotenza con cui può porre fine alla miseria umana. Gesù Cristo ha fatto molti miracoli legati da alcun evangelista (Luca 1:10, Gv 20:30 ). Hanno scelto i più adattI per l'uso nella catechesi e L4evangelizzazione. La guarigione de dieci lebbrosi non portano solo più fede di uno.
La scena si svolge in Nain, un villaggio situato a 12 km a sud ovest di Cafarnao: c'è stato un morto, figlio unico, e sua madre ha seguito! Terribile angoscia. Questa donna non ha un marito, il suo sostegno morale e finanziario è un figlio unico che è appena morto. E 'ormai ridotta alla solitudine e povertà: socialmente, non esiste più! La morte di un essere umano è di per sé una tragedia. Il fatto che un unico figlio e sua madre è una vedova, rende il dramma ancora di più. Lei lo aveva portato un essere caro al cimitero, il marito; questa volta, è suo figlio. Da qui la grande folla di vicini e amici, ma tutto impotente, può solo piangere con lei e borbottare qualche parola di cordoglio, ma no in grado di dare a lui l'unica persona che aveva ancora in questo mondo.

Due cortei attraversano all'ingresso del villaggio, il Principe della vita incontra la morte, portando una vittima indifesa. Si noti che Luca - l'ellenista - chiama Gesù "Signore", lo che accade molto raramente prima della risurrezione di Cristo, ma dopo essere diventato la regola. Alle orecchie degli ebrei ha affermato la divinità di Gesù come "kurios" (Signore) realizzato nella traduzione greca del Vecchio Testamento Dio come "Signore".

Ancora una volta, Gesù ha compassione per la sofferenza umana. Marciando alla testa del gruppo dei discepoli, si ferma davanti alla vedova alla testa del corteo funebre. Lui sa che ha con che a fare, senza dover imparare. Ello "vede" la donna allo stesso tempo che lui ha questa soprannaturale e divine percezione (vision!) delle realtà che lui "mostrano" sempre quello che aveva bisogno di sapere per compiere la sua missione. "Non piangere!" L'ordine contiene una promessa straordinaria. E quando Gesù dà ordini, fornisce anche i mezzi di obbedirgli.

Gesù si avvicinò e toccò la barella. Poi si rivolge al giovane come se potesse sentirla. Le sue parole in realtà gli danno questo potere: sono "sacramento", si rendono conto di cosa vogliono dire! Omnia quaecumque voluit fecit (Salmo 134, 5): lui vuole solo e questo accade! Il giovane riprende vita, si alza e comincia a parlare. Per pura volontà, Gesù ricorda la vita ai morti. Poi Cristo lo rendi a sua madre. Il greco ha detto che gli ha dato. Καὶ ἔδωκεν αὐτὸν τῇ μητρὶ αὐτοῦ. E 'stato il regalo più grande che potesse fare per lui.

Tutti avevano paura. E 'stato sufficiente! E glorificavano Dio! La paura si trasforma rapidamente in lode. Lo salutano da qualcuno che "Dio ha visitato il suo popolo", forse il più grande profeta di cui gli ebrei del tempo di attesa per l'arrivo e avrebbe preparato la strada al Messia.
Nain è una piccola cittadina che la Bibbia non parla diversamente. Nain, ma la notizia si diffuse in tutta la Giudea e tutto il paese circostante (V.17). Di Galilea si recò in Giudea. Della Giudea raggiunse i confini della Palestina. Questo risultato serve come una transizione al verso V.18: la notizia giunse alle orecchie di Giovanni Battista in prigione. Si invierà una delegazione per chiedere a lui se è il Messia.

Come è questo Messia?
Gesù succombe in qualche modo alla compassione. Egli non può resistere.
Solo che lui vuole qualcosa per che ciò accada.
Qui si vince la morte in attesa, in attesa che la vittoria finale, definitiva e universale nella sua morte e risurrezione.
Matrimonio, funerale: ha condiviso le nostre gioie e dolori. Eccolo!

  • Ma il miracolo non sembra aver aiutato la gente a credere in lui. Vergogna!
Gesù deve aver avuto altre delusioni come questa.

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espanol

Esta historia es única para Lucas. Tocando, revela la ternura de Jesús y la omnipotencia con la que puede poner fin a la miseria humana. Jesucristo hizo muchos milagros relatados por ningún evangelista (Lucas 1:10, NJ 20:30). Ellos seleccionan los más adecuados para su uso en la catequesis y la evangelización. Diez leprosos curados no sólo traen más fe que uno.
La escena tiene lugar en Nain, un pueblo situado a 12 Km. al suroeste de Capernaum: hubo un muerto, hijo único, y su madre le siguió! Terrible angustia. Esta mujer no tiene marido, su apoyo moral y financiero es un único hijo que acaba de morir. En la actualidad se reduce a la soledad y la pobreza : social, que ya no existe! La muerte de un ser humano es en sí mismo una tragedia. El hecho de que un solo hijo y que su madre es una viuda hace el drama aún más grande. Ella había llevado su preciado marido a un cementerio, en esta ocasión, es su hijo. De ahí la gran multitud de vecinos y amigos, pero todo impotente, sólo puede llorar con ella y murmurar unas palabras de condolencia, pero incapaz de darle la única persona que todavía estaba en este mundo.

Dos procesiones cruzan en la entrada de la aldea, el Príncipe de la vida se encuentra la muerte que lleva una víctima indefensa. Tenga en cuenta que Lucas - el helenista - llamó a Jesús "Señor", lo que sucede muy raramente antes de la resurrección de Cristo, pero después de convertirse en la regla. A los oídos de los Judíos Lucas afirma la divinidad de Jesús como "kurios" (Señor) hecho en la traducción griega del Antiguo Testamento, Dios como "Yahvé".

Una vez más, Jesús tiene compasión por el sufrimiento humano. Marcha a la cabeza del grupo de los discípulos, se detiene frente a la viuda a la cabeza de la procesión fúnebre. Él sabe quién está tratando, sin tener que aprender. Se "ve" a la mujer al mismo tiempo que tiene esta percepción (visión!), sobrenatural y divina de las realidades que siempre le mostró
lo que necesitaba saber para cumplir su misión. "¡No llores!" La orden contiene una promesa extraordinaria. Y cuando Jesús da órdenes, sino que también proporciona los medios para obedecerle.

Jesús se acercó y tocó la camilla. Luego se dirige a la joven como si pudiera oírlo. Sus palabras en realidad le dan ese poder: son "sacramento", se dan cuenta lo que significan! Omnia quaecumque voluit fecit (Salmo 134, 5): sólo lo quiero y esto sucede! El joven vuelve a la vida, se levanta y empieza a hablar. Por pura voluntad, Jesús recuerda a los muertos a la vida. Entonces Cristo hace su madre. El griego dijo que él le dio. Καὶ ἔδωκεν αὐτὸν τῇ μητρὶ αὐτοῦ. Fue el mejor regalo que podía hacerle.

Todos tenían miedo. Fue suficiente! Y glorificaban a Dios! El miedo se convierte rápidamente en la alabanza. Le saludan por alguien que "Dios ha visitado a su pueblo", tal vez el más grande profeta cuya Judíos del tiempo de espera para la llegada y prepararía el camino para el Mesías.
Nain era un pequeño pueblo que la Biblia no habla de otra manera. Desde Nain pero la noticia se difundió por toda Judea y toda la región circundante (V.17). De Galilea fue a Judea. De Judea llegó a las fronteras de Palestina. Este resultado sirve de transición a V.18: la noticia llegó a oídos de Juan el Bautista en la cárcel. Se enviará una delegación a preguntarle si él es el Mesías.

¿Cómo es este Mesías?
Jesús sucumbe a
un tipo de compasión. No puede resistirse a ella.
Sólo que él quiere algo para que eso suceda.
Aquí se vence a la muerte en la anticipación, esperando que la victoria final, definitiva y universal en su propia muerte y resurrección.
Boda, funeral: compartió nuestras alegrías y tristezas. ¡Ahí está!
  • Pero el milagro no parece haber ayudado a la gente a creer en él. Vergüenza!
  • Jesús debe haber tenido otras decepciones como esta.

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