jeudi 7 mars 2013

L'Alliance




10 mars
4e dim. du Carême
L'ALLIANCE

Jos 5, 10-12, Ps 33, 2 Co 5, 17-21, Lc 15, 1-3.11-32

Nous sommes appelés à la Fête de la Miséricorde divine. Seul, celui qui a eu soif connaît le goût de l'eau. Seul, celui qui a pris conscience de sa faute envers un être qui l'aime, découvre la splendeur du pardon. Pécheurs, nous le sommes tous... Le drame, c'est que nous ne le savons pas. Enfermés en nous-mêmes, dans nos désirs limités, dans nos appétits, nous ignorons ce qui nous manque... et ce qui nous est offert



L'entrée des Hébreux dans la Terre promise ne fut en réalité qu'une étape dans la longue marche vers le véritable bonheur. Cette Terre de la promesse était un signe de Dieu qui leur donna pour toujours la certitude que Dieu dans sa Miséricorde accomplit toujours ses promesses...       ainsi que le psaume 33 est une hymne de louange à ce même Dieu qui ne manque jamais de délivrer celui qui se tourne vers lui au jour de sa détresse. Le chrétien considère aussi que cette louange convient à l'Eucharistie... : si regarder vers Dieu, c'est resplendir... alors, qu'est-ce alors que de le manger!
Pour Paul, la véritable Terre promise, c'est le nouveau monde intérieur - le nouveau mode d'intériorité -, né de la découverte de l'amour miséricordieux de Dieu, manifesté en Jésus-Christ: quelle joie pour Lui que d'en être l'ambassadeur pour révéler cette réalité offerte à tous les hommes.

Les Pharisiens murmurent entre eux, sans avoir le courage d'interroger honnêtement Jésus... Jésus connaît leurs pensées perverses et se met à leur raconter une histoire qui est en fait un enseignement : celui de la Miséricorde du Père. Jésus invente cette parabole, mais nous savons bien que ce qu'elle raconte se reproduit chaque jour et que bien peu de familles n'en ont pas fait l'expérience...
Que la liberté est un don de Dieu...
Oh! Jésus n'attaque pas les Pharisiens de front, car ils ont autorité sur le Peuple! IL raconte l'histoire d'un Père au grand cœur qui ne juge pas, un Père qui ne veut pas soupçonner le mal chez son fils et qui lui permet de partir. A un moment dans la vie, il faut que les enfants quittent le nid et prennent leur envol. Un père doit accepter le risque. Il peut toujours le confier à Dieu tout au fond de lui-même, mais il ne l'abreuve pas de recommandations que l'enfant oublierait aussitôt... Comment exercer CE terrible, merveilleux et précieux don de la
liberté?

On ne peut forcer personne sinon par l'amour et un amour qui soit absolument désintéressé. Quelle peine pour des parents d' "attendre en aimant"... Et Dieu qui attend inlassablement ?

Comment ne pas donner la chance à ceux qui nous entourent de choisir leur chemin..., si nous sommes convaincus que tous les chemins mènent à Dieu. Il importe d'aimer assez nos enfants pour leur permettre de se réaliser non à notre goût, mais au leur, en les confiant à un Dieu qui les AIME infiniment.

C'est le Père qui court au-devant de son fils prodigue... Quand il voulut partir, le Père lui  laissa toute liberté à son ingratitude, mais au retour, c'est le Père qui prévient cette démarche pénible d'un enfant - le sien -, qui reconnaît ses torts... et il les reconnaîtra d'autant plus et mieux qu'il se sentira aimé et non jugé, conscient qu'il mérite d'expier... Conscience assez vivante pour lui faire sentir sa misère : nul besoin de longues remontrances...

Prendre l'initiative du pardon, c'est reproduire l'attitude de Dieu : être un jour ou l'autre dans le rôle du Père de l'enfant fugitif, sinon avec nos enfants, du moins avec ceux qui nous entourent et qui sont notre prochain... Le Père l'attendait depuis le départ: il l'accueille contre lui en le serrant sur son cœur. Il fait les premiers pas et avant même que le fils exprime son regret, le Père donne des ordres : « Apportez un vêtement neuf... etc. ... »  et, ajoute-t-il, « Mettez un anneau à son doigt!»... L'anneau: le signe reconnu de l'alliance... Le Père ne reviendra jamais sur le passé... c'est révolu et l'anneau sera le signe d'une alliance qui ne sera plus jamais rompue...

« Pardonne-nous nos offenses COMME nous PARDONNONS à ceux qui nous ont offensés. »

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english

We are called to the Feast of Divine Mercy. Only someone who was thirsty knows the taste of water. Only one who has realized his fault to one who loves him, discovers the beauty of forgiveness. Sinners, we are all ... The tragedy is that we do not know. Locked up in ourselves, in our limited desires, our appetites, we do not know what we are missing ... and what is offered.

The entry of the Hebrews into the Promised Land was actually a step in the long march toward true happiness. This Land of Promise was a sign from God that gave them for ever the certainty that God in His mercy always fulfills his promises ... and Psalm 33 is a hymn of praise to the same God who never fails to deliver those who turn to him in the day of distress. A Christian believes that this should praise the Eucharist too ... : if to look to God is to shine ... then, what to eat while!
For Paul, it is the true Promised Land, the new world within - the new mode of interiority - born of the discovery of the merciful love of God manifested in Jesus Christ: what a joy for Him to be the ambassador to reveal this reality available to all men.

The Pharisees murmured among themselves, without having the courage to honestly ask Jesus ... Jesus knew their evil thoughts and began to tell them a story that is actually teaching: the Mercy of the Father. Jesus invented this parable, but we know what it says is repeated every day and very few families have not experienced ...
That freedom is a gift from God ...
Oh! Jesus does not attack the Pharisees front because they have authority over the People! He tells the story of a father with a big heart who does not judge, a Father who does not suspect evil with his son and allows him to leave. At one point in life, children must leave the nest and take flight. A father must accept the risk. It can always trust God in the depths of himself, but he doesn't quench him any recommendations that the child soon forgets ... How to exercise that terrible, wonderful and precious gift of freedom?

We can not force anyone except through love and a love that is completely selfless. What pain for parents to "wait loving" ... And God waiting endlessly?

How not to give a chance to those around us to choose their path ... if we believe that all paths lead to God. It is important to love our children enough to allow them to realize not to our taste, but theirs, by entrusting them to a God who loves endless.

It is the Father who runs to meet his prodigal son ... When he decided to leave, the Father gave him complete freedom to his ingratitude, but when back, it is the Father that prevents the painful process of a child - his own - who recognizes his mistakes ... and he will recognize more and more that he feels loved and not judged, aware that he needs to expiate ... Consciousness alive enough to make him feel his misery : no need for long remonstrance ...

Take the initiative of forgiveness is to reproduce God's attitude: one day or the other in the role of the fugitive child's father, if not with our own children, at least with those around us who are our neighbor ... The father was waiting since the start: he welcomes him, tightly against his heart. He makes the first step and before the son expresses his regret, the Father gives orders: "Bring a new dress ... etc.. ... "And he adds," Put a ring on his finger! "... The ring: the sign of the recognized covenant ... The Father never returns to the past ... This is over and the ring will be the sign of an alliance that will never be broken ...

"Forgive us our trespasses AS we FORGIVE those who trespass against us. '

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deutsch

Wir sind zum Fest der Göttlichen Barmherzigkeit aufgerufen. Nur wer durstig war kennt den Geschmack des Wassers. Nur wer seine Schuld erkannt hat, zu einem, der ihn liebt, entdeckt die Schönheit der Vergebung. Sinners, sind wir alle ... Die Tragödie ist, dass wir nicht wissen. Tief in uns verschlossen, in unseren begrenzten Wünschen, unseren Begierden, wissen wir nicht, was uns fehlt ... und was angeboten wird

Der Eintrag der Hebräer in das Gelobte Land war eigentlich ein Schritt auf dem langen Marsch in Richtung des wahren Glücks. Das Land der Verheißung war ein Zeichen von Gott, die ihnen immer gab die Gewissheit, dass Gott in seiner Barmherzigkeit immer seine Versprechen erfüllt... und Psalm 33 ist ein Loblied auf denselben Gott, der nie versagt zu befreien diejenigen, die an ihn wenden in der Zeit der Angst. Der Christ glaubt, dass dies auch die Eucharistie lobt ... : Gott aussehen, wenn es zu glänzen ist ... dann, was ja zu essen!
Für Paul, der wahre Gelobte Land, die neue Welt von innen - der neue Modus der Innerlichkeit - wird von der Entdeckung der barmherzigen Liebe Gottes offenbart in Jesus Christus erzeugt! Was für eine Freude für Ihn werden der Botschafter, diese Realität für alle Menschen zu offenbaren.

Die Pharisäer murrten untereinander, ohne den Mut zu ehrlich fragen Jesus ... Jesus kannte ihre bösen Gedanken und begann zu erzählen ihnen eine Geschichte, die tatsächlich lehrt: die Barmherzigkeit des Vaters. Jesus hat diese Parabel erfunden, aber wir wissen, was sie sagt, ist jeden Tag wiederholt und nur sehr wenige Familien haben nicht erlebt ...
Diese Freiheit ist ein Geschenk von Gott ...
Oh! Jesus greift nicht die Pharisäer vor, weil sie Macht über den Menschen haben! Er erzählt die Geschichte von einem Vater mit einem großen Herzen, der nicht beurteilt, einen Vater, der das Böse mit seinem Sohn nicht ahnen will und lässt ihn zu verlassen. An einem Punkt im Leben, müssen die Kinder das Nest verlassen und die Flucht ergreifen. Ein Vater muss das Risiko eingehen. Es kann immer auf Gott vertrauen in den Tiefen von sich selbst, aber er löscht alle Empfehlungen, dass das Kind so schnell vergessen ... Wie zu trainieren dieses schrecklich wunderbares und kostbares Geschenk der Freiheit?

Wir können niemanden zwingen zu lieben, nur mit der Liebe, die völlig selbstlos ist. Welche Strafe für Eltern " zu warten liebend" ... Und Gott der wartet endlos?

Wie nicht um eine Chance zu denen um uns herum, ihren Weg zu wählen, geben ... wenn wir glauben, dass alle Wege zu Gott führen. Es ist wichtig, unsere Kinder genug zu lieben, damit sie nicht nach unserem Geschmack zu verwirklichen, aber ihrem, idem wir sie übertragen zu einem Gott, der liebt.

Es ist der Vater, der seinen verlorenen Sohn zu treffen läuft ... Wenn er gehen wollte, gab ihn der Vater völlige Freiheit seiner Undankbarkeit; aber im Gegenzug ist es der Vater, der den schmerzhaften Prozess des Kindes verhindert - seines Kindes - wer seine Fehler erkennt ... und er wird es umso mehr tun, dass er sich geliebt fühlt und nicht beurteilt : bewusst, dass er zu büßen muss ... Bewusstsein lebendig genug, um ihm das Gefühl seines Elends zu geben! Keine Notwendigkeit für lange Tadeln ...

Nehmen die Initiative der Vergebung ist Gottes Haltung zu reproduzieren: eines Tages in der Rolle des Vater des Flüchtling Kindes zu sein, wenn nicht mit unseren eigenen Kindern, zumindest mit denen um uns, unserem Nächsten ... Vater war seit dem Start am warten: Er begrüßt ihn durch Druck auf sein Herz. Er macht den ersten Schritt und bevor der Sohn drückt sein Bedauern darüber ausdrückt, gibt der Vater Aufträge: "Bring ein neues Kleid ... etc.. ... "Und er fügt hinzu:" Setzen Sie einen Ring an seinem Finger! "... Der Ring: das Zeichen des Bundesanerkennung ... Vater nie in die Vergangenheit zurückkehren ... Das ist vorbei und der Ring wird das Zeichen einer Allianz, die nie gebrochen werden wird...

"Vergib uns unsere Schuld, wie auch wir unseren Schuldigern vergeben. "

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italiano

Siamo chiamati alla festa della Divina Misericordia. Solo chi aveva sete conosce il sapore dell'acqua. Solo colui che ha realizzato la sua colpa a qualcuno che ama puo scoprire la bellezza del perdono. Peccatori, siamo tutti ... La tragedia è che non lo sappiamo. Rinchiusi in noi stessi, nei nostri desideri limitati, i nostri appetiti, non sappiamo ciò che ci manca ... e ciò che viene offerto

L'entrata degli Ebrei nella Terra Promessa era in realtà un passo nella lunga marcia verso la vera felicità. La Terra Promessa è stato un segno di Dio che sempre ha dato loro la certezza che Dio nella sua misericordia adempie sempre le sue promesse ... e il Salmo 33 è un inno di lode a Dio, che non manca mai di liberare coloro che si rivolgono a lui nel giorno della sventura. Un Cristiano crede inoltre che questo dovrebbe lodare anche l'Eucaristia ... : Guarda a Dio se è a brillare ... poi, cosa mangiarlo!
Per Paolo, la vera Terra promessa, il nuovo mondo all'interno - la nuova modalità di interiorità - è nata dalla scoperta dell'amore misericordioso di Dio manifestato in Gesù Cristo! Che gioia per lui, l'ambasciatore, di rivelare questa realtà a disposizione di tutti gli uomini.

I farisei mormoravano tra di loro, senza avere il coraggio di chiedere onestamente Gesù ... Gesù, conoscendo i loro pensieri malvagi, cominciò a raccontare loro una storia che in realtà è un insegnamento: la Misericordia del Padre. Gesù ha inventato questa parabola, ma sappiamo : quello che dice si ripete ogni giorno e pochissime famiglie non hanno avuto ...
Che la libertà è un dono di Dio ...
Oh! Gesù non attacca frontalmente i farisei perché hanno il potere sul popolo! Racconta la storia di un padre con un cuore grande che non giudica, un Padre che non sospetta il male con suo figlio e gli consente di lasciare. Ad un certo punto nella vita, i bambini devono lasciare il nido e prendere il volo. Un padre deve accettare il rischio. Si può sempre confidare in Dio nel profondo di se stesso, ma si spegne tutte le raccomandazioni che il bambino dimentica presto ... Modalità di esercizio qusto terribile dono, meraviglioso e prezioso, della libertà?

Non possiamo costringere nessuno ad amare se no coll'amore che è completamente disinteressato. Che pena per i genitori di "aspettare amando" ... Dio e l'attesa senza fine!

Come non dare una possibilità a quelli intorno a noi per scegliere la propria strada ... se crediamo che tutte le strade portano a Dio.. E 'importante amare i nostri figli sufficiente a consentire loro di realizzare non di nostro gusto, ma loro, affidando a un Dio che ama molto.

E 'il Padre che corre incontro al figliol prodigo ... Quando ha cercato di lasciare, il Padre gli ha dato piena libertà alla sua ingratitudine, ma in cambio, è il Padre che impedisce il doloroso processo di un bambino - il suo - che riconosce i suoi errori ... ed egli riconosce sempre più che si sentono amati e non giudicati, consapevole del fatto che ha bisogno di espiare ... La coscienza viva abbastanza da fargli sentire la sua miseria senza la necessità di protesta lungo ...

Prendere l'iniziativa del perdono è quello di riprodurre l'atteggiamento di Dio: un giorno o l'altro nel ruolo del padre del bambino fuggitivo, se non con i nostri figli, almeno con quelli intorno a noi che sono il nostro prossimo ... Padre aspettava fin dall'inizio: lo accoglie, premendo sul suo cuore. Fa il primo passo, e prima che il figlio esprime il suo rammarico, il Padre dà ordini: "Portate un vestito nuovo ... ecc. ... "E aggiunge:" Metti un anello al dito! "... L'anello: il segno del patto riconosciuto ... Padre non ritorno al passato ... Questo è finita e l'anello sarà il segno di un'alleanza che non si spezzerà mai ...

"Rimetti a noi i nostri debiti come noi perdoniamo quelli contro di noi. '
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espanol

Se nos llama a la Fiesta de la Divina Misericordia. Sólo alguien que tenía sed, conoce el sabor del agua. Sólo quien ha dado cuenta de su error a una persona que ama, a descubrir la belleza del perdón. Pecadores, todos somos ... La tragedia es que no lo sé. Encerrados en nosotros mismos, en nuestros deseos limitados, nuestros apetitos, no sabemos lo que nos falta ... y lo que se ofrece

La entrada de los hebreos a la Tierra Prometida era en realidad un paso en la larga marcha hacia la verdadera felicidad. La tierra prometida era una señal de Dios que siempre les daba la certeza de que Dios en su misericordia siempre cumple sus promesas ... y el Salmo 33 es un himno de alabanza al mismo Dios que nunca deja de liberar a quienes acuden a él en el día de angustia. El Cristiano también cree que esto debería elogiar la Eucaristía ... : Busca a Dios si es a brillar ... entonces, qué comer!
Para Pablo, la verdadera Tierra Prometida, el nuevo mundo interior - el nuevo modo de interioridad - nace del descubrimiento del amor misericordioso de Dios manifestado en Cristo Jesús. ¡Qué gozo para el embajador de revelar esta realidad a disposición de todos los hombres.

Los fariseos murmuraban entre sí, sin tener el valor de pedir sinceramente a Jesús ... Sabiendo Jesús los pensamientos malos, comenzó a contar una historia que es en realidad una enseñanza: la misericordia del Padre. Jesús inventó este parábola, pero sabemos lo que dice se repite cada día y muy pocas familias que no han experimentado ...
Esa libertad es un don de Dios ...
OH! Jesús no ataca el frente fariseos porque tienen autoridad sobre el pueblo! Cuenta la historia de un padre con un gran corazón que no juzga, a un Padre que no sospecha el mal con su hijo y le permite salir. En un momento de la vida, los niños deben abandonar el nido y emprender el vuelo. Un padre debe aceptar el riesgo. Siempre se puede confiar en Dios en lo más profundo de sí mismo, pero sacia cualquier recomendación que el niño pronto se olvidan ... Cómo ejercer esto horrible regalo, maravilloso y precioso, de
libertad?

No podemos obligar a nadie a amar, solo por el amor que es completamente desinteresado. ¿Qué castigo para los padres que "esperar amantes" ... Y Dios la espera sin fin?

¿Cómo no dar una oportunidad a los que nos rodean a elegir su camino ... si creemos que todos los caminos conducen a Dios. Es importante amar a nuestros hijos lo suficiente como para permitir que se den cuenta que no a nuestro gusto, pero su, al confiar a un Dios que ama tanto.

Es el Padre que corre al encuentro de su hijo pródigo ... Cuando trató de salir, el Padre le dio total libertad para su ingratitud; pero a cambio, es el Padre que impide que el proceso doloroso de un niño - su - que reconoce sus errores ... y él se reconocen cada vez más que se siente amado y no juzgado, consciente de que tiene que expiar ... La conciencia viva lo suficiente como para hacerle sentir su miseria sin necesidad de reconvención largo ...

Tomar la iniciativa de perdón es reproducir la actitud de Dios: un día u otro en el papel de padre del niño fugitivo, excepto con nuestros hijos, por lo menos con los que nos rodean que son nuestro próximo ... Padre estaba esperando desde el principio: él le da la bienvenida por abrazar sobre su corazón. El hace el primer paso, y antes de que el hijo expresa su pesar, el Padre da órdenes: "Trae un vestido nuevo ... etc. ... "Y añade:" Pon un anillo en su dedo! "... El anillo: el signo de la alianza reconocida ... Padre nunca volver al pasado ... Esto se ha acabado y el anillo será la señal de una alianza que nunca se romperá ...

"Perdona nuestras ofensas, como también nosotros perdonamos a los que nos ofenden. '


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